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Macron, un vaste plan pour museler les Français ?
La violence est indubitablement une plaie majeure de notre société. D'autant qu'elle ne cesse d'augmenter (+4 % en 2017 et +8 % en 2018 pour ce qui concerne les violences physiques). S'attaquer ...
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Et comme cela ne suffisait pas, c’est une répression sans précédent qui s’est abattue sur celles et ceux qui ne faisaient que dire leur souffrance quotidienne. 8.400 interpellations, 7.500 gardes à vue, 1.800 condamnations (1.500 jugements sont en attente), 1.300 comparutions immédiates et 316 mandats de dépôt (incarcérations). Du jamais-vu dans la répression d’un mouvement social. Et là, aucun parti de gauche et aucun syndicat n’a demandé d’enquête parlementaire.
Pour faire bonne mesure et assurer le coup, Macron est donc parti en campagne. Il a lancé un grand débat à sa seule gloire et sillonne désormais la France à la pêche aux voix. Là encore, aucune instance – CSA en tête – n’a trouvé à redire. Restait donc à marginaliser les patriotes. La chasse à l’extrême droite va maintenant servir de prétexte à Macron pour insuffler, jour après jour, jusqu’au 26 mai, son message de haine et de stigmatisation. Et c’est une commission parlementaire à sa botte, présidée comme il se doit par une députée de La France insoumise, et qui comprend dans ses rangs (ironie du sort) M’jid El Guerrab, ce député ex-LREM qui agressa un de ses collègues socialistes à coups de casque en août 2017, qui sera chargée de porter l’estocade finale. Le piège finit donc de se refermer sur les Français, qu’une manipulation d’État de grande envergure a décidé de museler « démocratiquement ».