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31 août 2012 5 31 /08 /août /2012 09:07

 

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| 8 Commentaires
La France se désarme, au propre et au figuré, à mesure que des guerres se profilent. Jamais une rentrée n’aura été sous d’aussi noirs auspices. Or seuls le prix de l’essence et l’expulsion des Roms mobilisent l’État, dans une agitation médiatique qui illustre la régression de la politique, incapable d’affronter les tensions qui menacent la paix, la nation, son devenir. Faut-il rappeler à François Hollande, président flâneur et bonhomme, comment vont la France, l’Europe, le monde ? Le pays est au bord de la faillite, l’euro vacille, l’islam radical est partout à l’offensive. Cependant, il est malséant pour la gauche d’évoquer ces sujets "anxiogènes". Le gouvernement répète en toutes circonstances vouloir l’"apaisement", ce mot qui fit florès en 1938. On connaît la suite…

La "France tranquillou" des socialistes, prêts à tout pour rompre avec un sarkozysme "clivant", est à contre-courant de l‘histoire en marche. C’est par dérision que Ray Ventura chantait : "Tout va très bien…", à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, l’infantilisation de la politique, qui gazouille de surcroît sur Twitter, s’apparente à une capitulation suicidaire. "Faire simple" est une formule présidentielle qui encourage au simplisme. Le refus de la complexité conduit à un manichéisme qui renforce le camp du Bien et ses excommunications contre ceux qui s’accrochent aux faits. Hugo Chavez, l’autocrate vénézuélien, a interdit à ses télévisions de traiter les sujets "anxiogènes" (Le Monde, 18 juillet). La gauche sympa et ses poissons suiveurs ne sont guère plus tolérants.Depuis cent jours et plus, l’accusation en droitisation et en extrémisme fuse chez les ouailles socialistes.
 La diabolisation frappe quiconque met en doute l’univers irénique de la gauche pacifiste et plan-plan. L’écrivain Richard Millet connaît, ces jours-ci, la reductio «ad hitlerum » qui a déjà valu à Renaud Camus d’avoir été lâché par ses éditeurs, Fayard et POL. Ces Cassandre, fins observateurs du déclin culturel et littéraire français, font le même constat d’un pays entré dans une guerre civile qui ne dit pas son nom. Accusé, dans Le Monde de mardi, de s’inscrire « dans une pensée d’extrême droite » , Millet, éditeur à succès chez Gallimard, voit sa place au comité de lecture de cette maison remise en question par des Saint-Just qui réclament sa tête au nom de l’humanisme. Derrière le discours sirupeux des moralistes, la chasse aux dissidents est rouverte.  Serait-il interdit, par les gardeschiourmes de l’Ordre moral, de s’inquiéter des guérillas qui, à Amiens, ont blessé 16 policiers par plombs et qui, à Marseille, incitent une sénatrice PS à en appeler à l’armée ? Faudrait-il ne rien voir, dans des écoles « sensibles », des violences et du racisme qui s’y installent ? Faudrait-il poursuivre l’angélisme diplomatique, repris lundi par Hollande, qui nie le choc des civilisations alors que « l’ordre islamique est en marche » en Tunisie, Égypte, Maroc, Libye, comme le remarque L’Humanité de lundi dans un moment de lucidité ? Oui, « une guerre mondiale nous guette » , comme l’a écrit Max Gallo dans Le Figaro du 17 août. S’esquissent aussi de possibles conflits économiques, civils, générationnels. La gauche susurre : « Dormez, braves gens ! ». Voltaire, reviens !

Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, sortira-t-il le PS de sa torpeur ? Il a pour lui un parler clair qui n’est pas banal à gauche. Elle l’a d’ailleurs applaudi à La Rochelle, quand il s’en est pris à « l’ordre communautariste » qui veut « chasser la République des quartiers » . Il dit vouloir en découdre avec « les mafias et les caïds » . Mais le même se contorsionne pour ne pas ressembler à la droite. À Amiens après les émeutes, il a assuré : « Je ne suis pas venu pour que l’on passe au Karcher ce quartier » . Sur les deux sujets qui structurent le politiquement correct, l’immigration et l’islam, il déroule un irréprochable chapelet qui lui fait réciter que l’ « arrivant est une chance » et que « l’islam d’aujourd’hui est l’hériter de Cordoue qui fut un accélérateur de connaissance, de culture et d’acceptation mutuelle » . S’il ne craint pas de nommer les Roms, commodes boucs émissaires de l’insécurité depuis Nicolas Sarkozy, il se garde de désigner l’origine culturelle des vrais fauteurs de troubles, majoritairement issus d’une contre-société qui ébranle la cohésion nationale. Alors que le cardinal Philippe Barbarin reconnaissait cet été, dans Le Figaro : « L’Église à l’habitude d’être le paillasson sur lequel on s’essuie les pieds » , Valls assurait, inaugurant une mosquée à Cercy-Pontoise : « Toute attaque contre une religion (…) est une attaque délibérée contre la République. » Voici donc un héritier présumé des Lumières qui veut rendre l’islam intouchable, tout comme Alain Juppé qui déclare que « l’islamophobie » , cette accusation forgée par les intégristes iraniens pour interdire toute critique, était « contraire aux principes républicains » . Le délit de blasphème n’est plus loin. Voltaire, reviens ! Le prix de la paix

