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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 14:50
nouvelles de France

L’indécence commune

 

En 1848, la deuxième République n’a que quelques mois mais la Révolution de 1848 et le printemps des peuples semblent déjà bien loin ; déjà, avec le Parti de l’ordre à droite et les socialistes à gauche, une nouvelle fracture politique se dessine ; deux camps que tout oppose à l’exception d’une chose : le rôle prépondérant qu’ils veulent accorder à l’État . Frédéric Bastiat, lui-même élu (1) avec la majorité républicaine modérée de 1848, résume en une phrase le danger qui guette notre société : « L’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde » (2).

Ce que Bastiat pressent, dès ce milieu du XIXe siècle, ce sont les prémices de notre État-providence moderne. Déjà, il a compris ce qu’il adviendrait de la solidarité entre les hommes si elle était administrée par l’État ; déjà, il dénonce les effets pervers de ces groupes de pression qui cherchent à attirer les faveurs de la puissance publique ; déjà, enfin, il anticipe la conséquence ultime de l’irrésistible ascension de la social-démocratie : « Une population qui ne sait plus agir par elle-même, qui attend tout d’un ministre ou d’un préfet, même la subsistance, et dont les idées sont perverties au point d’avoir perdu jusqu’à la notion du Droit, de la Propriété, de la Liberté et de la Justice. (3) »

Qu’avons-nous fait depuis 60 ans ? Nous avons fait du social – « Social », cet étrange adjectif qui, pour paraphraser Friedrich Hayek, a acquis la propriété de dénaturer les noms qu’il qualifie. Qu’est-ce que le Droit social ? Le remplacement du Droit par la coercition. Qu’est-ce que la Propriété sociale ? Ni plus, ni moins que l’abrogation de la Propriété. Qu’est-ce que la Liberté sociale ? Le principe qui permet de priver des individus de leur Liberté au motif qu’ils jouiraient d’une chimérique liberté collective. Qu’est-ce, enfin, que la Justice sociale ? L’idée selon laquelle vous et moi sommes en droit de vivre aux dépends de nos voisins.

Qu’attendriez-vous d’une telle société ? Que pourrait bien devenir une société dans laquelle le bien-être de tout un chacun ne dépend plus de son intelligence, de son ardeur au travail ou de sa capacité à prendre des risques mais de sa faculté à éluder l’impôt tout en réclamant des subsides publics ? Eh bien vous obtiendriez immanquablement une société divisée, la guerre de tous contre tous ; une société de la défiance, du ressentiment, de la lutte des classes, des races et des castes ; une société dans laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde ; une société, en somme, où la décence commune si chère à Orwell ne serait plus qu’indécence.

« L’État-providence est devenu une religion, la haute fonction publique est son clergé et nos politiciens – qui n’hésitent pas à pousser l’indécence jusqu’à refuser de participer eux-mêmes aux efforts qu’ils exigent de nous – en sont les prophètes. »

Pensez-vous que j’exagère ? Eh bien sortez un instant de nos frontières et comparez donc nos supposées vertus à celles de ces étrangers, proches ou lointains, que nous considérons avec tant de mépris condescendant. C’est l’exercice auquel se sont livrés deux de nos compatriotes, Yann Algan et Pierre Cahuc, qui ont publié il y a cinq ans de cela La société de la défiance (4) ou « comment le modèle social français s’autodétruit ». Les conclusions sont sans appel : en 60 ans, nous sommes devenus – et de loin – le peuple le plus méfiant, le moins civique et, sans surprise, le plus notoirement antilibéral du monde développé.

Tenez par exemple : lorsqu’on nous demande notre avis sur la fraude fiscale, nous ne sommes que 48% à juger qu’elle n’est « jamais justifiable ». C’est, sur la base des données des World Values Survey [5], le chiffre le plus faible au sein des pays développés – 58% de nos voisins britanniques condamnent les tricheurs, les japonais sont 83%. Mieux encore : nous ne sommes que 42% à condamner la fraude aux aides sociales ; là encore, c’est un record : aux Royaume-Uni, ils sont 64% et ce chiffre monte jusqu’à 80% aux Pays-Bas ! La triste réalité, c’est que Bastiat avait vu juste : nous sommes devenus les champions de l’indécence commune.

Et maintenant que notre fameux modèle social s’effondre sous le poids de ses propres vices, voilà que les ligues de vertu disputent la charogne aux adeptes du relativisme. Et que nous proposent-ils ces braves gens ? Plus d’État, plus de redistribution, plus de lois : le déni français poussé jusqu’à l’absurde. L’État-providence est devenu une religion, la haute fonction publique est son clergé et nos politiciens – qui n’hésitent pas à pousser l’indécence jusqu’à refuser de participer eux-mêmes aux efforts qu’ils exigent de nous – en sont les prophètes. S’il vivait encore, Voltaire aurait sans doute conclu : « Écrasez l’infâme ».

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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 10:04

l'effondrement du PS révélé par les urnes !


