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Par le Capitaine de gendarmerie (r) Alexandre JUVING-BRUNET Promotion Saint-Cyr Général de Galbert 2002-2005 Ex-Officier de liaison détaché au DPSD (=DRSD) " 1991, Toulon. " Je n'irai pas comba...
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« 1991, Toulon. « Je n’irai pas combattre mes frères, c’est une terre d’Islam ». Voici la réponse d’un matelot à son supérieur en 1991 lors de l’appareillage du porte-avions Foch pour le théâtre irakien dans le cadre de l’opération DAGUET.
nos Forces Armées recèlent actuellement de soldats, d’aviateurs et de marins disposant de deux nationalités donc prêtant allégeance à deux drapeaux, ce qui est théoriquement incompatible avec les obligations de défense de la Nation. Cette situation ubuesque est encore permise par l’Etat de Droit où la France est l’une des seules grandes puissances au monde à autoriser à leur majorité que des Citoyens puissent conserver deux nationalités. Quid si demain un conflit s’ouvrait en Méditerranée ? Quel drapeau serviraient ces militaires? Sont-ils actuellement aux mains de Services de Renseignements étrangers qui exploitent justement cette double allégeance ?
En cas de guerre civile, comme le rappelaient utilement les généraux MARTINEZ, PIQUEMAL, COUSTOU, De RICHOUFFTZ mais aussi le capitaine FABRE-BERNADAC, les Forces Armées ou forces de 3e catégorie seront constitutionnellement rappelées pour rétablir l’ordre public si l’état de siège est proclamé par le Président de la République ou son gouvernement.
Mais que se passera-t-il à cette date quand les chefs recevront pour mission de rétablir l’ordre dans les banlieues, ces mêmes banlieues étant les viviers de recrutement de nos militaires depuis 25 ans ?