/http%3A%2F%2Fcdn.bvoltaire.fr%2Fmedia%2F2016%2F05%2Fc431db3dbf0bf14ecd41c8f7efe3c.png)
Militaires attaqués par des casseurs : quel signal envoyé aux terroristes !
Les casseurs, on le sait, prennent pour cible les policiers. Des policiers qui manifestent ce mercredi de façon totalement inédite, pour dénoncer la " haine anti-flic " et réclamer enfin un peu...
Et il y a Nuit debout cachée au fin fond de l’Afrique, infiniment moins médiatisée et courtisée, qui veille en silence non pas pour que, demain, on rase gratis et que les poules aient des dents, mais pour défendre les intérêts de la France. Nuit debout qui, après l’Opex, enchaînera avec Sentinelle, parce que les budgets militaires, réduits année après année comme peau de chagrin par des gouvernements inconséquents, ne permettent pas une relève suffisante, loin de la famille qu’elle a laissée dans une ville de garnison en rase campagne – à l’instar de Verdun où, on l’a vu, les édiles portent haut les couleurs de l’armée française -, les régiments, comme chacun sait, servant à soutenir les tissus sociaux moribonds par une population calme, remplissant les écoles et ne vivant pas des prestations sociales.
Mais quelle sorte de signal d’intransigeance, d’implacabilité, de screugneugneu-on-va-voir-ce-qu’on-va-voir renvoie donc aux terroristes le spectacle de nos soldats l’arme au pied, conspués en toute impunité par une bande d’étudiants attardés ?