Chère amie, Cher ami,
Je voulais partager avec vous les remarquables interviews de Philippe de Villiers publiées ces derniers jours dans différents médias :
- l'interview au Figaro Magazine du samedi 1er octobre,
- l'interview à Valeurs actuelles du jeudi 6 octobre,
- l'interview d’Europe 1 du jeudi 6 octobre.
Je vous invite à les lire et les écouter tant elles offrent profondeur et vision au cœur d’une si fade rentrée politique.
« Il faut refaire un hymne à la France, la chair de notre chair, le sang de notre sang. La France est une œuvre d’art. C’est beaucoup plus qu’un programme scolaire, c’est un monument de civilisation qui nous élève vers une romance lyrique et tient en suspens nos jardins, nos jardins secrets. » (Le Figaro)
« J’irai là où je me sentirai le plus utile à mon pays, jusqu’à mon dernier souffle. La politique, sans la culture, surplombe le vide. La culture, sans la politique, ne jouit pas des fruits du temps long. » (Le Figaro)
Je voulais aussi remercier Philippe de Villiers du fond du cœur pour sa fidélité à notre combat des élections présidentielle et législatives de 2022 : contrairement à ce qui a été parfois dit et écrit par des commentateurs si régulièrement malveillants, Philippe de Villiers continue à dire haut et fort combien la campagne d’Éric Zemmour fut à la hauteur des défis de notre patrie.
« Éric Zemmour a posé la question du “grand remplacement”. Comment ne pas reconnaître sa lucidité ? L’histoire lui donnera raison. » (Valeurs Actuelles)
« Eric Zemmour restera dans l'Histoire. Il a tout vu avant tout le monde. (…) Sa campagne a été percutée de plein fouet par la guerre en Ukraine et la question des réfugiés. À partir de ce moment-là - le 24 février 2022 -, il n’était plus sur son sujet. Les Français, distraits par les histrions, regardaient ailleurs. Les politiciens les attendaient à la pompe à essence. L’instant régalien mourut dans les cabas du supermarché. Zemmour ne sera jamais Édouard Leclerc… » (Le Figaro)
Enfin, pour ceux qui aiment le panache, l’Histoire et la grandeur, pour ceux qui ont si souvent vibré aux lignes poétiques du romanesque Philippe de Villiers, je vous invite à découvrir son dernier roman « La Valse de l’adieu », une nouvelle épopée de l’Empire qui nous rappelle combien l’Histoire est le miroir du présent offert par le passé de notre peuple, une nouvelle page haletante de notre si nécessaire roman national qui redonne la France à aimer.
Pour tout, pour Éric, pour son courage, pour nous tous, merci Cher Philippe.
Guillaume Peltier Vice-président de Reconquête Conseiller départemental de Chambord Ancien député de Loir-et-Cher
