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10 décembre 2013 2 10 /12 /décembre /2013 18:25

 

COMMUNIQUE DE PRESSE
de Jacques MYARD
Député de la Nation
Maire de Maisons-Laffitte
Président du Cercle Nation et République


 

Le 10 décembre 2013



A/S :
Travailleurs détachés : vantardise socialiste !



A la suite du Conseil européen des Ministres du 9 décembre sur la directive de 1996 sur les travailleurs détachés, le gouvernement socialiste chante victoire et prétend qu’il a gagné.

Ce n’est rien d’autre qu’une nouvelle vantardise de la part du gouvernement socialiste. En effet, si des contrôles pourront êtres mieux organisés par les Etats, notamment sur les conditions de salaires des travailleurs détachés, il n’en demeure pas moins qu’en raison de la libre circulation dans l’Union Européenne, il est illusoire de croire qu’il sera possible de connaître la date exacte d’entrée des travailleurs détachés.

Mais surtout, cette prétendue victoire française à Bruxelles ne remet nullement en cause le système pervers de la directive de 1996 qui autorise l’emploi en France de travailleurs détachés dont les cotisations sociales seront toujours acquittées en Bulgarie, Roumanie ou Pologne à un coût minimum de 30 % inférieur à ce qu’il est en France.

A l’évidence, le gouvernement socialiste avalise le système même de la directive de 1996 et se fait complice d’un dumping social et d’une concurrence déloyale légalisés.

Une fois de plus, ce gouvernement fait de l’enfumage !

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10 décembre 2013 2 10 /12 /décembre /2013 07:55
Bd Voltaire

C Vanestre

    
Le 9 décembre 2013
Hollande réduit le budget de la Défense alors que l’Armée n’a jamais été autant sollicitée.
       
         

La figure sanctifiée de Nelson Mandela a inspiré le monde médiatique tout entier, les politiques, de la Corée du Nord à Cuba, de Poutine à la Reine Elisabeth, les stars du sport et du show-biz, de U2 à Pelé. Netanyahou et Mahmoud Abbas ont, pour une fois, tenu le même discours. Ce fut même une bousculade à celui qui serait au premier rang des hommages ou qui rappellerait avec le plus de ferveur sa dévotion au saint homme en une vibrante oraison. Minutes de silence dans les stades, aux premières, à la Scala : Madiba est devenu l’icône people par excellence qui permet aux élus de la terre d’acheter une bonne conscience par quelques mots d’admiration pour celui qui fut injustement damné, mais qui, sauvé et rédempteur, réconcilia et pardonna. En France, Bergé, J. Lang et BHL n’ont pas manqué de célébrer de façon monocolore le père de la nation arc-en-ciel. Maître des cérémonies mondiales, l’autre icône et autre prix Nobel de la Paix, Obama, a voulu apparaître comme le troisième personnage de la trinité entre Martin Luther King et Madiba. L’humanité est tournée vers la fin de l’année comme vers une aube nouvelle.

En Janvier, on rangera les décors, on éteindra les illuminations, on déménagera les marchés de Noël, et on aura comme tous les ans la gueule de bois en voyant réapparaître la réalité toute grise. L’Afrique du Sud redeviendra ce qu’elle est : un pays miné par 26 % de chômage au minimum, ravagé par le Sida, meurtri par une violence et une criminalité considérables, irrité par des inégalités insupportables. Malgré la bonne volonté évidente et les gestes symboliques de Mandela, ce pays n’est pas un modèle, juste une exception qui attire encore les réfugiés des catastrophes voisines comme le Zimbabwe. Mais les immigrés y sont souvent victimes de xénophobie. L’arbre Madiba ne cache pas la forêt humaine.

En Janvier, Hollande l’Africain, qui trouve dans les interventions sur ce continent, dont il voulait tourner la page, l’occasion de redorer son blason, verra le monde comme il est : un monde dangereux où la France a moins de place. Les Talibans reprennent pied en Afghanistan, les attentats se multiplient en Irak, les villages chrétiens sont attaqués en Syrie par ceux que la France voulait aider, le Printemps Arabe n’est plus qu’une illusion dissipée, la Charia règne en Libye, la dictature militaire en Egypte.