L'UMP se réjouit, et le PS se divise

Pour Christian Jacob, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, ce scrutin est "révélateur de l'effondrement du PS". "C'est une nouvelle illustration du désaveu des Français à l'égard de la politique du gouvernement", a ensuite déclaré le président de l'UMP Jean-François Copé. Le second tour aura lieu dimanche prochain. Sylvie Houssin a dans un premier temps refusé de donner une consigne de vote : "Il en est hors de question. En 1998, j'ai été élue, alors que M. Mancel avait fait une alliance publique avec le Front national, donc pour moi, ce sont les mêmes", a-t-elle lancé, le choix pour le second tour se résumant, selon elle, entre "la droite extrême et l'extrême droite". À l'inverse, le Parti socialiste "prend acte" de l'élimination de sa candidate dimanche dans la 2e circonscription de l'Oise et "appelle sans hésitation à faire barrage" au FN lors du second tour, dans un communiqué signé notamment de son premier secrétaire Harlem Désir.

Législative partielle : le PS éliminé dès le premier tour dans l'Oise !

Le Point.fr - Publié le 17/03/2013 à 21:31 - Modifié le 18/03/2013 à 06:22

À la surprise générale, la socialiste Sylvie Houssin est devancée dans la 2e circonscription de l'Oise par le député UMP sortant et la candidate du FN.

Jean-François Mancel, député UMP sortant, arrivé largement en tête dimanche du premier tour de la législative partielle dans la 2e circonscription de l'Oise, affrontera au second tour la candidate du FN Florence Italiani, la candidate PS Sylvie Houssin ayant été éliminée. L'ancien président du conseil général du département qui a recueilli 40,61 % des suffrages devance Mme Italiani (26,58 %). Arrivée en troisième position, Mme Houssin (21,37 %) a été éliminée, faute d'avoir obtenu 12,5 % des inscrits. En effet, cette élection partielle n'a pas été mobilisatrice : le taux d'abstention a atteint le chiffre record de 67,21 %. Jean-François Mancel, 65 ans, ancien secrétaire général du RPR, avait été réélu le 17 juin avec 63 voix d'avance sur sa rivale socialiste, dans une triangulaire UMP-PS-FN. Mais le Conseil constitutionnel avait invalidé ce résultat, retenant le grief d'un tract distribué le vendredi avant le deuxième tour et mettant en cause Sylvie Houssin au sujet d'un projet de quartier.

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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 09:23

napoleon-egypte

 

 

Boulevard Voltaire

 

Marie

Ecrivain, musicienne, sculpteur.
Delarue

 

Quand les révolutions ne tiennent par leurs promesses, quand les lendemains déchantent au lieu de chanter à tue-tête, que les salauds d’hier sont détrônés par ceux d’aujourd’hui vu que les magouilleurs prospèrent toujours sur la misère humaine, on cherche à côté les coupables. Souvent un pauvre bouc nommé « émissaire » susceptible d’endosser sur son poil laineux tous les péchés du monde.

En l’occurrence, il s’appelle Champollion. Savant né le 23 décembre 1790 à Figeac, dans le Lot, et mort le 4 mars 1832 à Paris. Égyptologue entre les égyptologues, il disait « Je suis tout à l’Égypte, elle est tout pour moi. » Ben oui, mais il se trouve que l’Égypte aujourd’hui n’en veut plus. Depuis qu’elle s’est révolutionnée, Champollion l’insupporte. Au point que le ministère égyptien des Antiquités s’apprête à demander à Madame Filippetti, ministre français de la Culture, le retrait de la statue du grand homme qui trône depuis 138 ans dans la cour du Collège de France.

Et en quoi, se demande le Français de base, la statue de Champollion signée Bartholdi défrise-t-elle les Égyptiens sous la tarbouche ? (D’autant que le Français de base pousse rarement la porte du Collège de France). Eh bien, voyez-vous, c’est que l’homme, penseur réflexif à la Rodin, a le pied gauche posé sur une effigie de pharaon. Raison pour laquelle la Fédération de la Jeunesse révolutionnaire dénonce « une insulte à la civilisation égyptienne, symbole de l’arrogance colonialiste occidentale ». Et tout le monde là-bas de lui emboiter le pas : syndicat des archéologues et Mouvement du 6 avril.

Bref, déboulonnons Champollion et l’Égypte sortira de sa chienlit.

Vous savez quoi ? Les Égyptiens nous emmerdent. Quoi qu’on en pense, sans l’expédition de Bonaparte et la description de l’Égypte qu’en rapportèrent les savants qui l’accompagnaient, il n’y aurait tout simplement pas d’égyptologie. Si Champollion n’avait pas déchiffré la Pierre de Rosette, ils n’auraient aucune idée de leur histoire. Si les Anglais, les Français et, dans une moindre mesure, les Allemands ne s’étaient pas ruinés pour banquer les fouilles, ils ne sauraient même pas à quoi ils ressemblaient, leurs pharaons ! Savent-ils seulement que leurs archéologues ont été formés dans nos écoles, à commencer par le ministre des Antiquités en question, doctorant en égyptologie de l’Université Lyon-II ? Savent-ils qu’ils doivent à Gaston Maspero le musée du Caire ? Et qui, tout récemment, a financé les recherches ADN sur les momies de la Vallée des Rois pour établir la généalogie de Toutankhamon ? Qui a payé l’étude au scanner – prêté par Siemens – des vingt momies qui dormaient au Musée des Antiquités égyptiennes du Caire ? L’Europe, bien sûr.

Alors, amis Égyptiens, vous savez ce qu’elle vous dit « l’arrogance colonialiste occidentale » ? Allez vous faire f… !

Marie Delarue, le 18 mars 2013
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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 08:28

harem

 

NON , NON et NON !


