Sauf que les catholiques de Dijon, Houilles, Saint-Denis, Paris, Lavaur, Nîmes, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Sète et tant d’autres n’ont souvenir, sauf erreur de leur part, d’aucun mot de soutien de sa part pour leurs églises – non pas encore à l’état inachevé, comme cette future mosquée, mais bien consacrées, et certaines depuis des temps immémoriaux – souillées d’excréments, vandalisées, incendiées, pillées. Sans parler des calvaires dont la croix a été abattue, les cimetières dégradés, les statues décapitées ou de ce portail d’école tagué de cette inscription inquiétante : « La seule église qui illumine est celle qui brûle. » « Moyen d’expression » ou « attaque haineuse » ?