Repentance en France : de la dhimmitude volontaire
En France même, Louis XIV, Saint Louis, Napoléon , Jules Ferry, etc., sont menacés de voir disparaître leur nom et leur image pour ne pas risquer de choquer les anciens colonisés, victimes (se...
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Le dhimmi est, dans le pays, un sujet inférieur obligé de payer tribut au cours d’une humiliante cérémonie (ce tribut constituant l’essentiel du budget du pays), il lui est interdit de posséder la terre – qu’il peut seulement cultiver – ou de monter à cheval, il doit porter en public un vêtement ou une marque spéciale. Devant tout musulman, il doit céder le pas et s’humilier, en reconnaissant humblement son infériorité. Son témoignage en justice ne vaut rien contre celui d’un musulman. Il ne doit jamais contester qu’il n’y a qu’un seul Dieu qui est Allah (ce qui fait de l’acceptation de l’état de dhimmi une quasi-apostasie). L’acceptation de l’état de dhimmi n’est d’ailleurs pas une protection absolue : nombreux sont les émirs musulmans qui ont exigé de leurs sujets dhimmis une conversion à l’islam, sous peine de mort (un long martyrologe l’atteste, notamment dans la si « tolérante » Al-Andalus).
Subir l’état de dhimmi est un grand malheur. S’y précipiter volontairement d’avance (attitude appelée « dhimmitude ») est un crime contre les siens.