Et face à ce monde, F. Hollande réduit le budget de la Défense alors que l’Armée n’a jamais été autant sollicitée. Aura-t-elle désarmé la Séléka en Centre-Afrique, définitivement empêché l’éclatement du Mali ? Elle ne contribuera plus, en tout cas, à la formation civique et à l’assimilation des jeunes Français. Elle ne leur offrira plus cette deuxième chance après une école que l’enquête Pisa a révélée de plus en plus inefficace et inégalitaire. F. Hollande surtout retrouvera la réalité du déclin économique de notre pays : celle du chômage que les emplois fictifs ne font que masquer, celle de l’effondrement de notre industrie que les forfanteries de Montebourg n’entravent guère, celle d’un pays structurellement bloqué que les réformettes prétendument social-démocrates après la vague idéologique socialiste n’améliorent pas. Lorsque les Rois-Mages reviendront de l’enterrement de Madiba, qu’ils se préparent à affronter un monde dépouillé de la magie de Noël.

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10 décembre 2013 2 10 /12 /décembre /2013 07:26

BIZARRE, vous avez dit BIZARRE ? Comme c'est BIZARRE !

 Les Echos
Par Vincent Collen | 10/12 | 06:00

Les arrêts maladie d'une journée ont chuté de 40 % en 2012.
La suppression du jour de carence dans la fonction publique en 2014 devrait mettre fin à cette tendance.

Hôpitaux, collectivités locales : le jour de carence a fait chuter l\'absentéisme

L'instauration d'une journée de carence pour les arrêts maladie des fonctionnaires a fait chuter l'absentéisme de courte durée de façon spectaculaire. En 2012, le nombre d'absences d'une journée a reculé de 41 % dans les hôpitaux (hors les 32 gros CHU) et de 43 % dans les collectivités territoriales, selon les données de Sofaxis, un courtier en assurances pour la fonction publique. C'est la première baisse enregistrée depuis six ans. Du coup, toutes durées confondues, la fréquence des arrêts est retombée à son niveau de 2007 dans les hôpitaux, un peu au-dessus dans les collectivités (voir graphique).

Même si de telles données ne sont pas disponibles pour les fonctionnaires d'Etat, il y a là de quoi relancer la polémique qui oppose le gouvernement et la droite sur cette journée de carence. Instaurée par Nicolas Sarkozy au 1er janvier 2012, elle sera supprimée à partir du 1er janvier 2014. « La tendance constatée en 2012 devrait donc se confirmer en 2013, mais pas l'an prochain », explique Pierre Souchon chez Sofaxis. La ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, conteste ces chiffres : « Les enquêtes menées n'ont pas montré de réduction significative des absences de courte durée. L'instauration du jour de carence était injuste, inutile et inefficace », dit-elle. Selon le gouvernement, la proportion d'agents en arrêt de courte durée est passée de 1,2 % à 1,1 % pour l'Etat, de 0,8 % à 0,7 % à l'hôpital, et elle est restée stable dans les collectivités, à 1,1 %. Ces chiffres ne contredisent pas forcément ceux de Sofaxis, car les arrêts courts comprennent les absences jusqu'à 15 jours.

Les employeurs se sont battus, en vain, pour le maintien du jour de carence. « La prise en charge des patients est mieux assurée grâce à des équipes plus stables et des économies significatives ont pu être dégagées », estime la Fédération hospitalière de France, qui défend les 1.200 établissements publics de santé. Les syndicats, au contraire, se félicitent de sa suppression.      

Vincent Collen

Public, privé : des règles différentes
Depuis le 1er janvier 2012, en cas de congé pour maladie non professionnelle, le premier jour d'arrêt n'est plus rémunéré dans la fonction publique. La loi de Finances pour 2014 prévoit la suppression de cette journée de carence. Dans le secteur privé, le délai de carence est de trois jours. .

 

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 17:09
Posted On 09 déc 2013

Le gouvernement joue avec les chiffres du chômage, et la grande majorité des journalistes lui emboitent le pas.

Comme on le sait, le chômage n’a pas baissé le mois dernier, non : il a au contraire monté. Les « communicants » payés pour cela ont mis l’accent sur un chiffre en occultant l’autre aussi soigneusement que possible. Et en oubliant, ou presque, de parler des « emplois aidés », largement payés par le gouvernement, donc par les impôts, et qui sont, donc, des emplois artificiels ne contribuant pas à la production et à la moindre croissance.

Or, c’est un fait : l’économie française a une croissance nulle (et même négative si on soustrait de la croissance les chiffres de la « croissance » administrative), et elle ne crée pas d’emplois. Si on prend en compte toutes les données, il apparaît au contraire qu’elle en supprime.

