Quel que soit le résultat de l'élection présidentielle française du 7 mai, la campagne électorale ressemble de l'étranger au cirque triste d'un pays dont les élites ont trahi la démocratie,...
Tous se réjouissent de disposer de Google, et de pouvoir aller sur Facebook et Twitter – entreprises mondialisées – pour dénoncer la mondialisation.
La « justice sociale », un concept totalitaire, injuste et asocial, contraire à la fois à la liberté, à l’égalité et à la fraternité, et qui a fait faillite là où il fût imposé, est considérée comme un prérequis à toute décision.
La haine des patrons est toujours forte, la méfiance en l’entreprise privée toujours d’actualité, la réussite est suspecte et l’échec est impardonnable. Le moteur de l’économie et de l’emploi a été inhibé et découragé. L’innovation et la prise de risque ont été tuées. Les plus résistants ont été mis au pas par la taxation démente de l’emploi et du profit.
Et l’islamisation dont il ne faut pas parler au risque de terminer devant un juge galope…
Les clefs de la liberté d’entreprendre ont été confiées aux syndicats qui continuent la lutte au nom d’un salariat qui les a rejetés.
Et pour couronner le tout, la presse a une pensée unique, et l’audiovisuel d’Etat sert les idées de la minuscule minorité des Français les plus à gauche.
Lorsque les médias, le Pouvoir, la Justice, l’Education nationale, les élites, l’Université, l’Art, l’Académie, le Législateur sont entre les mains de la gauche, qui d’autre porte la responsabilité du désastre ?