C’est le seul qui dit la vérité, le seul qui a le courage d’affronter la vérité, le seul qui est à la bonne hauteur, pour détecter et proclamer cette vérité qui n’est pas agréable à entendre. À savoir que la France peut mourir, qu’on est au bord de l’abîme car nous vivons un changement de population et un changement de civilisation. Il est le seul à le dire. Il est le seul qui n’a pas un programme au sens électoral du terme, même pas un projet mais une idée qui est une urgence. Si on ne fait rien, on meurt. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi de l’accompagner, à son invitation, en Arménie : c’est un voyage de civilisation, c’est une candidature de civilisation