Le nombre de pauvres classés comme tels parce que leurs revenus sont équivalents à la moitié du revenu médian ne cesse d’augmenter, et frôle, voire dépasse, la barre des dix millions de personnes.

Le pourcentage des « demandeurs d’emploi » comme tel reste nettement au dessus de la barre des dix pour cent, et si on réintroduit le nombre de ceux qui ne sont plus demandeurs d’emploi parce qu’ils ont renoncé, ou touchent ce qui s’appelait le RMI et s’appelle désormais le RSA, le pourcentage explose. Si on déduit du nombre de gens qui travaillent les vingt six pour cent qui travaillent dans la fonction publique, et qu’on calcule le pourcentage de chômeurs en proportion de ceux qui travaillent dans des activités où l’on risque effectivement de se trouver au chômage, le pourcentage prend des allures de cataclysme.

C’est pire en Grèce, en Espagne, au Portugal et en Italie, je sais. Mais la France étant l’une des principales économies d’Europe, c’est plus grave. Et c’est le signe d’une déchéance que d’autres signes viennent indiquer.

L’endettement ne cesse de croître, dépasse quatre vingt dix pour cent du PIB, et augmente tous les ans, puisque les prélèvements obligatoires représentent quarante six pour cent de la richesse nationale, et que les dépenses publiques en représentent environ cinquante sept pour cent. La différence ? Il faut l’emprunter, bien sûr. Le simple remboursement de la dette déjà existante consomme autant aujourd’hui que l’impôt sur le revenu, et c’est sans compter sur les dettes qui s’ajoutent à chaque seconde.

Le nombre d’entreprises qui ferment est supérieur au nombre d’entreprises qui se créent, et cela depuis des années. Il ne se passe pas une semaine sans qu’une usine soit en faillite ou délocalise vers des pays où les charges sont moins écrasantes.

Comme l’a écrit Jean Patrick Grumberg voici peu, les jeunes qui sont au chômage aujourd’hui le resteront une bonne partie de leur vie, et finiront déclassés. Et les jeunes qui sortent aujourd’hui de l’université, pour une bonne partie d’entre eux, eux aussi, connaîtront le même sort, sauf s’ils quittent le pays.

Mes amis de l’excellente organisation Contribuables associés viennent de publier un numéro des Enquêtes du contribuable appelé Ces Français qui fuient le socialisme, que je recommande vivement (contribuables.org/ces-francais-qui-fuient-le-socialisme), et l’enquête montre que ce ne sont pas seulement les gens qui ont de l’argent qui partent, mais tous ceux qui le peuvent. Deux cent quatre vingt cinq mille personnes quittent la France chaque année.

Dans les instituts économiques internationaux, on parle désormais de la France comme de « l’homme malade de l’Europe ». Et il y a des explications à cela. Elles ne sont pas toutes économiques.

L’université continue à former des gens à des métiers qui n’existent pas

Elles tiennent à l’existence d’un appareil d’enseignement totalement sclérosé où l’université continue à former des gens à des métiers qui n’existent pas et, très largement, ne forme pas aux métiers qui existent, et où dès le lycée, l’anticapitaliste règne en maître (quand je consulte le manuel scolaire de ma fille la plus jeune, qui est en quatrième, j’ai l’impression de lire le Programme des Verts, voire parfois des textes rédigés par Olivier Besancenot).

Elles tiennent à ce que les médias continuent le travail mené par le système d’éducation et achèvent de lessiver les cerveaux  (je ne dénoncerai pas les journalistes compétents, il en reste, je les compte sur les doigts d’une seule main, et je ne veux pas qu’ils perdent leur place).

Elles tiennent à l’absence d’offre politique à même de présenter une offre à même de sortir le pays de la spirale qui l’entraîne. François Hollande et le gouvernement socialiste font du socialisme, ce qui est logique et normal, après tout. Et le socialisme mène à la faillite, ce qu’on sait ailleurs qu’en France. Mais le malheur est (dois-je le répéter?) que Marine Le Pen fait aussi des propositions socialistes (et protectionnistes de surcroît!), que les propositions de l’UMP, pour l’heure se situent sur la gauche de celles du parti travailliste britannique (ou proposent, au mieux, des mesures homéopathiques) et que Nicolas Sarkozy n’a peu ou prou rien fait pendant cinq ans, sinon gesticuler de manière incohérente.

