Erdoğan en campagne électorale à Metz. Histoire d'une nouvelle soumission !
Mevlüt Çavuşoğlu, ministre des Affaires étrangères de la Turquie de son état, tenait tribune à Metz, dimanche 12 mars. Il a pu vanter les mérites de la réforme constitutionnelle pensée p...
Sûr de son fait et fier de lui, le pouvoir turc sait qu’il peut menacer ses voisins occidentaux grâce à ses millions d’expatriés et sa position géographique centrale qui en fait un carrefour des échanges migratoires comme commerciaux.
Au mépris de la solidarité européenne, le gouvernement français a donc décidé de laisser la réunion se dérouler comme si de rien n’était. Nos alliés hollandais ont été humiliés par Jean-Marc Ayrault qui a déclaré – véritable dhimmi – que « […] en l’absence de menace avérée à l’ordre public, il n’y avait pas de raison d’interdire cette réunion qui, au demeurant, ne présentait aucune possibilité d’ingérence dans la vie politique française ».