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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 09:57

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 09:38

 

 

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 09:23
 Il avait dit qu'il voulait faire des économies et qu'il prendrait le train le plus souvent possible.
............

 

 

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 09:11

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12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 21:57

 

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12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 19:02

 

PUBLIÉ LE 12/05/2012 08:21 | LA DÉPÊCHE DU MIDI

Déficits : la France dans le collimateur de Bruxelles


Pour Bruxelles, la baisse de la croissance ne permettra pas de réduire le déficit public de 3%. Hollande, lui, veut garder le cap, précisant avoir anticipé cette dégradation.

L'avertissement est venu hier de Bruxelles et s'adressait à plusieurs pays européens, dont la France. Selon la Commission européenne, le ralentissement de la croissance ne permettra pas de réduire le déficit public à 3 % en 2013 comme prévu. Une dégradation que le nouveau Président dit avoir anticipé, soucieux malgré tout de garder le cap qu'il s'était fixé et qu'il n'a cessé de rappeler durant sa campagne. « J'ai demandé une évaluation par la Cour des comptes de la réalité budgétaire de notre pays, je savais depuis déjà plusieurs semaines qu'il y avait une dégradation plus grande que le gouvernement sortant ne le disait de nos comptes publics », a affirmé François Hollande alors qu'il se trouvait à Tulle. Il attendra donc l'audit demandé à la juridiction financière, un audit des comptes publics avant d'arrêter les premières décisions budgétaires.

La Commission a annoncé hier prévoir une croissance de 0,5 % pour 2012, comme François Hollande dans son projet, mais de seulement 1,3 % l'an prochain,, en dessous donc des 1,7 % escomptés par le nouveau président.

Michel Sapin, responsable du projet présidentiel de l'ex-candidat socialiste voit dans cette « dé gradation » « la lourde responsabilité des politiques économiques, fiscales et budgétaires des équipes précédentes. L'ex-ministre du Budget Valérie Pécresse voit dans ce dérapage un « sérieux avertissement » pour le Président élu qui a promis des « dépenses inconsidérées ».

 

Le président de la Bundesbank attaque Hollande, rappelle l'orthodoxie

Publié le 12.05.2012, 14h10 LeParisien.fr

 

 

Pacte fiscal européen, inflation, aides à la Grèce: le président de la Bundesbank Jens Weidmann a recadré fermement samedi ceux qui ont pu laisser penser à un infléchissement de sa doctrine d'orthodoxie, et lancé des mises en garde au président français élu François Hollande.
Plutôt discret depuis qu'il a pris la succession en mai dernier du bouillonnant Axel Weber, qui avait claqué la porte en raison de son désaccord sur la gestion de la crise dans la zone euro, M.

