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Macron : une tache de sang sur l'histoire de France
J'aurais pu appeler cet article "l'honneur perdu d'Emmanuel Macron". Cela aurait impliqué que je pense qu'Emmanuel Macron a le sens de l'honneur. Or, je pense, au contraire, que Macron n'a aucun ...
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J’ai vu dans le soulèvement des gilets jaunes ce sursaut que je n’attendais plus, et j’y ai vu la version française du cri des «peuples qui ne veulent pas mourir», évoqué souvent par Éric Zemmour.
J’ai constaté que ce sursaut était imprégné de colère et de désespoir, mais aussi de l’outrage ressenti par des gens qui ont été trompés et qui discernent un imposteur en celui qui les a trompés.
J’ai vu d’emblée que les revendications exprimées n’avaient pas de cohérence, mais je ne me suis pas arrêté à ce détail.
La colère, le désespoir et le sentiment d’outrage ne conduisent pas nécessairement à la cohérence, tout particulièrement dans un pays où le travail des idées a été soigneusement laminé par l’hégémonie d’une gauche à l’encéphalogramme plat.
J’ai vu d’emblée qu’il avait choisi de laisser la violence de bandes ethniques et d’anarchistes venir saccager, piller et incendier, afin de ne répondre que par la répression et de tout à la fois disqualifier le sursaut et l’écraser.