On peut, surtout, s’interroger légitimement sur le silence du ministère de l’Intérieur – ministre des Cultes – et se demander quelle aurait été sa réaction si, en l’espace d’une semaine, plusieurs mosquées aux quatre coins de la France avaient été vandalisées, incendiées ou maculées d’excréments.
On peut, enfin, avoir envie que cela se sache et, pour cela, diffuser l’information car celle-ci n’a été que mollement relayée, d’abord de façon parcellaire par la presse locale, puis enfin, ces dernières heures, par quelques médias nationaux.