Considérant que la cathédrale de Paris était “la deuxième église au niveau mondial après Saint-Pierre”, les chercheurs l’avaient considérée comme une véritable cible pour des terroristes et avaient choisi d’en faire l’objet de leur étude.
En cas d’attaque, le risque d’un embrasement de la toiture existait et [il] fallait absolument la protéger et installer un système d’extinction. En vérité, il n’y avait pratiquement aucun système anti-incendie, notamment dans les combles où il n’y avait aucun système électrique pour éviter les risques de court-circuit et d’étincelle.