Le doute est permis sur l’éventualité d‘une guerre civile, même si ses répétitions s’accélèrent dans les cités. Il n’empêche que la paix s’achète au prix fort pour l’État, menacé de défaut de paiement. Outre les près de 50 milliards d’euros déjà déversés, en vain, sur les banlieues, les nouveaux « emplois d’avenir » réservés prioritairement aux « zones sensibles » seront facturés 1,5 milliard : autant d’endettements supplémentaires pour un gouvernement qui fait émigrer ceux qu’il voudrait tondre un peu plus. Il y a là une incohérence qui devrait mobiliser l’UMP. Or que voiton ? Une droite désespérante, qui s’engage dans un conflit entre François Fillon et Jean-François Copé, en laissant à Jean-Luc Mélenchon le rôle de meilleur opposant au socialisme (voir mon blog)…

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31 août 2012 5 31 /08 /août /2012 09:00


Il ne faut pas seulement entendre Samia Ghali. Mais répondre vite à son appel au secours. La sénatrice socialiste de Marseille demande l’intervention de l’armée pour lutter contre le trafic de drogue dans la Cité phocéenne. Une ville mise en coupe réglée par les mafias, où les règlements de comptes à la kalachnikov se multiplient en pleine rue, où le commerce de stupéfiants devient le premier employeur des jeunes. Samia Ghali a, au moins, le courage de briser la loi du silence. Oui, « il faut que les vérités soient dites » , pour reprendre son expression. Et elle a raison de lancer un gros pavé dans la mare de ses camarades socialistes, aujourd’hui au pouvoir. Son discours doit résonner comme une provocation aux oreilles de Christiane Taubira, favorable à la suppression des courtes peines de prison, et des élus de gauche partisans de la dépénalisation du cannabis. Samia Ghali, elle, voit la réalité. Elle en constate tous les jours les dégâts comme maire d’arrondissement et n’a pas le temps de se perdre dans de confuses théories. Sans doute sait-elle que le recours à des militaires en pareille circonstance paraît difficilement concevable. Mais son appel a la force du symbole. Il revient à demander que tous les moyens soient mis en oeuvre pour déclarer la guerre aux trafiquants. Une politique de tolérance zéro qui, en d’autres lieux, s’est déjà révélée efficace. Dans le métro de New York notamment. C’est une question de volonté autant que de pragmatisme. On a trop longtemps fait de Marseille, ville de tous les fantasmes, une exception française. Comme si la délinquance y était une fatalité. Nombre d’élus, de droite et de gauche, ont tort de traiter Samia Ghali d’irresponsable. Les Marseillais qui vivent la peur au ventre attendent d’eux qu’ils prennent enfin la mesure du fléau. Les propos de la sénatrice PS ayant eu l’effet d’une déflagration, Jean-Marc Ayrault s’est senti obligé de convoquer une réunion ministérielle la semaine prochaine. En sortira-t-il pour une fois autre chose que de belles paroles ? Il faut le souhaiter pour Marseille, et pour la France.

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29 août 2012 3 29 /08 /août /2012 08:59

 

Emploi à vie, aucune obligation de résultat. Notre président Normal, qui se proclame épris de justice se garde bien de contrarier ceux qui l'ont êlu afin de conserver leurs immenses avantages.


Le décret réformant l'évaluation des enseignants, très critiqué par les syndicats et publié in extremis par le gouvernement de droite au lendemain de la victoire de François Hollande, a été abrogé le 27 août, selon le Journal officiel de mercredi.

Le décret réformait l'évaluation des enseignants à partir du 1er septembre et son abrogation était un engagement du ministre de l’Education nationale Vincent Peillon.

Le décret avait été signé le 7 mai, au lendemain de l'élection présidentielle. Vincent Peillon avant dénoncé «un passage en force» et «un mépris du dialogue social».

