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30 décembre 2014 2 30 /12 /décembre /2014 22:55

  Dans une interview accordée au quotidien espagnol El Mundo, le premier ministre Manuel Valls a annoncé au moins trois années de « sacrifices » aux français.

Une étonnante interview

De manière surprenante, plutôt que de se confier à un média français, le premier ministre français s'est livré à une interview dans un journal espagnol, pour parler de la situation de la France, du chômage et de la politique nationale.

 Le quotidien espagnol l’a nommé « homme de l’année ». Pas sûr qu’en France, un journal ne s’aventure à en faire de même.

______________________________________________________________________________

Quelle IMPUDENCE !   Se rendre en Espagne, se confier aux Espagnols dans sa langue natale l'espagnol, sur le devenir de la France et des Français. Cet irrespect est impardonnable.

Voxpop  

 

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30 décembre 2014 2 30 /12 /décembre /2014 19:19
Ajoutée le 20 juin 2014

A une époque où règnent la pensée unique et le politiquement correct, il est nécessaire d'ouvrir toutes les sources d'information afin de sortir des idées reçues et des clichés concernant l'histoire récente de la France.
Les gouvernements successifs cachent aux Français ce qu'il s'est réellement passé en Algérie pendant la période Française.
Face à l'omerta des chaines de télévision et au silence des politiques, nous avons décidé de mettre à votre disposition le film documentaire "LA VALISE OU LE CERCUEIL" sur internet, afin que la vérité historique soit connue du plus grand public, au plan international.
Vous allez regarder ce remarquable film en version courte d'1h36 sur YOUTUBE.
La version du coffret DVD de 2 heures + 1 heure de bonus est en vente sur AMAZON ou à REPORTAGE34.

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30 décembre 2014 2 30 /12 /décembre /2014 17:38

Minurne Résistance ;

C'est bien écrit, en langage diplomatique, mais ferme et respectueux des formes. C'est une synthèse de vérités objectives bien connues et qui relèvent du simple bon sens. C'est d'une solidité indiscutable et d'une logique implacable.

C'est un réquisitoire sans appel.


Et surtout, c'est écrit par un Général de l'Armée Française !.

CLIQUEZ ci-dessous pour lire la lettre ouverte du Général Antoine Martinez

 

http://www.minurne.org/?p=319

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20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 07:28

Bd Voltaire

Gabrielle Cluzel

 

On connaissait La Pastorale des santons de Provence, écrite par Yvan Audouard. On connaît maintenant la pastorale des santons de l’Hérault, écrite par Robert Ménard.

On pourrait en faire un conte de Noël, à lire le soir en famille. C’est l’histoire d’une petite crèche de rien, toute modeste, qui avait élu domicile dans le hall de la mairie de Béziers, et que certains – en l’occurrence de la Ligue des droits de l’homme – s’étaient mis en tête d’expulser. Allez ouste, Joseph, Marie, le petit Jésus, vous prenez vos vieilles nippes, votre ménagerie qui braie et souffle fort, et vous dégagez de là. Sauf que voilà, les Biterrois sont arrivés. Déterminés. Droits comme des santons Carbonel. Et aussi nombreux. Aussi divers. De tous horizons. Un nombre invraisemblable. Pressés de signer le livre d’or, sentant bien qu’il y avait là un enjeu, un enjeu symbolique fort, dépassant Béziers et même l’Hérault. Un enjeu qui ne concernait pas que les catholiques. Un enjeu français, tout simplement. Hé, Vendée, le conseil général avait dû courber l’échine et remballer son installation. Eh bien, ici, elle resterait. Touchez pas à notre crèche.

Et vendredi après-midi, la décision du tribunal administratif de Montpellier est tombée : la Ligue des droits de l’homme a été déboutée (pour la 4e fois depuis les dernières élections municipales). Et ce n’est pas une demi-victoire pour Robert Ménard, car le jugement est très clair : « La crèche dans le hall de la mairie n’est pas de nature à porter atteinte au principe de laïcité et de neutralité. »

On peut conjecturer à l’infini. Se dire que la détermination a payé : la foule grandissant, les réseaux sociaux s’en mêlant, Robert Ménard n’étant jamais à court d’idée, qu’allait-il donc se passer si le tribunal s’amusait à les prendre tous de front ? Un juge sensé a pu se poser la question. Et se demander aussi dans quel bobinard il était en train de mettre le doigt, – « La crèche, non. Le sapin, oui. Et la guirlande lumineuse, on dit quoi, pour la guirlande lumineuse ? » –, laïciser Noël étant aussi voué à l’échec que rendre le jambon halal. On peut aussi se dire qu’en ce 19 décembre, un juge, autant que sensé, s’est montré courageux. C’est ça, aussi, la magie de Noël.

