Zemmour, le " polémiste " qui bouscule le jeu présidentiel - Boulevard Voltaire
Zemmour n'est pas - pas encore, en tout cas - candidat et, déjà, il a renversé le jeu de quilles des présidentielles. Pourquoi ? Parce que les hommes (et les femmes) politiques du système - de...
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Quoi qu’il en soit, Zemmour a déjà réussi son pari : avant même d’entrer en campagne, il contraint les nains qui occupent l’espace politique à parler des vrais sujets. Que la campagne Zemmour cristallise dans l’opinion – comme c’est probable – ou non, les questions d’immigration, d’identité, de sécurité et de tyrannie judiciaire et médiatique ne pourront pas être occultées.
A contrario, c’est précisément la force d’Éric Zemmour : être fidèle à l’enseignement de Péguy, tué à l’ennemi, il y a 107 ans, le 5 septembre 1914, un Péguy qui affirmait, dans Notre Jeunesse : « Il faut toujours dire ce que l’on voit. Surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit. »
C’est précisément la force de Zemmour, voir ce qu’il voit et le dire : appeler « Grand Remplacement »… le Grand Remplacement (démographique et civilisationnel) que les lâches ne veulent pas nommer. Dénoncer la dictature des juges qui accaparent la souveraineté et rendent impossible la défense de l’identité et l’arrêt de toute immigration clandestine. Refuser de bêler avec les moutons (en attente d’égorgement halal…) que « l’islam est compatible avec la République ». Quelle blague !