 

 

 

 

Boulevard Voltaire

Gabrielle
Cluzel

Ecrivain, journaliste.
Son blog.

 

Xavier Kemlin, descendant de Geoffroy Guichard et héritier du groupe Casino, vient de porter plainte contre Valérie Trierweiler, l’accusant de détournement de fonds publics. Selon lui, Valérie n’étant ni mariée, ni même pacsée avec le Président, elle n’aurait aucun « lien juridique » avec les Français. Pourquoi, demande-t-il, les contribuables français devraient-ils loger, nourrir, blanchir une simple « maîtresse », payer ses voyages à l’autre bout du monde et rétribuer ses gens de maison, bref l’aider à mener grand train ? (Quand eux-mêmes, pour la plupart, rament péniblement pour garder la tête hors de l’eau… Ça, c’est moi qui le rajoute, Xavier Kemlin se sentant sans doute peu qualifié pour le faire.)

Xavier Kemlin soupçonne haut et fort le Président de ne pas vouloir régulariser pour éviter, en rapprochant son propre patrimoine de celui de l’héritière d’une famille de banquiers, de devoir payer l’ISF. Il s’inquiète de la possibilité, compte tenu du statut précaire de la dame et des bruits qui courent déjà sur son possible remplacement dans le cœur — et ailleurs —, de Hollande, de devoir mettre la main au portefeuille pour entretenir à l’avenir tout un défilé de jolies pépées. Il s’irrite enfin de voir ces histoires d’alcôve présidentielle faire ricaner le monde entier.

Sans parler du monde entier, autant vous dire qu’aujourd’hui en France, ceux contre lesquels Mademoiselle Valérie — un tout petit peu procédurière — a exercé sa vindicte judiciaire se fendent la pêche et se tapent sur les cuisses.

Rapprochez cela de l’avertissement lancé il y a trois jours par une dijonnaise à l’adresse du président alors qu’il s’essayait à un bain de foule (« Ne vous mariez pas avec Valérie, voilà. On l’aime pas, on l’aime pas ! »), et vous comprendrez que si la cote de popularité du président est dans les chaussettes, celle de sa dulcinée relève carrément de la spéléologie.

Sans rire, faut-il être godichon quand même pour se prendre un gadin jusque sous sa couette. S’il était un registre dans lequel Hollande pouvait briller les doigts dans le nez, c’était bien celui-là. Un coup facile. Le médiocre double dames qui s’était joué du temps de son prédécesseur — Cécilia la bourgeoise rebelle bovariesque et capricieuse et Carla la jet-setteuse italienne écervelée et dispendieuse — lui offrait un boulevard. Une femme normale après les poules de luxe. La carte de l’union libre, pour un président socialiste, aurait du reste pu être une idée finaude : une compagne indépendante, discrète, qui ne viendrait pas interférer dans les affaires de l’État et qui casserait symboliquement le cliché de la potiche entretenue, si insultant pour la cause féministe. Tu parles. D’un cliché à l’autre, Trierweiler a chopé le syndrome de la secrétaire qui couche avec le patron et qui est en mal de reconnaissance : jalouse de la mère de ses enfants, impérieuse, atrabilaire et susceptible comme dix Corses. L’option discrétion, ce n’était pas encore pour cette fois.

Xavier Kemlin s’était fait connaître ces dernières années pour son action médiatique contre Carrefour, par laquelle il entendait défendre son statut d’actionnaire minoritaire contre le « capitalisme dévoyé » réclamant « un épicier » à la tête de l’enseigne. Sans doute aujourd’hui entend-il défendre le Français (plus minoritaire du tout) contre le socialisme dévoyé, réclamant un président, un vrai, à la tête de la France. ( il y a URGENCE Voxpop )

Je ne sais si la contestation de tous ordres qui gronde actuellement dans ce pays va donner lieu dans les mois qui viennent à un remake français du printemps arabe, mais pour le rôle de Leïla Ben Ali, je crois que j’ai peut-être une idée de casting.

Gabrielle Cluzel, le 17 mars 2013
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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 07:28

OUI ! le trafic de drogue est une économie de substitution

 qui fait vivre des milliers de familles.

Les envolées lyriques de M Valls ne feront pas reculer la violence.

Le sentiment d'impunité est fortement installé,

la tolérance ZERO s'impose, VITE !


 

 

 

 

 

  • 18 mars 2013
  • Le Figaro
  • par Yves Thréard ythreard@lefigaro.fr
 
 
 

Comme Jean-Pierre Chevènement, Manuel Valls a le sens de la formule. On se souvient que le ministre de l’Intérieur de Lionel Jospin était parti en guerre contre les « sauvageons » . Son successeur Place Beauvau vient de déclarer la « guerre contre la barbarie à Marseille » . Chevènement a échoué, si l’on observe la progression des statistiques de la délinquance de l’époque. Mais il a laissé une image : celle d’un homme de gauche attaché à l’ordre républicain, qui ne s’embarrasse pas des pudeurs de la bien-pensance. Valls, qui a de grandes ambitions politiques, se retrouve dans la même situation. L’homme plaît, même à droite, mais les résultats ne sont pas au rendez-vous. La violence ? Elle ne cesse d’augmenter. Le casse-tête de l’accueil des Roms ? Il n’est pas résolu, loin de là. Marseille ? Il s’y est déjà rendu six fois, mais la chronique ordinaire des règlements de comptes continue.

