LETTRE OUVERTE AUX REPRESENTANTS DE LA NATION (général Antoine Martinez)
" Le Président de la République ne peut être destitué qu'en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat. La destitution est prononcée par le const...
Le constat est cruel mais implacable : comment le Chef de l’État peut-il reconnaître explicitement le péril que représente l’islam, puisque dans son esprit il en est à l’évocation d’une partition, et être resté et continuer à rester à ce point inactif, voire favoriser cette dérive qui met en danger son peuple et l’avenir de la France ? La Nation se sent trahie. Comment peut-il se résigner à accepter l’inacceptable ? Car c’est bien cela que le général Christian Piquemal a voulu dénoncer à Calais, le 6 février dernier. Il n’a pas supporté que ce dernier dénonce, finalement par anticipation, cet aveu sidérant que rapportent les journalistes dans leur livre et l’a radié des cadres de façon cynique par le simple fait du bon vouloir du prince. Une question se pose alors : un responsable politique à ce niveau de l’État peut-il impunément, non seulement refuser de voir le danger, mais en être conscient et ne pas agir en conséquence ? Il s’agit de démission coupable, en langage militaire de trahison. Il s’agit donc réellement d’un manquement grave à ses devoirs incompatible avec l’exercice de son mandat qui devrait tomber sous le coup de l’article 68 de la Constitution.