Le malheur est que le seul mouvement libéral qui subsiste en France est groupusculaire, teinté d’idées utopiques libertariennes, et désormais phagocyté par l’UDI, qui n’est à peu près rien.

Le malheur est qu’il n’y a pas un seul livre d’économie digne de ce nom dans les livres qui sont en tête des ventes en économie et que l’ « Introduction à l’économie » la plus diffusée est signée d’un membre du Front de gauche. Des commentateurs sur amazon mettent cinq étoiles au livre avant de retourner vers leur bureau de bureaucrate payé aux frais du contribuable, à moins qu’ils ne chantent l’Internationale après avoir reçu leur lettre de licenciement.

 

Je vois la révolte qui gronde ici ou là dans le pays. Je sais que des gens désespèrent. Je discerne la colère.

Mais je discerne aussi que la révolte n’est porteuse d’aucune réponse parce qu’il n’y a aucune offre politique ou intellectuelle audible qui soit porteuse de réponses.

La part de la France dans les exportations mondiales a diminué de moitié au cours des dix dernières années, et il faut quasiment lire l’anglais ou aller chercher les détails statistiques à la loupe pour le découvrir.

Le capital de demain est le capital intellectuel, et celui-ci s’en va d’un pays où il y a encore un Ministre du redressement productif qui parle de « démondialisation ».

Le ministre concerné n’est pas seul. Sur internet, j’ai vu un livre que je préfère ne pas lire, car mon temps est précieux : il s’appelle La fin de la mondialisation. C’est sans doute la fin de la mondialisation pour la France, oui, hélas : mais ailleurs dans le monde, celle-ci se poursuit. Tout simplement parce que nous sommes à l’heure d’internet, du capital intellectuel, de la dématérialisation de la valeur.

Dois-je dire que je suis consterné ?

J’écris moins sur l’économie, car j’ai parfois le sentiment que c’est peine perdue en ce pays. Mais qu’est-ce qui, désormais, n’est pas peine perdue dans ce pays ? Je n’aimerais pas avoir vingt ans aujourd’hui en France. Ou alors, j’épargnerais pour m’acheter un aller simple.

J’ai déjà dit tout cela. Je vais consacrer un livre au sujet pour expliquer à quel point c’est grave, infiniment plus grave que cela ne se dit.

J’aimerais encore aimer la France. Ce qui se passe ne m’aide pas beaucoup.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour Dreuz.info.

A propos de l'auteur
Guy Millière, (spécialisation : économie, géopolitique). Titulaire de trois doctorats, il est professeur à l'Université Paris VIII Histoire des cultures, Philosophie du droit, Economie de la communication et Maître de conférences à Sciences Po, ainsi que professeur invité aux Etats-Unis. Il collabore à de nombreux think tanks aux Etats-Unis et en France. Expert auprès de l’Union Européenne en bioéthique, Conférencier pour la Banque de France. Ancien visiting Professor à la California State University, Long Beach. Traducteur et adaptateur en langue française pour le site DanielPipes.org. Editorialiste à la Metula News Agency, Israël Magazine, Frontpage Magazine, upjf.org. Membre du comité de rédaction d’Outre-terre, revue de géopolitique dirigée par Michel Korinman. Rédacteur en chef de la revue Liberalia de 1989 à 1992 Il a participé aux travaux de l'American Entreprise Institute et de l'Hoover Institution. Il a été conférencier pour la Banque de France, Il a participé à l'édition d'ouvrages libéraux contemporains comme La constitution de la liberté de Friedrich Hayek en 1994 dans la collection Liberalia, puis dans la collection « Au service de la liberté » qu'il a créée aux éditions Cheminements en 2007. Il a également été rédacteur en chef de la revue éponyme Liberalia de 1989 à 1992. Il a été vice-président de l'Institut de l'Europe libre ainsi que Président et membre du conseil scientifique de l'Institut Turgot. Il fait partie du comité directeur de l'Alliance France-Israël présidée par Gilles-William Goldnadel. Il est l'auteur de plus d'une vingtaine d'ouvrages.

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 15:49

Chers PARENTS, je vous conseille vivement de prendre le temps d'écouter Farida Belghoul nous alerter sur dangers du projet pédagogique du ministre Peillon. A la fin de la vidéo comme moi respirez un grand coup pour ne pas défaillir. Suivons les conseils de cette dame et préparons nous à agir afin que ce projet ne soit JAMAIS mis en oeuvre.