 

 Rien ne sert d’employer les grands mots, d’alimenter les fantasmes propres à cette ville. Marseille est à l’image de nombreux quartiers de notre pays. De beaucoup de ces banlieues où le trafic de drogue est une économie de substitution qui fait vivre des milliers de familles. Cette tragique réalité exige un traitement à la hauteur, qui s’appelle la tolérance zéro. C’est ainsi qu’un ancien maire de New York, Rudolph Giuliani, est venu à bout de l’explosion de la criminalité dans sa ville. Les moyens supplémentaires mis en oeuvre à Marseille, comme ailleurs, ne seront d’aucun effet s’ils ne sont pas accompagnés d’une ferme répression judiciaire. La plupart des petits caïds qui transforment les cités en zones de nondroit ont des casiers judiciaires longs comme le bras. Ils sont connus. Sitôt libérés de prison, ils jouent de la mitraillette pour retrouver leur territoire. Tout cela, Manuel Valls le sait. Mais s’il ne veut pas rester un ministre de la parole, il doit convaincre sa collègue du ministère de la Justice d’abandonner son credo permissif.

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 23:17

Traiter une personne comme un objet

  

                   est la caractéristique de l’esclavage

 

                            Pour le retrait de la circulaire illégale du 25 janvier 2013

 

Cher Monsieur, Madame,

 

Merci de lire avec attention cette lettre.

La Garde de Sceaux, Mme Christiana Taubira, a bien montré que François Hollande et son équipe sont des otages du lobby homosexuel.

Sinon pourquoi a-t-elle signé le 25 janvier 2013 une circulaire aux tribunaux en leur donnant l’instruction de faciliter la délivrance d’un certificat de nationalité française aux enfants nés par mère porteuse à l’étranger ?

La gestation par autrui (GPA) est encore illégale et sanctionnée en France.

Avant même l’approbation définitive du « mariage pour tous », avec cette circulaire le lobby homosexuel gagne sur toute la ligne. En plus, Mme Taubira accorde sa faveur au plus nauséabond et odieux des marchés du Tiers Monde : LE MARCHÉ D’UTERUS par lequel l’enfant devient une marchandise !

Avenir de la Culture vous demande de vous associer à sa protestation auprès de Madame Christiane Taubira. De toute urgence, votre signature est demandée en cliquant ici.

Dites NON à cette prime à l’impunité accordée aux paires homosexuels en signant la pétition qui sera remise à Madame le Garde des Sceaux  par une délégation de l'association. Cette révolution ne passera pas car vous et moi n’allons pas garder le silence !

Je vous remercie pour votre réaction immédiate,

Jean GOYARD
http://www.avenirdelaculture.fr

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 22:47

 C'est bien là ce que chacun pensait !

 

 


 

 

Publiée le 13 mars 2013

  

Un arrière-petit-fils de Geoffroy-Guichard veut porter plainte contre Valérie Trierweiler

 

http://www.leprogres.fr/multimedia/20...

Après l'affaire des "bâtards" de l'Olympique lyonnais, Xavier Kemlin, arrière-petit-fils de Geoffroy-Guichard, s'en prend à Valérie Trierweiler. Il lui reproche de ne pas être mariée à François Hollande et l'implique ainsi dans des détournements de fonds publics. Ce jeudi, l'héritier de Casino domicilié en Suisse, arrêté par la police pour un excès de vitesse n'a pas réussi à porter plainte au commissariat Barrouin de Saint-Etienne. Motivé, il va renouveler sa requête dès jeudi matin. « Je ne lâcherai pas, même sous la pression » indique-t-il.

 

  La plainte contre Valérie Trierweiler a été déposée ce jeudi au TGI de Saint-Etienne

 

Ce jeudi, l'héritier de la famille Guichard domicilié en Suisse a déposé plainte pour "détournement de fonds public" contre Valérie Trierweiler. C'est le tribunal correctionnel de Saint-Etienne qui l'a enregistré. Il l'accuse notamment d'être la "maîtresse" attitrée du Président de la république en exercice, François Hollande. Il estime que les impôts qu'il paye en France "ne peuvent servir à loger, nourrir, blanchir, vêtir, payer les voyages ainsi que le personnel d'une dame avec qui la nation n'a aucun lien juridique".

 

 

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 16:28

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 16:05

Dans une lettre ouverte, 170 juristes et professeurs de droit demandent aux sénateurs de « faire échec au projet de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe ».

17/3/13

Après son adoption en première lecture à l’assemblée nationale, le texte sur le mariage pour tous doit désormais être examiné au Sénat à partir du 2 avril.

À l’approche de cette nouvelle échéance, le collectif La manif pour tous a prévu une nouvelle manifestation nationale à Paris dimanche 24 mars.

Dans leur argumentaire, les spécialistes du droit insistent sur le fait que par cette loi, l’enfant sera « privé de parents » et dénoncent un texte qui « organise un marché des enfants ».

 

Consultez la lettre des juristes et professeurs de droit

 

 

Lettre ouverte adressée aux sénatrices et sénateurs de la République française

Le 15 mars 2013

 

Mesdames les sénatrices,

Messieurs les sénateurs,

 

Juristes de droit privé, de droit public et historiens du droit, professeurs et maîtres de

conférences des Universités françaises, il nous appartient de vous faire savoir que le projet

de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe, adopté par l’Assemblée

nationale en première lecture, implique un bouleversement profond du Droit, du mariage et,

surtout, de la parenté.

