Lettre d'information de l'UNI Chers amis, Contrairement aux pronostics réalisés par les instituts de sondage, il n'y a pas eu une percée de la gauche dans les urnes. L'ensemble de la gauche plafonne, en effet, autour de 42 à 43 % des suffrages ce qui correspond à son score de 2007. De nombreux Français ont choisi d'exprimer leur malaise et leur angoisse en se tournant vers des votes protestataires, notamment en choisissant Marine Le Pen. Leur message doit être entendu. Désormais, une toute autre campagne commence. Ce sera un face à face entre Nicolas Sarkozy et François Hollande. Au second tour, il s'agit moins d'exprimer une préférence pour un candidat que d'éliminer celui que l'on juge le plus dangereux pour la France. Le choix que chacun d'entre-nous fera le 6 mai prochain engagera l'avenir de notre pays. Ce sera soit la poursuite avec Nicolas Sarkozy d'une politique courageuse qui permettra à la France de tenir son rang dans le concert des nations tout en restant fidèle à ses valeurs historiques, soit les Français se laisseront glisser sur la voie tracée par François Hollande et ses alliés Jean-Luc Mélenchon et Eva Joly, celle de la facilité, de la dépense publique, d'une fiscalité confiscatoire, des promesses faites à crédit, du renoncement, du corporatisme, du communautarisme, du vote des étrangers et de la dilution de la France. A l'UNI, notre choix est fait depuis longtemps. Battre la gauche n'est pas un simple souhait ; c'est un devoir historique, comme le rappelle le très beau texte que Denis Tillinac a écrit et présenté aux militants de l'UNI en février dernier. Dans les prochains jours, nous devrons redoubler de détermination et d'efforts pour convaincre les Français de ne pas se tromper de voie. "La victoire ne nous est pas offerte, mais elle est à la portée de nos efforts et de notre volonté" Je compte sur votre aide. Cordialement Extrait de la tribune de Denis Tillinac, sur les dangers de la gauche. "Nous savons tous ce qui nous attend si nous ne résistons pas. La "repentance" que la gauche exige, c'est une culture de la haine de soi et du reniement. Nous refusons un tel suiscide collectif. Le multiculturalisme que la gauche promeut, c'est la négation de notre identité de Français, d'européens, d'occidentaux - d'héritiers de Jérusalem, d'Athènes et de Rome. [...] L'égalitarisme dogmatique que la gauche revendique est une contrefaçon du sens de la justice [...]. Nous refusons la décadence qui résulterait inéluctablement d'une politique d'assistanat. " Lire cette tribune sur le site de l'UNI ou dans l'Action Universitaire.
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