/image%2F2048099%2F20170509%2Fob_755415_orchestre-du-titanic.png)
Laurent Obertone : " La France a une fois encore choisi le parti du Titanic " - France Révolution
L'écrivain à succès Laurent Obertone - qui publiera son prochain ouvrage qui s'annonce choc le 21 septembre prochain, toujours aux éditions Ring - a réagi à l'élection d'Emmanuel Macron, dim...
Il serait salutaire d’arrêter de porter tous les espoirs sur la chose politique. C’est important, mais ce n’est pas tout. Le meilleur moyen de ne pas désespérer est de ne pas espérer en quelqu’un d’autre que soi. N’attendez pas qu’un parti ou qu’un messie vienne sauver notre pays. Espérer, attendre, c’est déjà oublier, de penser et d’agir. C’est à nous d’agir, ici et maintenant. Un combat d’influence, de tous les instants. Créer des médias, des sites, des groupes, penser des stratégies, organiser des réseaux, occuper le terrain, investir, éditer, diffuser, etc., les possibles sont infinis, à la portée de tous. Tant qu’on respire, il faut agir. Si vous manquez d’inspiration, je vous conseille de ne pas manquer mon prochain essai sur la France, qui paraîtra en 2018, et dans lequel je livrerai sur ces sujets fondamentaux une réflexion complète et très concrète. Plus que jamais, par tous les moyens, luttez pour votre souveraineté intellectuelle et morale, pour celle de vos proches, pour celle de tous les nôtres. Le régime peut nous mépriser, nous insulter, nous traquer, nous censurer, mais il ne pourra pas nous réduire, et c’est nous qui allons le réduire. Ces dernières semaines, il a appris à avoir peur : il devra s’y habituer. Tant qu’il ne se pliera pas à notre volonté, tant qu’il voudra la mort de nos peuples, tant qu’il menacera l’héritage de nos ancêtres et l’avenir de nos enfants, ce régime ne connaîtra ni repos ni indulgence. Pour résumer : gardez-vous de l’espoir qui condamne à attendre, et gardez-vous du désespoir qui mène à abdiquer. Tout est possible à condition de le vouloir et d’agir. Soyez vivants, indépendants, irrécupérables et irréductibles. Nous gagnerons. Laurent Obertone.