Selon les journalistes européens, "au moins cinquante des plus grandes institutions financières de la planète" ont participé de façon consciente à ces pratiques, dont, pour la France, BNP Paribas, la Société Générale ou encore une filiale du Crédit Agricole. Contactées par Le Monde, la Société Général et le Crédit Agricole ont nié avoir eu connaissance de ces montages financiers, ou d'y avoir participé. De son côté, BNP Paribas a refusé de s'exprimer sur la question.