Conformément au souhait des syndicats, le sujet est abordé dans le cadre de la concertation sur la refondation de l’Ecole de la République lancée par Vincent Peillon début juillet. Cette concertation se poursuit jusqu'à la fin du mois de septembre, en vue d’un projet de loi d’orientation et de programmation qui sera déposé à l’automne.

Le décret avait été publié par l’ancien ministre, Luc Chatel, malgré l’opposition massive des syndicats - qui avaient organisé des grèves le 15 décembre et le 31 janvier - et de la Société des agrégés de l’université.

Le texte imposait aux enseignants un entretien professionnel réalisé tous les trois ans par leur supérieur hiérarchique direct. Les syndicats craignaient que ce nouvel entretien unique ait un impact négatif sur leur carrière, notamment sur leur salaire.

Ils dénonçaient également un texte qui «touche au cœur même du métier» et conduisait, selon eux, à une gestion «managériale» de leur profession.

L’abrogation du décret publié au Journal officiel du 8 mai 2012 a pris un certain temps car le processus devait «se faire dans le respect de la procédure habituelle qui impose un passage devant le Comité technique ministériel du ministère chargé de l’Education nationale (CTMEN) puis devant la commission des statuts du Conseil supérieur de la Fonction publique de l’Etat (CSFPE) et enfin devant le Conseil d’Etat», avait expliqué début juillet le ministère.

(AFP)

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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 22:54

 

Trois ministres se sont donnés le mot aujourd'hui pour renvoyer sur le dos du précédent gouvernement la responsabilité du très mauvais chiffre du chômage de juillet qui contribue à plomber l'ambiance de cette rentrée.

 

Près de 3 millions de chômeurs en France métropolitaine et pas de perspective d'amélioration à court terme .

 

A qui la faute ? Aux autres , à ceux d'avant, ont rétorqué Michel Sapin, Stéphane Le Foll et Vincent Peillon, le ministre de l'éducation parlant à propos du quinquennat Sarkozy « d'années d'incurie . »


Le coup de l'héritage est un grand classique politique . A chaque alternance, les français y ont droit  mais ce qui pouvait encore marcher avant l'été devient en septembre inopérant : la nouvelle équipe a eu trois mois pour se roder, elle a déjà fait voter des projets de loi, on ne l'attend plus sur ce qu'a fait le précédent gouvernement mais sur ses projets.


C'est l'une des raisons de la baisse dans les sondages du couple exécutif : «  le changement c'est maintenant » clamait le slogan de campagne de François Hollande. En fait, le changement prendra du temps et c'est sur cette réalité que le gouvernement bute .

Pour tenter de répondre aux impatiences , il marie les mesures d'urgence, les 150 000 emplois d'avenir qui seront présentés mercredi en conseil des ministres, et les réformes de structure, beaucoup plus délicates sur le contrat de travail ou le coût du travail .

Mais comme ces dernières sont renvoyées à la négociation sociale,  le gouvernement ne peut pas vraiment dire quand elles vont aboutir ni sur quoi elles vont déboucher . Tout au plus entend on qu'il faudra que des décisions soient prises à la mi 2013 .

Il y a du mou dans la vision, un doute sur la capacité à redresser le pays avec le risque  de voir le pays s'engluerr dans une grande sinistrose avec, en toile de fond, le procès en impuissance politique .

 

 

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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 15:25

 

      la France a besoin de réformes, a besoin de courage et elle est gouvernée par un président qui est dans le conservatisme le plus absolu.

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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 15:14

 

Charles Clément Boniface Ozdemir, dit le Père Samuel, est évêque belge de l'Église catholique"


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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 08:43

 

  • Classement de l'article  
  • 28 août 2012
  • Le Figaro

Monsieur le président, C’était donc vrai ! Lorsque vous déclariez « ne pas aimer les riches », beaucoup avaient pensé davantage à une boutade qu’à un acte de foi. De la même manière, lorsqu’au Bourget, vous avez dénoncé « l’empire de l’argent » , nombreux sont ceux qui n’ont vu là que la harangue d’un candidat décidé à renouer avec les classes les plus populaires.

À ce moment-là personne ne pouvait vous juger sur pièces. C’était l’heure de la campagne électorale, des promesses et des discours. Aujourd’hui, c’est différent. Cela fait plus de cent jours que vous êtes installé à l’Élysée, que votre gouvernement agit et défait ce que l’ancienne majorité avait construit. Et vous voilà au pied du mur budgétaire pour 2013, tel le maçon, prêt à prendre des mesures radicales à l’égard des plus aisés, mais aussi des entreprises, qui sont pourtant le sel de la croissance.

