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Le plan de rigueur Fillon, adopté par les députés, prévoit le doublement de la taxe (7% au lieu de 3,5%)sur les contrats Santé des mutuelles .

 Affirmer  que les assureurs sont suffisamment riches pour ne pas répercuter cette hausse d’impôt sur les contrats santé sur leurs clients relève  d’une méconnaissance des réalités économiques des assureurs.

 Les primes d'assurance complémentaire vont bel et bien augmenter suite à cette taxation et au déremboursements toujours plus nombreux de la sécurité sociale.

 Avec la hausse des cotisations, les adhérents opteront pour des garanties dont les niveaux de remboursement sont moindres, qui ne couvrent par exemple que les coûts d'hospitalisation. La hausse des cotisations va fragiliser un peu plus l'accès des Français à la santé, elle affectera directement leur pouvoir d’achat.  Les franchises médicales, les dépassements d'honoraires, les déremboursements rendent le système de santé français de moins en moins accessible aux plus modestes. 

C’est donc bel et bien l’accès aux soins des Français qui est directement menacé et les principes fondateurs d’un système de soins solidaire, entre malades et bien portants et  entre riches et pauvres qui est remis en cause !

 

Cette mesure est inacceptable ! à l’heure où l’on demande aux Français de se serrer la ceinture , que les immigrés illégaux sont mieux couverts, en matière de santé, que ne le sont les immigrés légaux et les Français eux-mêmes, l’Etat aurait du avoir le courage de revoir de fond en comble ces allocations ( ASPA, ATA, AME,..) qui sont des gouffres financiers et une pompe aspirante pour l’immigration clandestine.

 

Puisqu’il y a la CRISE, que nous sommes en faillite ( FILLON),  Il faut rapidement envoyer un message FORT aux pays émigrants, en ce sens :

La France ne sera plus le pays de cocagne. Elle est et restera le pays des droits de l'homme mais sans mansuétude, sans candeur. L'accent sera mis sur les devoirs demandés aux migrants choisis. Les droits seront réduits, leur accès durci.

L'AME, 600 millions €, doit cesser de "dévoyer"  les principes du service public  «Soigner les étrangers en cas d'urgence ou pour des maladies contagieuses qui pourraient se propager est légitime et nécessaire. Faciliter les abus du système est inadmissible ". La CPAM et le corps médical devront agir de façon conjointe et se montrer inflexibles. Un meilleur contrôle des flux migratoires devrait également diminuer le nombre de bénéficiaires.

Il faudra être Français pour prétendre à l'APA et L'ASPA.

L'ASPA ( retraite ) ne sera pas attribuée aux personnes n'ayant pas travaillé en France.

Traquer les FRAUDES. Créer un service " d'incorruptibles" informaticiens pour croiser les informations de nos bases de données afin de mettre en évidence les anomalies, puis activer les procédures visant  à empêcher les abus, les fraudes. On ne doit pas nous prendre pour des "Gogos".

 

 

ASPA

http://le-cri-du-contribuable.pro-petition.fr/pas-de-retraite-en-france-sans-y-avoir-travaille

 

ATA

http://vosdroits.service-public.fr/F16118.xhtml

 

AME, ces vérités qui dérangent

 

http://www.lefigaro.fr/sante/2010/10/09/01004-20101009ARTFIG00003-aide-medicale-d-etat-ces-verites-qui-derangent.php

 

Valeurs actuelles :

 

Entretien. "La France est actuellement le pays le plus accueillant du monde".

Claude Goasguen : "Mes propositions sur l'immigration"

Arnaud Folch le jeudi, 30/09/2010

 

Alors qu’est débattu à l’Assemblée le projet de loi sur l’immigration, le député UMP veut en finir avec l’“angélisme” et dénonce les dérives de l’aide médicale de l’État.

Vous avez été chargé par l’Assemblée d’un rapport portant, notamment, sur l’AME (aide médicale de l’État). Ce dispositif réservé aux sans papiers est mal connu des Français. Personne n’en parle. Comment l’expliquez- vous ?  L’AME fait partie des “zones d’ombre” de notre politique d’immigration. La gauche, qui l’a créée en 1998, n’en parle pas, et pour cause : elle préfère, pour des raisons politiques, dénoncer le traitement soi-disant “inhumain” dont seraient victimes les clandestins – alors même que la France est en réalité l’une des plus généreuses du monde à leur égard ! La droite elle aussi se tait, mais pour des raisons inverses : alors que nos électeurs réclament plus de fermeté contre les clandestins, elle a continué, par facilité, à laisser faire, et surtout à laisser dériver le fonctionnement et le coût d’un dispositif qui aboutit à cet incroyable constat : en France, aujourd’hui, les immigrés illégaux sont mieux couverts, en matière de santé, que ne le sont les immigrés légaux et les Français eux-mêmes ! C’est à la fois un gouffre financier et une “pompe aspirante” pour l’immigration clandestine. D’autant plus inacceptable, en l’état, à l’heure où l’on demande aux Français de se serrer la ceinture.

En quoi consiste vraiment cette AME, et combien de clandestins en bénéficient ?Lorsqu’elle a été créée, il y a douze ans, elle devait permettre aux clandestins d’être couverts dans les seuls hôpitaux publics, et uniquement en matière de médecine d’urgence, de grossesse et de vaccination. Les deux premiers cas pour des raisons humanitaires, le troisième afin d’éviter la propagation de maladies infectieuses. Mais ce dispositif, comme je l’ai dit, a dérivé : l’AME couvre désormais à 100 % – c’est-à-dire sans ticket modérateur, contrairement à la CMU – l’ensemble des soins médicaux (lunettes, dentistes, cures, etc.), y compris auprès de médecins libéraux. Environ 200 000 clandestins en bénéficient.