 

Nous vous invitons à faire échec à ce projet pour les raisons qui suivent.

 

1) Les personnes du même sexe, par le mariage, vont avoir accès à l’adoption sans

qu’aucune modification des textes ne soit nécessaire. Pourtant, si les liens affectifs qui

peuvent se nouer avec l’enfant peuvent être tout à fait réels, il faut bien comprendre que ces

liens ne correspondent pas à des liens de filiation.

La filiation découle de l’acte de naissance qui, comme son nom l’indique, dit à chacun de qui

il est . Dans le cas de l’adoption, l’engendrement de l’enfant est symbolique, mais la

filiation adoptive permet à l’enfant de se construire par référence à un père et une mère, et

de se penser comme issu de leur union même s’il ne l’est pas biologiquement. Elle lui

permet de reconstituer la famille dont il a été privé.

 

L’enfant adopté par deux hommes ou deux femmes sera doté d’éducateurs, d’adultes

référents, mais privé de parents car ces « parents » de même sexe ne peuvent lui

indiquer une origine, même symbolique. Il sera en réalité deux fois privé de parents :

une première fois par la vie, une seconde fois par la loi.

 

2) Le projet de loi, ensuite, prévoit l’adoption de l’enfant du conjoint de même sexe. Or, si cet

enfant peut être issu d’une union précédente entre un homme et une femme, il sera le plus

souvent issu d’une insémination ou d’une gestation pour autrui pratiquée à l’étranger. Cet

enfant aura donc été voulu, avant même sa conception, sans lien avec ses père et mère et

volontairement privé de l’un d’entre eux.

Cet enfant est juridiquement adoptable parce qu’il a été conçu pour cela : la mère s’est fait

inséminer en Belgique, par exemple, par un inconnu afin d’éviter le père. Elle a choisi un

mode de conception privant l'enfant de son père, et même tout simplement de père, pour

qu’il puisse être adopté par une deuxième femme.

Ou encore, le père a cherché une mère porteuse en Inde, par exemple, pour ne pas

s’encombrer d’une mère, privant délibérément son enfant de sa mère, et de mère tout court,

pour qu’il puisse être adopté par un deuxième homme.

Qu’on le veuille ou non, le désir d’enfant de personnes de même sexe passe par la

fabrication d’enfants, qui seront ensuite adoptables, par insémination artificielle pour les

femmes ou par le biais d’une mère porteuse pour les hommes.

 

Le projet de loi organise donc un marché des enfants, car il le suppose et le

cautionne. En l’état, ce texte invite à aller fabriquer les enfants à l’étranger, ce qui est

déjà inacceptable, en attendant de dénoncer l’injustice de la sélection par l’argent

pour organiser le marché des enfants en France.

 

La loi ne peut certes pas empêcher un homme ou une femme d’aller à l’étranger priver

délibérément son enfant d’un de ses parents, mais elle a mieux à faire pour les enfants que

d’encourager ces bricolages procréatifs en les validant par des artifices juridiques !

La nécessité supposée de prendre en compte la situation particulière des enfants nés selon

de tels procédés est une argutie. Ces enfants sont en réalité instrumentalisés par ceux-là

mêmes qui ont provoqué leur situation, au soutien de leurs propres revendications d’adultes.

En effet, le droit protège tous les enfants, sans tenir compte de la situation de leurs parents,

et ces enfants ne sont pas moins bien traités que les autres. Les moyens juridiques de

l’autorité parentale et de la tutelle testamentaire permettent de régler les difficultés

éventuelles qu’ils pourraient rencontrer.

 

De nombreux hommes et femmes, qui ont un désir homosexuel, ne dénient pas cette

donnée fondamentale qu’un enfant est issu d’un père et d’une mère et qu’il est criminel

de l’en priver volontairement. Beaucoup ont d’ailleurs des enfants mais, comme tout un

chacun, avec une personne du sexe opposé. Le projet de loi ne concerne que des femmes

qui veulent avoir un enfant sans s’ « encombrer » d’un père, ou des hommes qui ne veulent

pas avoir à « partager » l’enfant avec une mère, faisant ainsi primer leurs désirs sur les

droits fondamentaux de l’enfant.

 

Vous, législateur de la République, ne pouvez valider un système de fabrication d’enfants

adoptables, car les enfants ne sont ni des objets pour satisfaire un désir, ni des

médicaments pour soulager une souffrance.

 

Juristes, nous avons vocation à veiller au respect des libertés individuelles et à la protection

par le droit des personnes les plus vulnérables. Nous ne pouvons rester insensibles à la

grande violence faite aux enfants, délibérément privés d'une mère ou d’un père. Nous ne

pouvons nous taire devant l’inéluctable marché de la procréation à venir, la marchandisation

du ventre des femmes les plus précaires et des enfants fabriqués pour satisfaire les désirs

dont ils sont l’objet.

Le projet de loi ne peut qu’être rejeté dans son ensemble car le mariage emporte

nécessairement toutes ces conséquences en matière de filiation.

Il sera donc tout à votre honneur, Mesdames qui êtes nos sénatrices, Messieurs qui êtes nos

sénateurs et qui nous représentez, de renoncer à un texte qui se révèle celui de

l’esclavage moderne des femmes et de la nouvelle traite des enfants !