Weidmann, à la réputation de pragmatisme, a tapé du poing sur la table face au tour que prend le débat en Europe.
Première visée dans un long entretien accordé au grand quotidien de Munich Süddeutsche Zeitung paru samedi, la Grèce, toujours en quête d'un gouvernement.
Ce pays, dont le surendettement a été à la fois le déclencheur et le révélateur d'une crise de la dette qui n'en finit pas de plomber la zone euro, ne recevra plus aucune aide financière si elle ne respecte pas ses engagements d'austérité, a averti celui qui fut un conseiller proche de la chancelière Angela Merkel.
Quant à la tentation d'une sortie de la monnaie unique, "les conséquences seraient beaucoup plus graves (pour Athènes) que pour le reste de la zone euro", a-t-il aussi mis en garde, jugeant "simpliste" de penser que la Grèce pourrait résoudre ses problèmes de cette manière.
L'inflation ensuite. Alors que des économistes et même le ministre des Finances, Wolfgang Schäuble, estiment que l'Allemagne peut se permettre une hausse des prix supérieure aux 2% que se doit de faire observer la Banque centrale européenne (BCE), afin d'aider ses voisins en difficulté à gagner en compétitivité et d'encourager leur croissance, M. Weidmann a répété le credo de son institution.
"C'est un chemin dangereux, nous ne devrions pas répéter les erreurs des années 1970. L'inflation est socialement injuste, (et) ne permet pas de sortir de la crise", a-t-il dit.
La veille déjà il avait cru bon d'intervenir face à une surinterprétation par certains médias du rapport d'un économiste de ses services jugeant que le pays, dont l'économie continue de bien se porter malgré la morosité ambiante, pouvait tolérer un peu plus d'inflation.
"Si nous veillons, au conseil des gouverneurs de la BCE, que l'inflation moyenne ne dépasse pas les 2%, alors l'inflation ne sortira pas de ce cadre en Allemagne. Nos concitoyens peuvent se fier à la vigilance de la Bundesbank", avait-il déclaré, toujours dans les colonnes du Süddeutsche Zeitung.
Enfin M. Weidmann attaque de front des propositions de François Hollande, qui prendra ses fonctions mardi et que Mme Merkel recevra le jour même à Berlin.
"Une modification des statuts (de la BCE) serait dangereuse", met-il en garde, faisant allusion aux propositions de M. Hollande pendant sa campagne de laisser la BCE prendre des mesures de soutien à l'économie ou prêter directement aux Etats.
"Les emplois et la croissance économique sont le fruit des échanges commerciaux. La banque centrale est la mieux placée pour contribuer à la stabilité de la monnaie" européenne, a-t-il ajouté.
S'"il faut attendre le programme final du gouvernement" de M. Hollande, "il est clair qu'il faut refuser sa revendication de campagne, de détricoter le pacte budgétaire européen", a-t-il ajouté.

Le président élu socialiste s'est engagé à "renégocier" le traité de discipline budgétaire signé début mars par 25 Etats de l'Union européenne, pour y ajouter un "volet croissance", jugeant que la ligne d'austérité défendue par la chancelière conservatrice Angela Merkel conduisait la zone euro droit dans le mur. Ce qui, selon les analystes, ne signifie pas qu'il rejette le pacte budgétaire puisqu'il s'est engagé à équilibrer les comptes de la France en 2017.
"Le nouveau mot-clé est +croissance+ oui je sais", a ajouté M. Weidmann. "Mais chacun comprend des choses différentes sous ce terme", qui pour lui ne doit pas mener à relancer les dépenses et donc augmenter l'endettement. "Toutes les expériences prouvent qu'un endettement trop important handicape la croissance".

 

 

Commentaires internautes :

 

L'inexpérience et les prétentions des novices

Le père François roulait des mécanique et avait des prétentions . J'ai comme la nette impression qu'il est poliment renvoyer dans les cordes ,et qu'Angela n'a pas l'intention d'ouvrir sa bourse pour entretenir notre train de vie dispendieux

 

Parions Hollande va dire c'est la faute à Sarko les paris sont ouvert!!

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10 mai 2012 4 10 /05 /mai /2012 06:12

 

Hollande prisonnier de son électorat, des corps intermédiaires.

Ces enseignants du sort desquels on se préoccupe toujours avant celui de nos enfants. Ces nantis de notre société, assurés d'un emploi à vie, évalués moins de cinq fois dans leur carrière...  

Le futur gouvernement abrogera le décret publié au « JO » le 8 mai.

« Ce décret constitue une provocation politique de quelques jusqu’au-boutistes »
VINCENT PEILLON

ÉDUCATION C’était un des grands chantiers de Luc Chatel, une des mesures phares de sa politique de ressources humaines appliquée à un ministère qui ne s’en est jamais préoccupé. Mais la publication le 8 mai 2012 du décret n° 2012-702 « portant dispositions statutaires relatives à l’appréciation et à la reconnaissance de la valeur professionnelle de certains personnels enseignants, d’éducation et d’orientation relevant du ministre chargé de l’éducation nationale » fait hurler les syndicats enseignants et donne l’occasion à la future équipe dirigeante de rendre son premier arbitrage : ledit décret sera abrogé au plus tôt.

