Il existe trois hypothèses. La première, la pire, c’est celle de la soumission. Pour faire la guerre et pour vaincre, il faut être deux. Si, face aux envahisseurs et agresseurs, les Français et Européens ne se défendent pas, il n’y aura pas de guerre. Ce sera la « mort tiède » selon la formule de Konrad Lorenz. Le pourrissement, l‘effondrement sans vrai combat C’est une possibilité.
La deuxième hypothèse, c’est l’éclatement d’une guerre civile ethnique avec défaite des autochtones français, et autres Européens, ayant contre eux leur propre État collaborateur. Une possibilité qu’avait évoquée Jean Raspail.
La troisième hypothèse, c’est une guerre civile victorieuse, avec des conséquences historiques incalculables, dont l’effondrement de tous nos paradigmes politiques. Quoi qu’il en soit, dans les années à venir, il sera impossible d’échapper à des désordres majeurs. L’Europe de l’Ouest va bientôt être le théâtre d’un séisme ethnique. Inévitable