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La roue de la fortune pour Lepaon
Lepaon n'a pas eu à brailler bien fort pour que l'on s'occupe de lui, en haut lieu. Lepaon, vous vous souvenez ? C'est l'éphémère patron de la CGT qui s'est fait payer 100.000 euros de prime de...
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Le gouvernement, jamais à court d’une idée étrange, serait en passe de sauver le soldat Lepaon, comme il l’a fait pour bien d’autres soldats perdus – au sens de « paumés » – de la gauchitude ; voyez Harlem Désir. Tout ceci est parfaitement normal, minaudait Lepaon en septembre dernier, sur Europe 1 : « C’est la tradition à la CGT. Quand un dirigeant remet ses fonctions et n’a pas trouvé de nouvelles responsabilités ou un nouveau job, on fait en sorte qu’il puisse vivre entre deux périodes de travail. » Comme on aimerait que cette « tradition » s’applique à ceux dont l’entreprise a fermé pour cause de rigidité cégétiste !
Enfin, quoi ! Est-ce le rôle du gouvernement que de recaser un syndicaliste ? On devrait voter une loi de 1905 modernisée, appelée loi de séparation du syndicat et de l’État.