Selon ce projet, seuls les migrants «qui sont persécutés et qui viennent d'un pays voisin de l'UE» (le ministre de donne pas plus de précision), pourraient exceptionnellement faire une demande d'asile sur le territoire de l'Union.
Selon Herbert Kickl, toute autre solution «inciterait les passeurs à dire: "Je prends votre argent pour vous emmener dans l'Union européenne, parce que vous avez la garantie de pouvoir y faire une demande d'asile avec la probabilité très, très faible d'être renvoyé"».