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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 08:42

Publiée le 7 déc. 2013

Compte tenu de la politique du gouvernement dans le domaine, de l'école, de l'éducation, de l'enseignement et de la recherche nous appelons à ne pas voter socialiste aux prochaines élections. (Séance du 30 novembre 2013 des Rencontres de la Coordination Nationale des Universités

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8 décembre 2013 7 08 /12 /décembre /2013 18:22

ATLANTICO

Sophie de Menthon

 

Tous les entrepreneurs - et les particuliers - peuvent légitimement s'indigner de l'injustice et de la distorsion de concurrence créées par l'article additionnel du projet de loi de finances qui vient d'être voté par les députés spécifiant que les créances détenues sur le quotidien L'Humanité sont abandonnées à hauteur de 4 086 710 euros, intérêts compris.

En d'autres termes, on passe l'éponge sur une dette que nous payons tous puisqu'il s'agit de l'argent de l’État. Une véritable république bananière qui choisit d'exempter les contribuables qui lui conviennent. Les aides à la presse régulière sont déjà très discutables car il s'agit d'entreprises privées qui sont supposées trouver des clients - lecteurs et un équilibre financier grâce à leur lectorat et à la publicité ! S'il n'y arrivent pas qu'ils disparaissent... cela s'appelle la "destruction créatrice" ; d'autres naitront et attireront un nouveau lectorat... comme Atlantico !

Non seulement dans le cas de L'Humanité, il s'agit d'une mesure d'exception INDIVIDUELLE, mais le comble c'est qu'elle est inscrite dans la loi.

Pourquoi L'Humanité ? D'autant que cela s'ajoute aux 6 millions d'euros de subventions dont le titre bénéficie déjà annuellement pour survivre, excusez du peu ! Que deviendrions-nous en France sans l'Humanité, est-ce vital pour l'information objective de quelques lecteurs partisans ?!

On attend avec intérêt ce qui va se passer pour Libération qui semble au plus mal ; est-ce un précédent qui vient de se créer ? Et sinon, pourquoi alors soutenir ce titre avec nos deniers ? On imagine assez mal ce genre d'aide pour des journaux plus libéraux ou à droite ? Faut-il montrer patte blanche idéologique pour en bénéficier ?

Cette exemption relève du même registre que celui de la faiblesse coupable manifestée par tous les gouvernements face aux MNPP, rebaptisées Presstalis et qui est scandaleuse. Le manque de courage politique qui fait soutenir la distribution vérolée et monopolistique de la presse écrite, pénalise la profession des kiosquiers qui sont victimes de grèves à répétitions et d'exigences commerciales iniques, et fait porter tout le poids d'un favoritisme unique au monde sur la seule entreprise concurrente : les messageries Lyonnaise de presse. Pourquoi ? Hélas, parce que nos hommes politiques de tous bords ont peur, peur des grèves, peur du syndicat du livre menaçant, peur que la presse ne parle plus d'eux ; et comme nous sommes toujours sous la menace d'une élection quelconque, les risques seraient trop grands pour les pouvoirs en place, de tous bords.

Nous nous discréditons nous-mêmes par une telle permissivité et décourageons tout ce que le pays compte de citoyens "normaux" soumis à des lois du marché qu'ils n'ont eux, d'autre choix que de respecter .                        

Cette exonération sans contrepartie est un "geste" intolérable aux yeux des entreprises qui traversent des difficultés et auxquelles on ne fait pas cadeau d'un euro !

Intolérable pour tous ceux qui endettés, se privent chaque jour pour payer leurs impôts et leurs crédits. Quel exemple navrant ; n'est-ce pas le symptôme que notre société et surtout notre classe politique est incapable de se reformer et de réformer tout court ?

Comment tolérer ce comportement au sein de l'Assemblée nationale ? Nos parlementaires ont-ils perdu le sens commun ? D'autant que les coupables appartiennent à la même commission des finances qui a littéralement pilonné toutes les entreprises de France de mesures fiscales aussi variées que créatives depuis 18 mois ! Accentuant la récession et accélérant les dépôts de bilan de PME et d'artisans...

Rétablir la confiance, disent-ils ?!

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8 décembre 2013 7 08 /12 /décembre /2013 10:07
Bd Voltaire

Payer ses impôts est un devoir glorieux !

