En Allemagne, ces derniers jours, deux faits divers, peu relatés en France, ont marqué les esprits : un enfant poussé sous un train, à Francfort, par un Érythréen (qui était, par ailleurs, a...
Le devoir des élites politiques qui décident de la destinée des pays européens est avant tout de protéger les citoyens européens. Ce n’est pas de protéger les migrants et de veiller à leur bien-être. Ceux qui élisent ces responsables sont les citoyens européens. Ce sont eux qui leur confient leur destinée. La moindre des choses c’est qu’ils soient dignes de la confiance que les citoyens placent en eux en prenant toutes les mesures de sauvegarde pour les protéger de l’ensemble de ces dangers non seulement migratoires, mais aussi commerciaux, économiques et financiers.
Il y a une criminalité d’immigrés qui ne doit pas être niée. Ces crimes absolument atroces et abjects qui touchent des personnes innocentes doivent être dénoncés.
Je suis toutefois très étonné de la façon dont les médias mainstream et les partis dits « de gouvernement » traitent ces affaires. On a l’impression qu’à chaque fois qu’il s’agit de crimes commis par des immigrés, une espèce d’immunité phraséologique se met en place. Elle a pour but de protéger le dogme d’une immigration pure de toute espèce de criminalité et de défauts. On essaie de conserver le mythe d’une immigration qui serait toujours, partout, et d’où qu’elle vienne une chance pour les pays européens. C’est ainsi qu’on nous sert des « pas d’amalgame », « pas d’instrumentalisation des faits divers », etc. Lorsqu’il s’agit de crimes de droit commun commis par des Européens de souche, ils ne vont pas hésiter un seul instant à instrumentaliser, comme c’est le cas pour la mort de Steve. Sa mort est sur-instrumentalisée et récupérée de manière honteuse par l’extrême gauche depuis plusieurs jours.