Il y a urgence à sauver notre pays plutôt que de prétendre sauver la planète
C'est tombé comme un rideau après une parenthèse savamment orchestrée par nos médias au nom de la bien-pensance abêtissante : il fallait ne songer qu'à une menace, celle du prétendu réchau...
Chirac,
C’est lui, surtout, qui avait lancé, en 2002, « Notre maison brûle et nous regardons ailleurs ». Cette phrase qu’on veut prophétique l’est plus qu’on ne l’imagine. Ce n’est pas en ignorant le réchauffement climatique que la France regarde ailleurs que vers la maison en feu, mais en s’obnubilant sur un phénomène climatique, auquel sa taille et son mode de production de l’énergie électrique ne contribuent guère, au lieu de se concentrer sur la maison incendiée par la violence et l’ensauvagement d’une partie de sa population, menacée de s’écrouler par la dislocation de la communauté nationale.
Le bon sens nous appelle à remettre d’abord l’ordre dans la maison, à rétablir par tous les moyens la solidarité de la communauté nationale, à affirmer sa nécessaire identité, à sauver notre pays plutôt que de prétendre sauver la planète.