 

Avec tous nos remerciements pour l’engagement qui sera, nous n’en doutons pas, le vôtre

dans la défense des familles et des enfants recevez, Mesdames les sénatrices, Messieurs

les sénateurs de la République, l’expression de nos sentiments bien dévoués

 

Guillaume DRAGO, Professeur de droit public, Université Paris 2 Panthéon-Assas

Aude MIRKOVIC, Maître de conférences en droit privé, Université d’Evry Val d’Essonne

 

Liste des signataires

Bertrand ANCEL, Professeur émérite de droit privé, Université Paris 2 Panthéon-Assas

Laurent AYNES, Professeur de droit privé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Augustin AYNES, Professeur de droit privé, Université Paris 12 Est Créteil

Marie-Thérèse AVON-SOLETTI, Maître de conférences en histoire du droit, Université de Saint-Etienne

Jean BARBEY, Professeur d’histoire du droit, Université du Mans

Louis-Augustin BARRIERE, Professeur d'histoire du droit, Université Jean Moulin Lyon 3

Daniel BERRA, Professeur émérite de droit privé, Université Aix-Marseille

Isabelle BARRIERE BROUSSE, Professeur de droit privé, Université d'Aix-Marseille

Jacques BEGUIN, Professeur émérite de droit privé, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne

Diane de BELLESCIZE, Professeur de droit public, Université du Havre

Ramu de BELLESCIZE, Maître de conférences en droit public, Université de Rouen

André BENAYOUN, Maître de Conférences en droit privé, Université de Sceaux

Thibaut de BERRANGER, Maître de conférences en droit public, Université de Nantes

Guillaume BERNARD, Maître de conférences en histoire du droit, ICES la Roche-sur-Yon

Jean-René BINET, Professeur de droit privé, Université de Franche-Comté

Christophe BLANCHARD, Professeur de droit privé, Université d’Angers

Christine BOILLOT, Maître de conférence en droit privé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Georges BOLARD, Professeur émérite de droit privé, Université de Bourgogne

Pierre BONIN, Professeur d'histoire du droit, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Damienne BONNAMY, Maître de conférences de droit public, Université de Franche-Comté

Jean-Sébastien BORGHETTI, Professeur de droit privé, Université Paris 2 Panthéon-Assas

Claire BOUGLE-LE ROUX, Maître de conférences en histoire du droit, Université de Versailles

Renaud BOURGET, Maître de conférence en droit public, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Christophe BOUTIN, Professeur de droit public, Université de Caen Basse-Normandie

François-Xavier BRECHOT, Maître de conférence en droit public, Sciences Po Paris

Vincent BREMOND, Professeur de droit privé, Université d’Orléans

Claude BRENNER, Professeur de droit privé, Université Paris 2 Panthéon-Assas

Clotilde BRUNETTI-PONS, Maître de conférences en droit privé, Université de Reims

Alexis BUGADA, Professeur en droit privé, Université Aix-Marseille

Mathieu CARDON, Maître de conférences en droit public, Université Jean Moulin Lyon 3

Jean-Marie CARBASSE, Professeur d’histoire du droit, Université de Montpellier

Stéphane CAPORAL, Professeur de droit public, Université de Saint-Etienne

Claude CHAMPAUD, Professeur émérite de droit privé, Université Rennes 1

Jean-Yves CHEVALLIER, Professeur émérite de droit privé, Université de Rennes

Jocelyn CLERCKX, Maître de conférences en droit public, Université du Havre

Joël COLONNA, Maître de conférences en droit privé, Université Aix-Marseille

Jean-Luc CORONEL DE BOISSEZON, Professeur d'histoire du droit, Université Montpellier 1

Danielle CORRIGNAN-CARSIN, Professeur de droit privé, Université de Rennes 1

Julien COUARD, Maître de conférences en droit privé, Université du Sud Toulon-Var

Marie-Yvonne CREPIN, Professeur émérite d’histoire du droit, université de Rennes 1

Philippe CHRESTIA, Maître de Conférences en droit public, Université de Nice Sophia Antipolis

Pierre CROCQ, Professeur de droit privé, Université Paris 2 Panthéon-Assas

Pierre-François CUIF, Maître de conférences en droit privé, Université d’Evry

Bruno DAUGERON, Professeur de droit public, Université Lumière Lyon 2

Thierry DEBARD, Professeur de droit public, Université Jean Moulin Lyon 3

Christian DEBOUY, Professeur de droit public, Université de Poitiers

André DECOCQ, Professeur émérite de droit privé, Université Paris 2 Panthéon Assas

Michel DEGOFFE, Professeur de droit public, Université Paris Descartes

Françoise DEKEUWER-DEFOSSEZ, professeur émérite de droit privé, Université Lille 2

Marie Luce DEMEESTER, Professeur de droit privé, Université Aix-Marseille

Alexandre DEROCHE, Professeur d'histoire du droit, Université Grenoble 2 Pierre Mendes France

Philippe DIDIER, Professeur émérite d’histoire du droit, Université de Grenoble 2 Pierre Mendes France

Jean-Paul DOUCET, Professeur de droit criminel en retraite

Melina DOUCHY-OUDOT, Professeur de droit privé, Université du Sud Toulon-Var

Cyrille DOUNOT, Maître de conférences en histoire du droit, Université de Rouen

Gilles DUMONT, Professeur de droit public, Université de Nantes

Dominique FENOUILLET, Professeur de droit privé, Université Paris 2 Panthéon-Assas