Pour quel coût ?  Le budget alloué à l’AME est passé de 47 millions d’euros en 1998 à 520 millions. Auxquels s’ajoute – le poste étant en déficit… – une rallonge de 150 millions. Soit un total de 670 millions d’euros par an – 3 350 euros par clandestin en moyenne.

Que proposez-vous ?  Le rapport sera rendu début 2011. Mais une chose est sûre : au rythme actuel, le coût de l’AME risque d’atteindre… un milliard d’euros d’ici quelques années, car cette population est encore sous-médicalisée. Il n’est pas question de l’interdire, mais de revenir à son double objet initial : un dispositif permettant aux sans-papiers de bénéficier de soins vitaux – auxquels chacun doit pouvoir prétendre dans une grande nation civilisée – et au reste de la population de se prémunir contre les risques de contagion. C’est, du reste, la voie choisie par la plupart de nos voisins, à l’exception de la Grande-Bretagne. Notre objectif est d’économiser 300 millions d’euros par an. J’ajoute que moins d’“avantages” octroyés aux clandestins, c’est aussi moins de clandestins tentés de venir chez nous profiter de ces mêmes “avantages”…

Certains vous diront que la solution passe aussi, et peut-être d’abord, par l’augmentation du nombre des expulsions. Or Éric Besson vient de reconnaître que 75 % d’entre elles n’étaient pas effectuées… C’est la raison pour laquelle une nouvelle loi va être votée. Mais elle risque, comme les précédentes, de se révéler insuffisante. Concernant l’immigration, notre pays baigne en effet, depuis des années, dans un certain angélisme. Or agir avec efficacité en la matière consiste d’abord à dire la vérité aux Français. Cette vérité, contrairement à ce que dit la gauche, c’est que la France est, avec ses immigrés légaux et illégaux, le pays le plus généreux et le plus accueillant du monde ! Nulle part ailleurs ceux-ci ne bénéficient de droits et de protections équivalents en matière sociale, de justice, d’emploi, etc. Mais, comme pour l’AME, cela ne se sait pas, ou peu.

Le sujet, du reste, est tellement tabou qu’on ne sait même pas combien il y a réellement d’immigrés en France, puisque nous sommes le seul pays en Europe à ne pas disposer de registres de population. Aujourd’hui, les langues commencent, un peu, à se délier. Les travaux de Jean-Paul Gourevitch, par exemple, ont démontré que l’immigration nous coûte plus qu’elle ne nous rapporte : 90 milliards de dépenses publiques d’un côté, 65 milliards de recettes de l’autre. C’est un début. Il faut faire sauter tous les tabous en matière d’immigration : comment débattre et agir sur un sujet que l’on connaît si peu ?

Comment expliquez-vous, justement, que des personnes en situation illégale bénéficient d’une aide légale de l’État – censé devoir les expulser ? Cela illustre mon propos. Beaucoup de Français se disent : “Qu’attend l’État pour expulser une partie au moins des 200 000 clandestins qui se sont inscrits, à la Sécu ou à l’hôpital, pour percevoir l’AME ? Mais la réalité, ignorée, c’est qu’il est interdit de croiser les fichiers ! Je souhaite que l’on permette ces croisements.

Inversement, une partie de l’opinion apporte son soutien aux “travailleurs sans-papiers”, trouvant injuste que l’on puisse menacer d’expulsion des salariés “en règle”. Mais si ces clandestins ont été embauchés, c’est sur la foi de documents falsifiés ! Non seulement il s’agit de personnes entrées illégalement en France, mais elles ont, de surcroît, fabriqué des faux papiers – un délit extrêmement grave.

Je souhaite que les patrons, qui ne disposent d’aucun moyen, ou presque, vérifient l’authenticité des documents produits par ces clandestins, cessent d’être “présumés coupables”. Il appartient aux autorités de démontrer leur mauvaise foi, et non l’inverse.

Pensez-vous qu’il faut restreindre la double nationalité ? Là encore, nous parlons de choses que nous ignorons : combien y a-t-il, réellement, de binationaux en France ? Sont-ils plus attachés à l’une ou à l’autre de leurs nationalités ? Une chose est sûre : cette dou ble allégeance – puisqu’il s’agit bien de cela – n’est pas conforme avec l’idée d’intégration. Si lors de la dernière Coupe du monde certains supporters français d’origine algérienne se sont montrés plus algériens que français, c’est en partie parce qu’ils avaient la double nationalité. En cas de conflit, celle-ci peut poser de graves problèmes.

Je pense que la double nationalité ne doit plus être automatique ou qu’elle doit faire l’objet de quotas. Il faut donc revenir sur un certain nombre d’accords internationaux. Mais avant toute réforme, l’important, là encore, c’est d’en finir avec les non-dits de l’immigration et, je me répète, d’en faire enfin sauter tous les tabous.Quels qu’ils soient et d’où qu’ils viennent. Propos recueillis par Arnaud Folch

 

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J'ai plus envie de me croire à Kaboul dans ma ville,

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J'ai plus envie de relativiser. >>>>