Madame, Monsieur,
Chers amis de la Droite forte,

Si comme nous, vous êtes opposés à l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne, je vous invite à vous mobiliser et à informer tous ceux qui vous entourent.

La faiblesse et la lâcheté de François Hollande ont encore frappé…

La France a été totalement absente des négociations qui ont débouché sur un accord entre l'Union européenne et la Turquie à propos des migrants au frontières européennes.

C’est une honte !

Parce que l’Union européenne est incapable de s’accorder et d’affronter ce problème majeur, nous avons cédé aux injonctions turques. En effet, sous prétexte de retenir les migrants essayant d’entrer en Europe et en acceptant d’en voir certains revenir sur leur territoire (mais pour combien de temps… ?), l’Union européenne a accepté des conditions inacceptables.

Selon l'accord entre Bruxelles et Ankara, tous les nouveaux migrants arrivant en Grèce seront renvoyés vers la Turquie. Pour chaque Syrien renvoyé, un autre Syrien sera réinstallé depuis la Turquie vers l'UE…

Et en échange de cela, on va lever l’obligation, pour les Turcs, d’avoir un visa pour entrer dans l’Union européenne. Pour votre information, il y a 80 millions de Turcs.

Plus grave encore, en échange de ce véritable marché de dupes, l’Union Européenne s’engage à relancer les négociations d’adhésion de la Turquie à l’UE !

La France, ou ce qu’il reste de ses représentants socialistes, ont été totalement absents des négociations et n’ont, en aucune façon, défendu les intérêts de notre pays ou tout simplement l’opinion des Français qui sont totalement opposé à cette adhésion.

L’Allemagne de Mme Merkel, qui sur ce dossier des migrants porte la responsabilité de lourdes erreurs, a mis les autres Etats membres devant le fait accompli. Il faut dire que compte-tenu de l’effacement et de la lâcheté de MM. Hollande, Valls et consorts, Mme Merkel ne risquait pas d’être freinée par la France. 

La Turquie est un grand pays, riche d’une très grande histoire et de liens forts avec l’Europe. Il y a incontestablement un statut particulier de partenariat à accorder à ce pays, qui est un carrefour de civilisations. Mais soyons clairs, nous refusons que la Turquie devienne membre de l’Union Européenne.