Soyons francs : notre échec à intégrer et à assimiler – ce qui ne signifie pas qu’il n’y ait pas de réussites – est évident. Cette réalité nous explose au visage depuis des années. Nous subissons un détournement du droit d’asile, une hausse de l’immigration familiale, une homogénéité des zones d’origine, une concentration géographique des populations immigrées pauvres qui ne peut conduire qu’à renforcer des ghettos gangrenés par la violence et le trafic.