Désormais, il ne vous est plus possible de vous cacher derrière votre petit doigt. Votre politique est clairement dirigée contre les créateurs de richesses, ceux qui travaillent le plus, ceux qui refusent l’assistanat, mais aussi contre les entreprises, qu’il s’agisse des grands groupes du CAC 40 comme des PME provinciales. Bien sûr vous recevez des patrons à déjeuner pour leur dire de ne pas s’inquiéter, pour leur parler compétitivité, stabilité de la zone euro ou redressement des comptes publics. Bien sûr vous allez visiter de temps à autre des usines où l’on produit français, pour montrer qu’il n’y a pas de raison de multiplier les plans sociaux.

Mais dans le même temps s’installe progressivement dans le pays un climat anti-entreprises, anti-respect des règles et anti-créateurs de richesses et d’emplois. Au point que certains dirigeants se demandent s’ils ont encore affaire à un État de droit. Le patron d’Unilever, qui cherche à restructurer depuis des mois une usine près de Marseille, a averti, il y a quelques jours : « Si la France ne respecte pas ses lois, cela fera peser un risque sur les investissements. » Le dirigeant du papetier Clairefontaine n’a pas davantage mâché ses mots : « La France n’est plus un État de droit. Les décisions de justice concernant les plans sociaux ne respectent pas ce que dit le Code du travail. » Comment s’étonner, dans ces conditions, que l’investissement industriel recule ?

plus qu’à côté de ce climat, qui fait des patrons des délinquants en puissance, qui transforme les actionnaires en rentiers qui s’enrichissent en dormant et qui met tous les torts du côté des propriétaires, il y a tout votre arsenal fiscal. Contribution exceptionnelle de l’ISF déplafonnée, rétablissement de l’ancien barème de l’ISF, diminution des abattements en cas de donation-partage et, bientôt, une réforme fiscale avec cette fameuse tranche à 75 % pour tous ceux qui gagnent plus d’un million d’euros, sauf les artistes et les sportifs. Quel signal vous apprêtezvous à envoyer au pays ? Qu’il vaut mieux ne pas chanter la Marseillaise sur une pelouse verte que de travailler 75 heures par semaine dans le but d’ouvrir de nouveaux marchés et de créer des emplois ? Cela mériterait un éclaircissement !

Quant aux entreprises, elles sont assommées de toutes parts. Ne parlons même plus de cette taxe de 3 % sur les dividendes distribués qui constitue un non-sens économique au moment où elles ont davantage besoin de se tourner vers leurs actionnaires que vers leurs banquiers. Mais tout de même comment peut-on relever brutalement de 8 à 20 % le forfait social qui pèse sur l’intéressement et la participation, alors que ce sont là l’une des principales sources d’amélioration du pouvoir d’achat des Français ? Comment peuton songer à supprimer les avantages fiscaux réservés à ceux qui prennent le risque d’investir dans des PME ? Comment peut-on même imaginer de réintégrer une partie des biens professionnels dans l’assiette de l’ISF, quand les oeuvres d’art resteront exonérées ? À moins que vous rêviez d’une France où il vaut mieux détenir des commodes Louis XVI plutôt que des actions.

Monsieur le président, il est encore temps de revenir sur terre. Il est temps de prendre conscience que la création de richesses est un grand concours mondial où tout le monde se bat avec deux armes : le droit le plus favorable possible pour les entreprises, et des taux d’imposition les plus acceptables. Personne n’a réussi, à présent, à faire de la croissance en dénonçant l’argent et en accablant les groupes industriels et financiers.

Monsieur le président, les entreprises ne sont ni de gauche ni de droite. Elles veulent juste s’entendre dire qu’on les aime. De grâce, dites-leur. Et mieux encore, montrez-leur !

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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 08:27

 

