25 août 2020
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Mais Damoclès fissure le plafond de verre.
« Et dans ce large mot d’Incivilités, affirme-t-elle avec assurance sur BFM TV, on peut mettre différentes actions. Mais oui, on peut, si vous voulez, qualifier les faits de délinquance, les délits et même les crimes... »
Le dictionnaire est têtu.
Une incivilité est une impolitesse, un manquement aux règles du comportement en société (grossièreté, agressivité…).
Et encore moins un crime.
Car cette manœuvre de communication met en péril votre liberté, celle de tous les Français.
Comme si c’était de même nature.
C’est de la manipulation de masse.
C’est un flagrant délit de « Novlangue ».
Encore pire que la censure : l’esclavage par la Novlangue
Les médias de propagande sont aujourd’hui les principaux colporteurs de cette « Novlangue ».- Un délinquant d’origine étrangère commettant des actes de barbarie est sobrement appelé « jeune ».
- Une racaille qui fonce dans la foule ? Une « voiture folle » !
- Un clandestin violeur est un « migrant fuyant les conflits ».
- Un islamiste tentant d’égorger les passants au cri « d'allah akbar » ? Un « fou ».
- Axelle percutée en voiture par des racailles immigrées, traînée à mort sur 800 mètres de bitume, la jambe arrachée, devient « une jeune fille renversée par une voiture »...
Mais les « journalistes » menteurs ne font pas que minimiser ou détourner le sens des mots.
Ils choisissent des invités « bien pensants ».
Ils évitent les experts qui les contredisent.
Ils traitent leur interlocuteur différemment selon son bord…
Vous êtes censuré.
Pas de demi-mesure.
Aucune subtilité.
Binaire.
la simplification du vocabulaire permet de remplacer les concepts, de les vider de sens.
Empêcher de définir pour empêcher de penser.
Car censurer, c’est interdire de prononcer un mot.
Or ici, le but est de vous arracher l’idée même de la tête !
Et ça s’ajoute bien sûr à la censure...
Ils méprisent le peuple et agitent l’épouvantail du « populisme »
Gonflés d’orgueil et gorgés d’entre-soi, les médias menteurs vous font la morale au quotidien.Ils se gargarisent d’être « objectifs » et « professionnels », en opposition aux journalistes qui se lancent sur internet, mais qui ne sont pas du sérail…
« Je me rappelle d’un article, un truc absolument extraordinaire sur une affaire de tournante en banlieue parisienne. Tous les noms avaient été changés, ce que l’on fait régulièrement, parce qu’on ne sait pas encore les identités. C’étaient tous des Alain, des Frédéric, des Marcel, des Maurice, sauf qu’en réalité c’était des Mohammed, des Ahmed, etc. »
Pour que le peuple ne fasse pas de lien entre insécurité et immigration massive.
Pour ne pas réveiller le « populisme » qui fait trembler d’effroi ces « bien-pensants ».
Oui, vous avez bien lu :
Mais les Français ne sont pas dupes.
Ils se méfient de plus en plus des « journalistes » de propagande.
Nous sommes 76 % à ne pas leur faire confiance, selon l’institut Reuters.
Et pour cause : ils ne sont pas rentables.
Et ils en sont fiers !
Ils s’imaginent que l’information n’a pas de prix.
Ils n’ont pas besoin de lecteurs, ils sont bien au-dessus de ce qu’ils considèrent comme la plèbe !
Théoriquement, les subventions devaient assurer une « objectivité » ou au moins un pluralisme d’idées, mais c’est précisément l’inverse qui se passe.
Comme ils n’ont pas de compte à rendre, ils se comportent comme des ayatollahs de la « pensée unique » .
Ils vous font la morale, ils vous dictent ce que vous devez penser.
Et ils considèrent même que vous devriez les remercier de vous illuminer !
Leurs usines à gaz écrasent les pigistes en bas de l’échelle.
Ceux qui auraient échappé au lavage de cerveau des écoles de journalisme n’auraient de toutes façons pas les moyens de faire du vrai journalisme.
Vous avez sans doute déjà remarqué la médiocrité des articles crachés au kilomètre, et la multiplication des copier-coller de dépêches de l’AFP.
Mais les responsables dans leur tour d’ivoire ne lisent probablement pas ce qui sort. Peu leur importe : quoi qu’ils fassent les subventions tombent !
Il est temps de nettoyer les écuries d’Augias.
De nombreux médias alternatifs ont vu le jour grâce à Internet. Ils montrent que le journalisme n’est pas condamné à rester ce qu’il est devenu en France, un pouvoir de censure contre le peuple.
Et pour cela, il faut en finir avec le système des médias de propagande.
Le moyen le plus simple, c’est d’attaquer à la source :
couper les subventions.
C’est l’objet de la pétition lancée par Damoclès : https://damocles.co/petition-stop-subventions-medias/
Vous pouvez taper du poing sur la table et rabattre le caquet à ceux qui vous font la morale.
Dites STOP à la propagande.
« Je confirme ! J’ai fait partie de ces journalistes dans les années 90 au motif que les prénoms ce n’était pas signifiant et qu’il ne fallait pas donner des arguments au FN. Erreur ! Comme le dit Renaud Dély : ”En ne les donnant pas, on l’alimente”. C’est valable pour hier et auj. » Bernard de La Villardière
Mais les Français ne sont pas dupes.
Ils se méfient de plus en plus des « journalistes » de propagande.
Nous sommes 76 % à ne pas leur faire confiance, selon l’institut Reuters.
Et pourtant, vous continuez de les payer par vos impôts !
Les médias de propagande sont grassement subventionnés.Et pour cause : ils ne sont pas rentables.
Ils s’imaginent que l’information n’a pas de prix.
Ils n’ont pas besoin de lecteurs, ils sont bien au-dessus de ce qu’ils considèrent comme la plèbe !
Comme ils n’ont pas de compte à rendre, ils se comportent comme des ayatollahs de la « pensée unique » .
Et ils considèrent même que vous devriez les remercier de vous illuminer !
Ceux qui auraient échappé au lavage de cerveau des écoles de journalisme n’auraient de toutes façons pas les moyens de faire du vrai journalisme.
couper les subventions.
Pour la France !
Samuel Lafont et l’équipe Damoclès
PS. Certains se demandent si d’autres sources d’informations sont possibles. Un journalisme honnête où les faits auraient leur place.
Je leur réponds sans hésiter : c’est non seulement possible, mais c’est déjà en train de se faire, grâce à internet et grâce à la pression populaire.
Les médias de propagande sont moribonds. Ils sont tellement persuadés de posséder la vérité qu’ils ne peuvent pas se remettre en question. Ils sont en état de mort cérébrale, mais l’État continue de les gaver.
Exigez la fin des subventions pour ces médias qui vous insultent avec vos impôts : https://damocles.co/petition-stop-subventions-medias/
Samuel Lafont et l’équipe Damoclès
PS. Certains se demandent si d’autres sources d’informations sont possibles. Un journalisme honnête où les faits auraient leur place.
Je leur réponds sans hésiter : c’est non seulement possible, mais c’est déjà en train de se faire, grâce à internet et grâce à la pression populaire.
Les médias de propagande sont moribonds. Ils sont tellement persuadés de posséder la vérité qu’ils ne peuvent pas se remettre en question. Ils sont en état de mort cérébrale, mais l’État continue de les gaver.
Exigez la fin des subventions pour ces médias qui vous insultent avec vos impôts : https://damocles.co/petition-stop-subventions-medias/
Published by voxpop