L’Islam n’est pas une religion, ni un culte. Dans sa forme, c’est un mode de vie complet. L’Islam a des composantes religieuses, légales, politiques, économiques, sociales et militaires. La composante religieuse sert à masquer toutes les autres. L’islamisation d’un pays débute lorsqu’il y a suffisamment de musulmans à l’intérieur du pays pour commencer à revendiquer des accommodements religieux. Lorsque les sociétés ouvertes à la diversité culturelle, à la rectitude politique et à la tolérance consentent aux demandes d’accommodements religieuses provenant de leurs communautés musulmanes, les autres composantes s’infiltrent progressivement.
Quand le nombre de musulmans approche 10 % de la population, ils accroissent le non-respect des lois allant jusqu’à les défier ouvertement afin de revendiquer des conditions de vie propres à leur culture et à leurs croyances. À Paris, on voit régulièrement des incendies d’autos dans les enclaves musulmanes. Toute action perçue comme étant antimusulmane provoque des soulèvements de foules et des menaces, comme à Amsterdam, où l’on s’oppose violemment aux bandes dessinées de Mahomet et des films sur l’Islam. Souvenez-vous de l’affaire « Charlie Hebdo » à Paris... De telles tensions se produisent à tous les jours, principalement dans les enclaves musulmanes
en : Guyane - musulmans 7.0 %
France - musulmans 9.6 %
Chine - musulmans 10.0 %
Philippines - musulmans 10.0 %
Thaïlande - musulmans 10.0 %
Israël - musulmans 16.0 %