Dominique GENCY-TANDONNET, Maître de conférences en droit privé, Université Paris 12 Est Créteil

Thomas GENICON, Professeur de droit privé, Université de Rennes 1

Jean-Baptiste GEFFROY, Professeur de droit public, Université de Poitiers

Jean-François GICQUEL, Maître de Conférences en histoire du droit, Université de Lorraine

Marie GORE, Professeur de droit privé, Université Paris 2 Panthéon-Assas

Claude GOYARD, Professeur émérite de droit public, Université Paris 2 Panthéon Assas

Anne GUEGAN, Maître de conférences en droit privé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Nicole GUIMEZANES, Professeur émérite de droit privé, Université Paris 12 Est Créteil

Serge GUINCHARD, Professeur émérite de droit privé, Université Panthéon-Assas

Gérard GUYON, Professeur émérite d’histoire du droit, Université de Bordeaux

Jean-Louis HAROUEL, Professeur d’histoire du droit, Université Paris 2 Panthéon Assas

Joël HAUTEBERT, Professeur d’histoire du droit, Université d’Angers

Caroline HENRY, Professeur de droit privé, Université de Bourgogne

Blandine HERVOUET, Maître de conférences en histoire du droit, Université de Caen

Henri HOVASSE, Professeur de droit privé, Université de Rennes 1

Suzanne HOVASSE, Professeur de droit privé, Université de Rennes 1

Patrice JOURDAIN, Professeur de droit privé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Marc JOYAU, Professeur de droit public, Université de La Rochelle

Pierre JULIEN , Professeur émérite de droit privé, Université de Nice

Catherine LABRUSSE-RIOU, Professeur émérite de droit privé, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne

Marie-Béatrice LAHORGUE, Maître de conférences en droit public, Université de Poitiers

André LAINGUI, Professeur émérite d’histoire du droit, Université Paris 2 Panthéon Assas

Gwendoline LARDEUX, Professeur de Droit privé, Université d'Aix-Marseille

Yves LASSARD, Maître de conférences en histoire du droit, Université Grenoble 2 Pierre Mendès France

Florence LASSERRE JEANNIN, Maître de conférences en droit privé, Université de Paris 1 Panthéon Sorbonne

Xavier LATOUR, Professeur de droit public, Université de Rouen

Hervé LECUYER, Professeur de Droit privé, Université Paris 2 Panthéon-Assas

Anne LEFEBVRE-TEILLARD, Professeur émérite d’histoire du droit, Université Paris 2 Panthéon Assas

Arnaud LE GALL, Maître de conférences en droit public, Université de Caen

Jean-Michel LEMOYNE DE FORGES, Professeur émérite de droit public, Université Paris 2 Panthéon Assas

Anne-Marie LE POURHIET, Professeur de droit public, Université Rennes 1

Yves LEQUETTE, Professeur de droit privé, Université Paris 2 Panthéon-Assas

Philippe LE TOURNEAU, Professeur émérite de droit privé, Université Toulouse 1 Capitole

Laurent LEVENEUR, Professeur de droit privé, Université Paris 2 Panthéon Assas

Guillaume LEYTE, Professeur d’histoire du droit, Université Paris 2 Panthéon-Assas

Monique LUBY, Professeur de droit privé, Université de Pau

André LUCAS, Professeur émérite de droit privé, Université de Nantes

François-Xavier LUCAS, Professeur de droit privé, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne

Arnaud MARTIN, Maître de conférences en droit public, Université Montesquieu Bordeaux 4

Nicolas MATHEY, Professeur de droit privé, Université Paris 5 René Descartes

Patricia MATHIEU, Maître de conférences en histoire du droit, Université Pierre Mendès France Grenoble 2

Martial MATHIEU, Professeur d’histoire du droit, Université de Grenoble Pierre Mendès France

Yves MAYAUD, Professeur de droit privé, Université Paris 2 Panthéon Assas

Sabine MAZEAUD-LEVENEUR, Professeur de droit privé, Université Paris 12

Gérard MEMETEAU, Professeur de droit privé, Université de Poitiers

Michel MENJUCQ, Professeur de droit privé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Virginie MERCIER, Maître de conférences en droit privé, Université d'Aix Marseille

Anthony MERGEY, Professeur d’histoire du droit, Université Rennes 1

Sophie MOLINIER, Maître de conférences en histoire du droit, Université Paris 8

Jean MORANGE, Professeur de droit public, Université de Limoges

Louis-Daniel MUKA TSHIBENDE, Maître de conférences en droit privé, Université Catholique de Lyon

Florence NICOUD, Maître de conférences en droit public, Université de Haute-Alsace

Pascal OUDOT, Maître de conférences en droit privé, Université du Sud Toulon-Var

Bertrand PAUVERT, Maître de conférences en droit public, Université de Haute-Alsace

Marta PEGUERA POCH, Professeur d'histoire du droit, Université de Lorraine

Armel PECHEUL, Professeur de droit public, Université d'Angers

Hugues PERINET-MARQUET, Professeur de droit privé, Université Paris 2 Panthéon-Assas

Hugues PETIT, Maître de Conférences en histoire du droit, Université de Grenoble Pierre Mendès France

Christiane PLESSIX-BUISSET, Professeur émérite d'histoire du droit, Université de Rennes1

