Les jours de Jean-Jacques Bourdin sont-ils comptés ? Sans doute, car s’il faut démarrer maintenant chacune de ses émissions par une profession de foi « anti-violences-faites-aux-femmes », ça va vite devenir pesant. Cet homme est peut-être un satrape qui a abusé de son pouvoir, peut-être pas ; seule certitude : la France ne peut plus se regarder dans les yeux. Une vague de puritanisme la submerge, la chasse aux hommes est ouverte : tous dans le même sac et Dieu reconnaîtra les siens.
Il faut maintenant s’attendre à ce que tous les candidats sacrifient à l’exercice : en ouverture des débats, génuflexion obligatoire devant l’autel de la souffrance féminine.