Email reçu d'un abonné frappé du coin du bon sens............
Depuis 2017, quelque chose a changé ? Et bien non !
Monsieur "quoiqu'il en coûte" ne veut pas faire de peine à l'Algérie... C'est pourtant simple : Premier temps - On arrête de verser cette retraite Deuxième temps – On attends les réclamations Troisième temps – on vérifie ces demandeurs par notre consulat en leur demandant de venir se présenter personnellement. Quatrième temps – on fait les comptes. CQFD On a peur et personne ne bouge !!!Les expatriés Français en Australie doivent se rendre une à deux fois par an au Consulat pour se faire établir un certificat attestant que le retraité est bien en vie! Seulement voilà, dur dur de demander cette contrainte à l'Algérie (ce serait peut-être considéré comme un acte islamophobe) ???Ce nombre est même très supérieur au total des centenaires recensés par l'état-civil en Algérie. Rolande Ruellan, présidente de la 6e chambre de la Cour des Comptes qui a présenté le 9 juillet dernier un rapport sur la fraude sociale devant une commission parlementaire reconnaît le problème (document que chacun peut consulter pour vérifier cette info) : « Il y a des retraités qui ne meurent plus dans les pays étrangers » dit-elle, insistant, en particulier, sur le nombre de retraités centenaires algériens. Pourquoi ? Comment ? C'est ce qu'a tenté de savoir la commission. Il suffit de ne pas déclarer à la caisse de retraite le décès de l'ayant droit précise la magistrate. Mais il n'y a pas de contrôle ? s'étonne un membre de la commission. En Algérie nous n'en avons pas les moyens. Il faudrait mettre des contrôleurs itinérants dans tous les pays. Ce n'est pas évident ! souligne-t-elle. En résumé : Les Algériens binationaux, ayant travaillé en France deviennent immortels à partir du moment où ils se retirent en Algérie pour leur retraite. Ce sont leurs enfants, voire leurs petits-enfants, qui continuent à percevoir la pension de retraite, bien après leur décès. Et il ne faut évidemment pas compter sur les autorités algériennes pour faire la chasse aux fraudeurs. On peut s'étonner, tout de même, qu'un organisme comme la C N A V qui verse chaque année 4 milliards d'euros de retraite à l'étranger , dont plus d'1 milliard d'euros pour l'Algérie, ne soit pas en mesure d'effectuer un minimum de vérifications : Soit en demandant, tous les deux ans par exemple, aux bénéficiaires de donner une preuve de leur existence, soit en les invitant à se présenter dans les consulats de France pour percevoir leurs pensions. Alors que le dossier des retraites est au cœur des préoccupations des Français, il est impensable que nos gouvernants ne se penchent pas sur cette question connue d'eux depuis longtemps. Sinon, ce «racisme antifrançais», finira par contrarier très fortement le plus borné des retraités mais aussi tous ceux qui cotisent pour une lointaine retraite hypothétique tout en rappelant que les élections présidentielles se profilent à l'horizon.....................qui est une ligne imaginaire qui recule quand on avance.... Information à diffuser au plus grand nombre ...MERCI https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/2017-09/20170920-rapport-securite-sociale-2017-retraites-residents-etranger.pdf
Rolande RUELLAN Présidente de la 6ème Chambre de la Cour des Comptes Il est plus facile de prendre l'argent sur la retraite des Français que d'aller récupérer 1.000.000.000 EUR (Oui ! Un milliard d'euros) en Algérie ... La cour des comptes s'intéresse enfin aux "retraités" algériens ..... C'est l'intéressante découverte ( !) faite par la Cour des Comptes qui, en épluchant les comptes de la C.N.A.V (caisse nationale d'assurances vieillesse), l'organisme qui paye les retraites a constaté que : le nombre de retraités centenaires algériens (plus de 50.000) était particulièrement important.