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Les associations craignent qu'un grand nombre de migrants ne soient renvoyés à la rue le 31 mars
Le cas des migrants sans solution d'hébergement est un problème récurrent auquel la France n'arrive pas à donner une solution durable. L'immigration incontrôlée déstabilise notre société (...
Les associations s’assoient sur la légalité et estiment que tout réfugié, politique comme économique, devrait recevoir immédiatement des papiers (et les prestations sociales qui vont avec). Aussi, pour elles, il est vital que les déboutés du droit d’asile continuent à être accueillis dans des centres sans limite de temps, jusqu’à ce que cinq ans soient passés et que la régularisation devienne un droit.
Pourtant, les associations qui vivent de subventions publiques ne devraient en aucun cas s’opposer de quelque manière que ce soit à la politique décidée par le Parlement et, donc, par le peuple français. Elles ne devraient en aucun cas aider des déboutés du droit d’asile à se maintenir en France. En outre, le meilleur moyen de désengorger les centres actuellement saturés serait d’appliquer la loi et de renvoyer les clandestins chez eux ; les alarmes des associations seraient alors vaines.