    
Le 8 décembre 2013
*
      
         

« Payer ses impôts est un devoir glorieux ». La formule est du regretté président Mao-Tsé-toung. Et c’est vrai !

Oui, il est glorieux de payer des impôts pour effacer les dettes (4 millions) du journal L’Humanité. Et apporter 2 milliards de subventions (directes et indirectes) à la presse écrite car il faut bien aider les miséreux à se faire entendre : Le Point (Pinault propriétaire), Les Échos (Arnault), Le Monde (la banque Lazard et Pierre Bergé), Libération (Rothschild), la PQR (les banques mutualistes et le Crédit agricole).

Oui, il est glorieux de payer des impôts pour subventionner à hauteur d’un milliard des syndicats de moins en représentatifs, et de plus en plus inutiles, sinon nuisibles.

Oui, il est glorieux de subventionner (État et collectivités territoriales) à hauteur de près d’un milliard des associations politiquement correctes : SOS Racisme, France terre d’asile, la LICRA, le CRAN, la LGBT et tant d’autres qui le valent bien ; et ils en ont bien besoin pour nous formater et nous censurer.

Oui, il est glorieux de financer à hauteur de centaines de millions les achats « d’art conceptuel » et « d’art contemporain » des FRAC, sans compter les subventions à la mise en scène de Golgota picnic et autres spectacles faussement provocateurs.

Oui, il est glorieux d’aider la charmante Leonarda Dibrani et sa famille et de consacrer plusieurs milliards d’euros chaque année à loger et à nourrir les escrocs au droit d’asile.

Oui, il est glorieux de payer (800 millions) pour soigner les étrangers clandestins (AME) et d’accorder (CMU et CMU complémentaire) la gratuité des soins refusée aux paysans français à des étrangers chômeurs.

Oui, il est glorieux de payer des centaines de millions pour accueillir à l’université des cancres étrangers poursuivant leurs études pendant 10 ans et parfois au-delà de 30 ans comme Fabienne Kabou, cette Sénégalaise de 36 ans, étudiante (en philosophie) à Paris-VIII, qui a noyé sa fille à Berck.

Oui, il est glorieux d’avoir une éducation parmi les plus chères du monde pour se retrouver au 25e rang mondial dans le classement PISA.

Oui, il est glorieux de payer près de 2 milliards pour faire bénéficier de notre aide judiciaire et de notre système carcéral une population pénale à 70 % d’origine étrangère.

Oui, il est glorieux de payer des milliards pour le « logement social » dont sont exclues les classes moyennes et les classes populaires, mais dont bénéficient les arrivés de fraîche date ainsi (pas aux mêmes endroits) que les élus et leurs clientèles privilégiées.

Oui, il est glorieux de payer des centaines de millions pour permettre à des consultants d’élaborer des logiciels de paye (Louvois, par exemple) rendant impossible le règlement normal des soldes des militaires.

Oui, il est glorieux de payer des armes aux rebelles syriens permettant à nos djihadistes de banlieue de s’entraîner.

Pardon pour cette liste incomplète. Elle montre naturellement que rétablir les finances publiques, c’est possible : simplement en supprimant les dépenses parasitaires et nuisibles. Contre celles-ci, il est temps que les Français montrent leur mécontentement. Rendez-vous dimanche 26 janvier pour le jour de colère !

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8 décembre 2013 7 08 /12 /décembre /2013 09:58
Bd Voltaire

malika-sorel
Le 8 décembre 2013
Malika Sorel-Sutter ne cesse de dénoncer l'intrusion massive et destructrice d'une culture radicalement opposée à la nôtre.
       
         

Qui a peur de Malika Sorel-Sutter ? Les médias, assurément, qui lui ménagent un temps de parole inversement proportionnel à l’intérêt grandissant que les Français portent aux problèmes liés à notre immigration, majoritairement musulmane.

Elle était invitée au « Grand Soir 3 », le 27 novembre, suite aux rebondissements judiciaires dans l’affaire de la crèche Baby Loup.

Que cette femme remarquable – qui fut membre du Haut Conseil à l’intégration – ait été conviée à venir s’exprimer sur une grande chaîne publique en dit long sur le malaise qu’engendre, dans notre société, le voile islamique sous toutes ses formes.

Créé en 1989 par Michel Rocard, le Haut Conseil à l’intégration a été dissous par François Hollande. Et comme la nature a horreur du vide, on s’est empressé de le remplacer par un Observatoire de la laïcité. Conseiller ou observer, that is the question !