CERINO/REALes enseignants étaient farouchement opposés à cette évaluation, dénonçant le risque de caporalisation et de pressions.

L’épineuse question de l’évaluation des enseignants était pour les syndicats un véritable casus belli. Car il ne s’agissait rien moins que de confier aux chefs d’établissement le soin d’évaluer les enseignants non plus seulement du point de vue administratif - ce qui comptait jusqu’à présent pour 40 % de la « note » de chaque professeur -, mais aussi du point de vue pédagogique - ce qui relevait jusqu’à présent des inspecteurs et intervenait environ tous les cinq ans, parfois à intervalle de dix ans. Si les chefs d’établissement étaient en général plutôt favorables à ces évolutions, les enseignants y étaient farouchement opposés, dénonçant le risque de caporalisation et de pressions. Cette publication, intervenant deux jours après le second tour de l’élection présidentielle, sonne donc pour eux comme une « ultime provocation ».

« Large consensus »

Le ministère, quant à lui, « tient à rappeler que ces nouvelles dispositions sont le fruit d’une consultation qui a débuté en octobre 2009 à l’occasion de la présentation du pacte de carrière par Luc Chatel devant toutes les organisations syndicales » et qu’un « large consensus s’était alors dégagé sur le fait que les modalités d’évaluation des enseignants nécessitaient une évolution ». Il indique dans un communiqué que « les organisations syndicales ont été régulièrement informées de l’avancement des travaux et invitées à formuler des propositions ».

Le ministère de l’éducation nationale rappelle également que « le système de notation des enseignants date de plus de soixante ans (décret de 1950) ». Il juge ainsi que « ce système ne tient absolument plus compte de la réalité du métier d’enseignant et de ses multiples facettes ». « Le statu quo sur cette question essentielle pour l’amélioration du système éducatif, ainsi que de la condition des enseignants, n’est en aucun cas envisageable. »

Pour Vincent Peillon, chargé des questions d’éducation auprès de François Hollande pendant la campagne, « la passation de pouvoirs de Nicolas Sarkozy a été digne, alors que ce décret, lui, constitue une provocation politique de quelques jusqu’au-boutistes. » Celui qui est donné comme un des favoris au poste de ministre de l’éducation nationale n’élude pourtant pas la question de l’évaluation des enseignants et de sa nécessaire refondation. Mais il insiste sur une « évaluation formative liée à la formation continue » . « Il s’agit d’un sujet majeur, insiste-t-il, qui a partie liée avec ce qui sera la première question pour la gauche : l’évaluation du système lui-même. »

L’un des mérites de ce décret sitôt abrogé sera donc d’avoir ouvert un dossier pour le moins complexe. Des observateurs du système dénoncent depuis longtemps déjà la logique d’infantilisation qui régit pour l’instant l’évaluation des enseignants et les soumet aux idéologies pédagogiques des inspecteurs. Est-il impensable d’évaluer un professeur en fonction de sa capacité à expliquer quelle est sa démarche pédagogique et en quoi elle fonctionne ? Encore faudrait-il une réelle volonté de tous les acteurs de sortir d’un statu quo dont les premières victimes sont les élèves.

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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 06:32

 

Le président des Etats-Unis Barack Obama a rendu lundi un hommage appuyé à son homologue français sortant Nicolas Sarkozy pour sa«coopération dans une période difficile», au terme de plus de trois ans d’une relation vue de Washington comme «excellente» malgré des frictions.

«Le président Obama a appelé le président Sarkozy pour le remercier de ses «solides qualités de chef, son amitié et sa coopération dans une période difficile», a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, au lendemain de la défaite de M. Sarkozy face au socialiste François Hollande.

M. Obama «a exprimé son appréciation pour la coopération qui a marqué les relations entre les deux dirigeants depuis janvier 2009. Le président Obama a dit que lui et Mme Obama présentaient leurs meilleurs voeux à M. Sarkozy et à son épouse Carla pour leur projets d’avenir», a ajouté M. Carney dans un communiqué.

