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Les marques se mettent à la mode islamique : à qui la faute ?
" Les marques se mettent à la mode islamique ", claironne la presse ces derniers jours, comme elle titrerait " Le printemps revient, sortez vos espadrilles ". On lit que chez l'Anglais Marks & ...
Les vrais irresponsables, au premier chef, sont ceux qui ont « créé la demande », en laissant prospérer chez nous l’islamisme, par faiblesse ou par intérêt électoral, ceux qui ont fait venir, encore et encore, une population allochtone toujours plus importante et, le nombre faisant la force, toujours plus impérieuse dans ses revendications religieuses, toujours moins désireuse de se fondre dans la masse : à quoi bon réclamer des CV anonymes, à quoi bon refuser les statistiques ethniques, à quoi bon s’indigner que l’on distingue encore les Français de souche des « Français de puipeu », si l’on s’affiche en abaya et hijab ? Oui, à quoi bon, sauf si l’on conçoit l’intégration de façon diamétralement opposée, comme dans certains quartiers où l’on a passé le point de bascule. Où la « masse » n’est plus celle que l’on croit. Où l’envie de s’y « fondre », pour passer inaperçu, a changé de camp.
Ces irresponsables – vendeurs de camelote, il est vrai, eux aussi, à leur façon – ne s’appellent pas H&M, Dolce & Gabbana ni Marks & Spencer, mais Hollande & Valls. Pour ne citer qu’eux. Et ils sont les amis de Laurence Rossignol.