Bilan des élections législatives partielles :
la gauche unie remporte deux sièges sur trois ; la droite divisée n’en obtient aucun.

Chère amie, Cher ami,

Je viens vous présenter une première analyse électorale des élections législatives partielles qui se sont déroulées depuis le début du quinquennat et qui confirment notre analyse politique.

Tout d’abord, n’oublions pas les fondations très saines et solides qui font grandir, grâce à vous, notre mouvement, quelques mois seulement après notre émergence fulgurante dans le paysage politique français :

• 2,5 millions d’électeurs pour notre président Éric Zemmour qui s’est classé en 4e position de l’élection présidentielle, rassemblant plus d’électeurs que les candidates des Républicains et du Parti socialiste réunies qui avaient pourtant gouverné la France pendant quarante ans.
• 1653 candidats, suppléants et mandataires qui ont porté nos couleurs pour les élections législatives se positionnant au niveau national à la cinquième position et recueillant près d’un million de suffrages.
• Déjà 101 000 adhérents et près de 400 000 sympathisants en janvier 2023, ce qui fait de Reconquête, et de loin, le premier parti militant de France.

Vous noterez, ensuite, la solidité de nos candidats lors des scrutins partiels, à l’instar de Laurence Trochu qui, dans les Yvelines, a augmenté notre score de plus de 35 %, se plaçant même en deuxième position à Versailles avec 20 % des voix.

Ou encore d’Aude Mayaud qui, dans le Pas-de-Calais, malgré un contexte difficile, réussit la performance de légèrement améliorer son score et de se placer même devant le candidat LR.

Enfin, dans les trois scrutins partiels qui se sont déroulés hier, c’est la gauche unie autour de la NUPES qui a remporté deux sièges sur les trois remis en jeu :

• dans le Pas-de-Calais, le sortant LFI améliore son score avec 66% des voix pendant que le candidat RN s’effondre de plus de dix points passant de 44% à 33% des suffrages ;
• dans la Marne, la députée sortante RN qui l’avait emporté en juin avec près de 55% des voix chute de sept points et est battue par la candidate de la majorité présidentielle de 629 voix… ;
• en Charente, c’est encore la NUPES qui conquiert le siège avec près de 51% des voix, en battant le sortant macroniste.

En France, donc, la droite divisée ne gagne pas.
Éric Zemmour le répète depuis si longtemps.

Et pendant ce temps-là, en Italie ou en Suède, bientôt sans doute en Espagne, la coalition des droites et des patriotes remporte de nombreux succès.

Face à l’union des gauches porteuse d’une vision communautariste et wokiste de notre pays, seule une vraie coalition des droites et des patriotes pourra obtenir une majorité : c’est l’une des identités propres de Reconquête.

Nous sommes le seul parti de France à proposer cette coalition au nom de notre amour pour notre pays et nous regrettons vivement que les autres formations politiques qui portent des convictions similaires sur les enjeux identitaires et civilisationnels continuent à privilégier les querelles d’égos et leurs intérêts personnels.

N’oublions donc jamais que la politique se fonde sur le rapport de force : plus Reconquête sera fort, plus cette coalition s’imposera aux autres.

Dites le bien autour de vous : il faut que tous les patriotes sincères renforcent encore notre mouvement.

Plus Reconquête obtiendra des scores élevés, plus rapidement nous pourrons bâtir une coalition pour gagner les élections et sauver notre patrie.

C'est d’ailleurs l’un des enjeux clés des élections européennes de mai 2024 : changer la majorité au Parlement européen et imposer la coalition des forces conservatrices et patriotiques grâce à Reconquête.

Poursuivons donc avec enthousiasme notre enracinement.
Vous pouvez compter sur notre totale détermination.

Bien fidèlement.

Guillaume Peltier
Vice-président de Reconquête
Conseiller départemental de Chambord
Ancien député de Loir-et-Cher