Exit, donc, Malika Sorel-Sutter, celle-là même qui rappelle que « la loi de 1905 sur la laïcité n’a pas été rédigée pour les musulmans ». Et de citer l’islamologue Abdelwahab Meddeb, entendu, en novembre 2009, devant la Commission parlementaire sur la burqa :

Il n’y a pas de différence de nature ni de structure mais de degré et d’intensité entre burqa et hijâb, lequel est rien qu’en lui-même une atteinte au principe de l’égalité et de la dignité partagées entre les sexes.

Malika Sorel-Sutter rappelle également que le voile existait déjà dans les sociétés pré-islamiques. Le Conseil de l’Europe n’a-t-il pas conclu que cet attribut n’est pas une nécessité de l’islam ?

Exprimant ensuite son inquiétude à propos de certaines affirmations selon lesquelles « toutes les langues se valent », elle met en garde contre un rapport qui mijoterait sur le bureau du Premier ministre. Interrompue par son interviewer, Malika Sorel-Sutter n’a malheureusement pas eu le temps d’en dire plus.

Ne suffit-il pas que l’on enseigne neuf langues — et cultures — d’origine dans les écoles primaires de la République dans le cadre d’accords bilatéraux qui s’appuient sur une directive européenne du 25 juillet 1977 visant la scolarisation des enfants de travailleurs migrants ? Est-ce bien raisonnable à l’heure où tant d’enfants scolarisés sont aux prises avec des difficultés d’écriture, de lecture et de compréhension du français ?

Malika Sorel-Sutter ne cesse, depuis des années, de dénoncer l’intrusion massive et destructrice, par le biais d’une immigration sans intégration, d’une culture radicalement opposée à la nôtre. Mais tout en refusant avec fermeté les accommodements (dé)raisonnables dont ne cessent de bénéficier immigrés et enfants d’immigrés — français de naissance — toujours plus exigeants, elle a toujours eu à cœur de laisser la porte ouverte au dialogue.

À nous de ne pas la refermer, mais de poser et d’imposer des limites à ce que la France peut accepter sans rien renier de sa culture et de ses valeurs. Il y va de notre survie.

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8 décembre 2013 7 08 /12 /décembre /2013 08:59

 

 

Cimetière près de Pretoria où sont principalement enterrés des fermiers blancs tués lors d'attaques contre leurs fermes dans les régions rurales d'Afrique du Sud. Plus de 2000 fermiers blancs y ont été tués depuis 15 ans.
Communiqué de Bernard LUGAN
Un fait est indéniable : dans les années 90, Washington et le capitalisme international ont cessé de soutenir le gouvernement blanc d’Afrique du Sud dès la disparition de la menace communiste. Une relation de cause à effet aujourd’hui évidente que les Blancs n’ont pas fini de payer (FPI-Le Gaulois).
N
é le 18 juillet 1918 dans l’ancien Transkei, mort le 5 décembre 2013, Nelson Mandela ne ressemblait pas à la pieuse image que le politiquement correct planétaire donne aujourd’hui de lui. Par-delà les émois lénifiants et les hommages hypocrites, il importe de ne jamais perdre de vue les éléments suivants :
1) Aristocrate xhosa issu de la lignée royale des Thembu, Nelson Mandela n’était pas un « pauvre noir opprimé ». Éduqué à l’européenne par des missionnaires méthodistes, il commença ses études supérieures à Fort Hare, université destinée aux enfants des élites noires, avant de les achever à Witwatersrand, au Transvaal, au cœur de ce qui était alors le « pays boer ». Il s’installa ensuite comme avocat à Johannesburg.
2) Il n’était pas non plus ce gentil réformiste que la mièvrerie médiatique se plait à dépeindre en « archange de la paix » luttant pour les droits de l’homme, tel un nouveau Gandhi ou un nouveau Martin Luther King. Nelson Mandela fut en effet  et avant tout un révolutionnaire, un combattant, un militant qui mit « sa peau au bout de ses idées », n’hésitant pas à faire couler le sang des autres et à risquer le sien.
Il fut ainsi l’un des fondateurs de l’Umkonto We Sizwe, « le fer de lance de la nation », aile militaire de l’ANC, qu’il co-dirigea avec le communiste Joe Slovo, planifiant et coordonnant plus de 200 attentats et sabotages pour lesquels il fut condamné à la prison à vie.
 