Eva RABILLON, Maître de conférences en droit public, Université d'Angers

Geneviève REBECQ, Maître de conférences en droit privé, Université du Sud Toulon-Var

Philippe REMY, Professeur émérite de Droit privé, Université de Poitiers

Virginie RENAUX-PERSONNIC, Maître de conférences en droit privé, Université Aix-Marseille

Laurent REVERSO, Professeur d'histoire du droit, Université du Sud Toulon-Var

Jean-Claude RICCI, Professeur de droit public, Université d'Aix-Marseille

Daniel ROBLOT, Maître de conférences honoraire en droit public, Université de Créteil

Janick ROCHE DAHAN, Maître de conférences en droit privé, Université du Sud Toulon-Var

Guillaume ROUSSET, Maître de conférences en droit privé, Université Lyon 3 Jean Moulin

Damien SALLES, Professeur d'histoire du droit, Université Grenoble 2 Pierre Mendès France

Alain SÉRIAUX, Professeur de droit privé, Université Via Domitia de Perpignan

Caroline SIFFREIN-BLANC, Maître de conférences en droit privé, Université Aix-Marseille

Sylvain SOLEIL, Professeur d’histoire du droit, Université Rennes 1

Philippe STOFFEL-MUNCK, Professeur de droit privé, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne

Caroline TABOUROT HYEST, Maître de conférences en droit privé, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne

Isabelle TOSI, Maître de conférence en droit privé, Université Montpellier 1

Olivier TOUNAFOND, Professeur de droit privé, Université de Paris Est

François-Guy TREBULLE, Professeur de droit privé, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne

François VALLANCON, Maître de conférences honoraire en histoire du droit, Université Paris 2 Panthéon-Assas

André VARINARD, Professeur émérite de droit privé, Université Jean Moulin Lyon3

Raymonde VATINET, Professeur de droit privé, Université Panthéon-Assas Paris 2

Marie-France VERDIER, Maître de conférences en droit public, Université Montesquieu Bordeaux 4

Edouard VERNY, Professeur de droit privé, Université Rennes 1

Daniel VIGNEAU, Professeur de droit privé, Université de Pau et des Pays de l'Adour

Ludovic DE VILLELE, Professeur de droit privé associé, université d’Evry

Michel DE VILLIERS, Professeur émérite de droit public, Université de Nantes

Jean VILLACEQUE, Professeur associé en droit privé, Université de Perpignan

Geneviève VINEY, Professeur émérite de droit privé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Nicolas WAREMBOURG, Professeur d’histoire du droit, Université Lille 2

Caroline WATINE-DROUIN, Maître de conférences honoraire en droit privé, Université Paris 2 Panthéon-Assas

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Published by voxpop - dans La France en résistance
17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 15:26
 Ivan Best | 14/03/2013, 12:16 - 267 mots La tribune
Le régime de retraite additionnelle de la fonction publique fait grossir chaque année ses réserves, en attendant de verser des prestations, en... 2045

A l'heure où tous les acteurs déplorent la mauvaise situation financière des régimes de retraite, il en est un qui accumule au contraire les excédents. Au point de presque inquiéter la Cour des comptes, qui a publié ce jeudi le référé qu'elle a transmis au gouvernement: il s'agit du RAFP, le régime de retraite additionnelle de la fonction publique. Un régime tout jeune, créé en 2005, qui vise à apporter une retraite complémentaire à l'ensemble des fonctionnaires. Ceux-ci cotisent obligatoirement, sur l'ensemble de leurs primes, à hauteur de 5% de celles-ci (l'employeur pour un même montant).

Les sommes perçues, soit 850 millions d'euros par an, sont capitalisées, et donc placées sur les marchés financiers. De manière pas toujours très heureuse, souligne la Cour des comptes : ainsi, le RAFP, qui gère lui-même ses placements, a acheté massivement, en 2009 des obligations grecques, italiennes, portugaises et espagnoles. Il a, du coup, été contraint de constater une moins value de 650 millions d'euros, fin 2011. Mais des plus-values ont été constatées par ailleurs.


 

J'ai du mal à croire que les gestionnaires ( syndicats des actifs ) des régimes complémentaires du privé n'ont pas

grevé massivement les comptes par des placements malheureux lors de la dernière crise des subprimes !

D'où l'urgence. D'où cette injustice à l'encontre des retraités du prive ( pour le public, l'état assume ) non invités à la gestion des "sous" de leurs cotisations ! Voxpop

 


 

 

 

Un bon matelas
Et surtout, les cotisations qui rentrent dans les caisses chaque année dépassent de loin les prestations versées. En 2040, le régime devrait avoir accumulé 60 milliards d'euros de cotisations, et versé seulement 21,5 milliards de prestations, sous forme de capitaux et de rentes viagères. De quoi constituer un bon matelas, d'ici là. Sachant que les prestations versées ne seront significatives qu'à partir de 2045-2050, quand les fonctionnaires qui auront durablement cotisé à ce régime partiront en retraite.

Une situation durablement confortable, donc. A moins qu'un gouvernement soit tenté de puiser dedans. Mais cela reviendrait à léser les fonctionnaires.

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J'ai plus envie de l'incivisme, plus envie de la médiocrité comme religion, plus envie du manque d'ambition comme profession de foi.

J'ai plus envie de relativiser. >>>>