Les mandats de MM. Obama et Sarkozy se sont chevauchés pendant trois ans et quatre mois. Mais leur première rencontre remontait au 12 septembre 2006, quand M. Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, avait rencontré à Washington l’encore sénateur de l’Illinois.

Ni l’un ni l’autre n'étaient encore candidats à la plus haute fonction élective de leurs pays respectifs, mais M. Obama avait eu cette déclaration à propos de son interlocuteur: «je ne devrais pas faire de prédictions pour les élections françaises, mais je sais qu’il a une bonne chance de diriger la France à l’avenir».

Lors de leur seconde rencontre, c'était le président Sarkozy qui avait reçu le candidat Obama à l’Elysée, le 24 juillet 2008. M. Sarkozy, radieux, avait rappelé la première: il y en a un qui est devenu président, l’autre n’a qu'à faire la même chose». «Si c’est lui, la France sera très heureuse. Si c’est un autre, la France sera l’amie des Etats-Unis d’Amérique», avait-il ajouté.

Mais une fois M. Obama arrivé à la Maison Blanche, leurs relations s'étaient tendues, en particulier lors du G20 de Londres en avril 2009: les Etats-Unis souhaitaient voir les Européens leur emboîter le pas en adoptant des mesures de relance après la crise financière, l’occasion d’un «clash» avec M. Sarkozy qui avait menacé de quitter la table des négociations.

D’autres escarmouches ont marqué les relations entre Paris et Washington, comme le dossier israélo-palestinien. Lors de l’assemblée générale de l’ONU, le 21  septembre 2011, MM. Obama et Sarkozy s'étaient opposés sur l’octroi d’un nouveau statut aux Palestiniens dans cette instance.

Et début novembre, M. Obama n’avait pas hésité à hausser le ton contre M. Sarkozy après que Paris eut voté en faveur de l’admission de la Palestine à l’Unesco, comme l’avait révélée la «fuite» d’un échange entre les deux dirigeants au sommet du G20 à Cannes.

Mais à l’issue de ce sommet, M. Obama avait consenti à participer à un entretien télévisé commun avec son homologue, qu’il avait couvert d'éloges, alors que M. Sarkozy n’avait pas encore déclaré sa candidature. Il y avait exalté leur réussite dans le dossier libyen.

«Nicolas et moi, nous entretenons d’excellentes relations, nous les avons toujours eues. Cela résulte du fait que nous partageons des responsabilités, nous menons les mêmes combats dans une époque très difficile», avait affirmé M. Obama, en qualifiant M. Sarkozy de«partenaire ouvert, qui travaille beaucoup, qui a beaucoup d'énergie».

Tout au long de ces 40 mois de pouvoir commun, les deux dirigeants ont aussi vanté la «franchise» régissant leurs relations.

A dix jours du premier tour de la présidentielle française, MM. Obama et Sarkozy avaient participé à une vidéoconférence, dont des journalistes présents côté Elysée avaient immortalisé les premières minutes.

M. Sarkozy y avait dit à son homologue: «nous gagnerons, Monsieur Obama, vous et moi, ensemble».

M. Obama briguera un nouveau bail à la Maison Blanche le 6 novembre 2012, six mois jour pour jour après la défaite de M. Sarkozy.

(AFP)

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 07:27
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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 07:16

 

Résultats du 2nd tour - 6 mai 2012 dans le département de l'Isère

 

  • INSCRITS821 488
  •  
  • ABSTENTIONS147 715(17,98%)
  •  


  • VOTANTS673 773(82,02%)
  •  
  • BLANCS ET NULS37 901(4,61%)
  •  
  • EXPRIMÉS635 872(77,40%)

 

 


François Hollande2012François Hollande331 489 VOIX

52,13 %

Nicolas Sarkozy2012Nicolas Sarkozy304 383 VOIX

47,87 %
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