Pour sortir de cette spirale, ce ne sont pas des mesurettes dont la France a besoin, mais un traitement de choc. Parmi les mesures de ce traitement de choc : construire 40 000 places de prison, modifier la Constitution pour rétablir les peines planchers, sortir de la Convention européenne des Droits de l'Homme et naturellement mener une politique de l'immigration enfin musclée avec notamment expulsion des criminels étrangers.
Reprendre la barre du navire
Il faut donc se ressaisir pour ne pas laisser partir le navire à la dérive.
D'abord parce que cette violence n'est absolument pas normale. Il suffit d'avoir vécu à l'étranger pour se rendre compte qu'aucun pays occidental n'a autant de tension dans ses rues que la France. Ceux qui ont vécu les années 1970 le savent également, personne ne poignardait des policiers à cette époque, aucun radicalisé ne tuait de mère de famille comme c'est arrivé dans la cathédrale de Nice. À cette époque, on prenait le bus sans baisser les yeux devant les passagers un peu agités et on laissait ses enfants jouer dehors sans hésitation.
Alors oui, contrairement à ce que maintiennent les « dénis oui-ouistes », cette violence est nouvelle et nous n'avons pas à nous y résoudre.
Mais il faut également se ressaisir parce que le temps presse.