>> Conclusion
L’état des lieux nous à permis de mieux cerner l’Islam religion.
Les avis et les faits dont nous avons pris connaissance sont unanimes
pour décrire cette religion en des termes violents , qui font froid dans le dos.
>> L'Islam n'est pas seulement une religion.
L'Islam est avant tout une idéologie politique,
qui pousse à la violence, et qui s'impose par la force.
Dont la mentalité appartient aux temps médiévaux,
Qui traite les femmes comme des bêtes.
Le prophète de l’Islam a dit « J’ai reçu l’ordre de combattre
les gens jusqu’à ce qu’ils croient en Allah et en son messager »
Wafa Sultan
>> L'Islam est un problème !
l'Islam est inégalitaire , misogyne ,
phallocrate , intolérant ,
n'est "pas dans une logique pacifiste",
et est parfois antisémite
Michel Onfray , philosophe.
>> Le Coran est un livre de guerre
Finkielkraut :
>> Le Coran est un livre d'inouïe violence
Robert Redeker
>> «Dieu est notre but, le prophète notre chef, le Coran notre constitution,
le djihad notre voie, le martyr notre plus grande espérance».
devise des Frères Musulmans
Ces jugements sont-ils excessifs ? Chacun appréciera. Il n’y a pas de fumée sans feu. Nous avons pu découvrir que l’Islam intègre dans la loi islamique, « la charia », des préceptes en opposition totale avec nos valeurs, nos lois. Ces préceptes sont sources de conflits avec notre république démocratique et laïque, mais l’Islam campe sur ses positions en affirmant que l'Islam « ne peut s'améliorer et est définitif ».
Les évènements relatés dans l’état des lieux, en regard de l’Islam en France, ne laissent aucun doute sur le fait que les musulmans n’auront de cesse dans leurs revendications, qu’ils n’auront pas imposé à la France leur crédo, la charia, en lieu et place de notre démocratie et notre laïcité.
Hormis le phénomène burqua qui n’était pas encore d’actualité, ces ambitions presque délibérément affichées, ces conflits, les incidents et les ravages qu’ils ont provoqués dans notre société, ont été à maintes reprises dénoncés. Les instances qui nous dirigent en ont une parfaite connaissance depuis longtemps. Je vous invite à prendre connaissance du rapport de la commission Stasi de 2004 remis au président Jacques Chirac en 2004.
Plus particulièrement la troisième partie : Le défi auquel la laïcité est aujourd’hui confrontée
http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/034000725/0000.pdf
Les inquiétudes exprimées dans ce rapport se sont avérées largement justifiées. Face à une nouvelle donne sociale et spirituelle Des difficultés inédites et de plus en plus nombreuses ont surgi, annonciatrices de dysfonctionnements importants. Ces difficultés affectent d'abord les services publics, où elles laissent les agents désemparés. Elles n’épargnent plus le monde du travail.
Le principe de laïcité est aujourd'hui mis à mal dans des secteurs plus nombreux qu'il ne paraît, tout comme d’autres valeurs fondatrices du pacte social.
A l'école, et dans le monde du travail, des revendications tendent à faire prévaloir des convictions communautaires sur les règles générales. La diffusion rapide de ces phénomènes est préoccupante.
Des services publics sont niés dans leur principe et entravés dans leur fonctionnement. Si la République n'est pas à même de restaurer leur fonctionnement normal, c'est l'avenir même de ces services publics qui est en jeu.
Peu de secteurs de l'action publique sont épargnés par cette évolution. Les
dysfonctionnements, loin de se limiter à l’école, touchent aussi hôpitaux, prisons, palais de justice, équipements publics ou services administratifs.
Confrontés à ces phénomènes, les personnels concernés se trouvent en situation de désarroi. Ils font état du malaise et du mal-être que suscite en eux cette situation et qui les empêche d’accomplir leur mission.
Ce malaise devient parfois une vraie souffrance. Des personnes auditionnées ont
déclaré avoir l’impression d’être livrées à elles-mêmes pour résoudre ces difficultés. Elles ont le sentiment que les règles ne sont pas claires, que la hiérarchie ne leur apporte qu’un faible soutien. Sur le terrain, elles sont confrontées à des situations éprouvantes.
«La situation des filles dans les cités relève d'un véritable drame» :
Les jeunes femmes se retrouvent victimes d’une résurgence du sexisme qui se traduit par diverses pressions et par des violences verbales, psychologiques ou physiques. Des jeunes gens leur imposent de porter des tenues couvrantes et asexuées, de baisser le regard à la vue d'un homme
Des jeunes femmes sont aussi victimes d'autres formes de violences : mutilations sexuelles, polygamie, répudiation. Le statut personnel de ces femmes ne permet pas toujours de s’y opposer ; sur le fondement de conventions bilatérales, le droit du pays d’origine peut leur être applicable, y compris les dispositions directement contraires à l'égalité entre les sexes et aux droits fondamentaux
Le rapport Stasi proposait également des actions pour endiguer cette vague d’attitudes pour la plupart parfaitement illégales. Malgré cela la situation à ce jour est catastrophique.
Les problèmes sont connus, parfaitement recensés, il y a des lois. Les lois ne sont pas appliquées par crainte de l’affrontement, par ce souci constant de chercher des « accommodements », de ménager la chèvre et le chou jusqu’à ce que la chèvre dévore le chou. Ce sont nos enfants qui vont subir les conséquences de notre manque de courage. Le processus en marche gagne chaque jour du terrain.
Demain il sera trop tard ! Quand la charia aura remplacé nos lois nous n’aurons plus de moyens d’action. Il faut adopter une attitude résolument plus ferme. Sanctionner systématiquement chaque entorse à la loi. Ni plus, ni moins.
La théologie musulmane a produit, dans sa période la plus brillante, une réflexion novatrice sur le rapport entre politique et religion. Les courants les plus rationnels en son sein refusaient la confusion entre pouvoir politique et spirituel.
La culture musulmane peut, doit trouver dans son histoire les ressources lui permettant de s’accommoder d’un cadre laïque.
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>> Conclusion