  • Classement de l'article  
  • 28 août 2012
  • Le Figaro
Le plus difficile, en politique, n’est pas de faire des promesses, c’est de les tenir. Surtout lorsqu’elles exhalent un fort parfum de démagogie : tôt ou tard, elles se brisent sur le mur des réalités. Sommé de respecter l’engagement du candidat Hollande de bloquer la hausse des prix des carburants, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault est en train d’en faire l’amère expérience. Il n’est pas contestable qu’à 1,45 euro le litre de diesel ou 1,63 euro celui d’essence sans plomb, les automobilistes français paient très cher - trop cher - leur plein de carburant. Cela ne justifie pas de les leurrer. L’esprit de responsabilité aurait consisté à leur décrire la situation telle qu’elle est : sous l’effet d’une consommation de plus en plus importante des pays émergents, comme la Chine, et de tensions géopolitiques très fortes au Moyen-Orient, la demande mondiale de pétrole excède l’offre et les cours flambent. Prétendre réguler les prix dans un pays qui ne produit pas une goutte de pétrole - donc totalement dépendant de facteurs extérieurs - est donc au mieux un doux rêve, au pire un grossier mensonge. Mais plus que ces sornettes racontées aux électeurs, ce sont surtout les moyens imaginés pour contrer la hausse des prix qui inquiètent. Une baisse « modeste et provisoire » des taxes ne changera rien au fond du problème, tout en creusant un trou dans les comptes publics. Confrontés aux mêmes problèmes de déficits que nous, pas un de nos voisins ne s’est d’ailleurs lancé dans une stratégie aussi aventureuse, que l’on sait d’avance vouée à l’échec. De même, grappiller un ou deux centimes en exigeant des distributeurs et des pétroliers qu’ils rognent leurs marges est intenable à terme. Aucune entreprise privée, soumise à la concurrence, ne peut prétendre « vendre à prix coûtant » durablement sans se mettre en danger. Surtout, ces engagements n’immuniseront en rien les automobilistes contre une nouvelle hausse du prix du pétrole. La vérité est que le seul moyen de se prémunir contre le pétrole cher consiste à l’économiser, en roulant moins et mieux, avec des automobiles utilisant de nouvelles technologies. C’est un chantier lourd, de longue haleine, mais plus sérieux qu’une promesse électorale sans lendemain.
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27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 16:09

 

Conférence internationale au parlement européen pour liberté d'expression contre la charia !

Surtout écoutez et reécoutez. Faites passer, il faut que la France entière soit au courant.

 

 

 

Publiée le 21 juil. 2012 par Alain Wagner

Le moment fort de la Conférence Internationale pour la Liberté d'Expression et les droits de l'Homme tenue le 9 juillet 2012 fut la lecture et la signature de la Déclaration de Bruxelles qui établit une ligne d'action stratégique contrant le programme islamique d'imposition mondiale de la Charia.

Alain Wagner (France) 
présente le document

Ned May (USA) 
lit le texte de la résolution.

Elisabeth Sabaditch-Wolff (Autriche) 
lit les huit mesures exigées de nos gouvernements.

La signature de ce document marque de commencement du Processus de Bruxelles, une initiative inscrite dans la durée qui à pour but de protéger la Liberté d'Expression, les droits de l'Homme et la Démocratie des actions destructrices des promoteurs de la Charia.

 

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27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 15:24

 

Christine Taubira, vient de déclarer que les bruleurs du drapeau français le 6 Mai ne seront pas poursuivis. Il sagit dun geste de liesse pardonnable a t elle dit au micro de RFI ........



> > > > > J'ai longuement flotté sur les champs de bataille, Résistant bravement aux coups de la mitraille
> > > > >  Maintes fois ma voilure épongea dans le vent Le sang des soldats morts, les pleurs des survivants.
> > > > >  Au sommet du pays je dressais mes couleurs, Témoignage vibrant de la Foi, de l'Honneur.

> > > > >  Les anciens devant moi soulevaient leur chapeau, Qu'y a-t-il de plus beau que l'amour d'un drapeau ? 
> > > > > Mais la honte survint par un soir gris d'hiver : Ma hampe fut brisée par des mains étrangères. 
> > > > > Lacérés, mes beaux plis sanglotaient en silence En voyant que ces doigts s'attaquaient à la France. 
> > > > > Devant la foule haineuse, on me jeta à terre. Un instant je pensais : « nous sommes donc en guerre ! » 
> > > > > Mais en guerre un étendard a ses défenseurs, Ici nul n'accourut pour calmer ma douleur ! 
> > > > > Les uniformes bleus trépignaient de colère, Mais leur chef, tout là-haut, préservant sa carrière,
 Me laissa sans mot dire aux mains de mes bourreaux : Je mourus sans qu'une arme quitte son fourreau. 
> > > > > Ce soir je regrettais de porter ces couleurs, Car une part de la France est morte dans mes pleurs. 
> > > > > Quand mon pays me laisse ainsi succomber, seul,
 Je ne suis plus drapeau, mais je deviens linceul.
> > > > > 
> > > > >  Lieutenant-colonel Michel BRAULT
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J'ai plus envie de me croire à Kaboul dans ma ville,

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J'ai plus envie de relativiser. >>>>