Notons que le Parlement européen marqua une minute de silence en hommage aux migrants victimes d’un naufrage au large de Lampedusa en 2015, à la mémoire des victimes d’Utrecht, de Christchurch, du cyclone Ida et des déportations de 1949 dans les États baltes occupés par l’URSS, tout cela dans la même minute, en mars dernier. Ou encore lors du décès de Jacques Chirac. Tout cela est juste et bon. Certes.
Et le Bataclan ? Non. Ils n’ont pas honte ? Visiblement, non.