3) Il n’était pas davantage l’homme qui permit une transmission pacifique du pouvoir de la « minorité blanche » à la « majorité noire », évitant ainsi un bain de sang à l’Afrique du Sud. La vérité est qu’il fut hissé au pouvoir par un président De Klerk appliquant à la lettre le plan de règlement global de la question de l’Afrique australe décidé par Washington. Trahissant toutes les promesses faites à son peuple, ce dernier :
E désintégra une armée sud-africaine que l’ANC n’était pas en mesure d’affronter,
E empêcha la réalisation d’un État multiracial décentralisé, alternative fédérale au jacobinisme marxiste et dogmatique de l’ANC,
E torpilla les négociations secrètes menées entre Thabo Mbeki et les généraux sud-africains, négociations qui portaient sur la reconnaissance par l’ANC d’un Volkstaat  en échange de l’abandon de l’option militaire par le général Viljoen.
4) Nelson Mandela n’a pas permis aux fontaines sud-africaines de laisser couler le lait et le miel car l’échec économique est aujourd’hui  total. Selon le Rapport Économique sur l’Afrique pour l’année 2013, rédigé par la Commission économique de l’Afrique (ONU) et l’Union africaine (en ligne), pour la période 2008-2012, l’Afrique du Sud s’est ainsi classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland (page 29 du rapport).
Le chômage touchait selon les chiffres officiels 25,6% de la population active au second trimestre 2013, mais en réalité  environ 40% des actifs. Quant au revenu de la tranche la plus démunie de la population noire, soit plus de 40% des Sud-africains, il est aujourd’hui inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994. En 2013, près de 17 millions de Noirs sur une population de 51 millions d’habitants, ne survécurent que grâce aux aides sociales, ou Social Grant, qui leur garantit le minimum vital.
5) Nelson Mandela a également échoué politiquement car l’ANC connaît de graves tensions multiformes entre Xhosa et Zulu, entre doctrinaires post marxistes et « gestionnaires » capitalistes, entre africanistes et partisans d’une ligne « multiraciale ». Un conflit de génération oppose également la vieille garde composée de « Black Englishmen», aux jeunes loups qui prônent une « libération raciale » et la spoliation des fermiers blancs, comme au Zimbabwe.
6) Nelson Mandela n’a pas davantage pacifié l’Afrique du Sud, pays aujourd’hui livré à la loi de la jungle avec une moyenne de 43 meurtres quotidiens.
7) Nelson Mandela n’a pas apaisé les rapports interraciaux. Ainsi, entre 1970 et 1994, en 24 ans, alors que l'ANC était "en guerre" contre le « gouvernement blanc », une soixantaine de fermiers blancs furent tués. Depuis avril 1994, date de l’arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, plus de 2000 fermiers blancs ont été massacrés dans l’indifférence la plus totale des médias européens.
8) Enfin, le mythe de la « nation arc-en-ciel » s’est brisé sur les réalités régionales et ethno-raciales, le pays étant plus divisé et plus cloisonné que jamais, phénomène qui apparaît au grand jour lors de chaque élection à l’occasion desquelles le vote est clairement « racial », les Noirs votant pour l’ANC, les Blancs et les métis pour l’Alliance démocratique.
En moins de deux décennies, Nelson Mandela, président de la République du 10 mai 1994 au 14 juin 1999, puis ses successeurs, Thabo Mbeki (1999-2008) et Jacob Zuma (depuis 2009), ont transformé un pays qui fut un temps une excroissance de l’Europe à l’extrémité australe du continent africain, en un État du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par quelques secteurs ultraperformants, mais de plus en plus réduits,  le plus souvent dirigés par des Blancs.
Pouvait-il en être autrement  quand l’idéologie officielle repose sur ce refus du réel qu’est le mythe de la « nation arc-en-ciel » ? Ce « miroir aux alouettes » destiné à la niaiserie occidentale interdit en effet de voir que l’Afrique du Sud ne constitue pas une Nation mais une mosaïque de peuples rassemblés par le colonisateur britannique, peuples dont les références culturelles sont étrangères, et même souvent irréductibles, les unes aux autres.
Le culte planétaire quasi religieux aujourd’hui rendu à Nelson Mandela, le dithyrambe outrancier chanté par des hommes politiques opportunistes et des journalistes incultes ou formatés ne changeront rien à cette réalité.
Posté par Marino
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Published by voxpop - dans La France en résistance

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