En attendant, un coup d’arrêt a été donné. Un pied brutalement mis en travers d’une porte se refermant depuis des années, inexorablement, un peu plus chaque jour, sans faire de bruit, sur notre civilisation. Sur ce qui l’a modelée, pétrie, ce qui rythme son calendrier, ses joies et ses fêtes familiales, ce qui a construit sa géographie comme son histoire. Ce en quoi ont cru avec ferveur tant de générations. Sur la France de toujours, en somme, que certains voudraient appeler la France d’hier.

Et maintenant que le pied est là, qui empêche de fermer le verrou, il faut continuer à pousser. Rouvrir doucement mais sûrement. Le vent a tourné et souffle dans les voiles. L’affaire de « la crèche de Béziers » en est un nouveau signe, emblématique. Les santons biterrois ont relevé la tête, et ils donnent l’exemple. Joyeux Noël !

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 15:21

 

 « Daech n'est plus seulement aux portes de l'Europe, ... il en a franchi le seuil »

La force de frappe de l'Etat islamique inquiète l'état-major des armées.

« La rapidité avec laquelle ce mouvement parvient à accroître ses effectifs et à diversifier son matériel est très préoccupante », a estimé le chef d'état-major de l'armée de terre, le général Jean-Pierre Bosser. Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian avait été très clair sur l'arsenal dont dispose Daech. Ses grands subordonnés, qui suivent le dossier, affiche une préoccupation sur la puissance et l'attractivité de ce mouvement terroriste, dont les effectifs sont actuellement évalués à 25.000 djihadistes. Daech, qui dispose notamment de chars, « ne constitue pas qu'un groupe terroriste mais bien une armée qui manœuvre, qui communique, qui s'appuie sur des équipements performants et poursuit des objectifs stratégiques, avec une volonté expansionniste affichée », a expliqué aux sénateurs le chef d'état-major de l'armée de Terre (Cemat), le général Jean-Pierre Bosser.

« Le groupe exerce une forte attraction sur les djihadistes du monde entier, qui rallient l'Irak et la Syrie par milliers », a noté le député UMP des Bouches-du-Rhône Guy Tessier dans son rapport sur le projet de loi de finances pour 2015. « Les djihadistes de Daech représentent une véritable armée terroriste composée d'hommes expérimentés, bien équipés et disposant de ressources financières importantes », a pour sa part confirmé le chef d'état-major des armées, le général Pierre de Villiers.

« La rapidité avec laquelle ce mouvement parvient à accroître ses effectifs et à diversifier son matériel est très préoccupante », a précisé le général Bosser.

Les percées de Daech contre l'armée irakienne lui ont permis « de mettre la main sur des équipements lourds et modernes. Il bénéficie de ressources financières substantielles, en stock et en flux, grâce à l'exploitation des puits de pétrole, des postes frontaliers ou des barrages sur lesquels il a mis la main », a rappelé Guy Tessier.

« La lutte sera longue »

Pour le Cemat, « la problématique n'est pas seulement militaire, elle porte également sur les flux financiers qui viennent alimenter de véritables mercenaires appointés ». Sur le plan financier Daech a effectivement récupéré à Mossoul 450 millions de dollars dans les banques. En outre, les ressources de Daech proviennent également du pétrole que le mouvement vend à des prix défiant toute concurrence.

« La lutte sera longue et il faudra gérer au mieux la pression du temps court, dans nos sociétés actuelles qui exigeront des résultats rapides », a estimé le Général Pierre de Villiers. Dans ce contexte, la France a, selon le chef d'état-major des armées, « besoin d'une vision stratégique militaire qui intègre les objectifs militaires, mais aussi politiques, diplomatiques et psychologiques. Pour réussir, notre plan de campagne devra donc être global ».

Préoccupations avec le retour des combattants européens

Selon le général Jean-Pierre Bosser, « plus de 1.000 combattants européens enrôlés dans ses rangs sont revenus dans l'espace Schengen ». Une menace pour la France et les pays européens. Car « l’adversaire n'est plus seulement aux portes de l'Europe, il en a franchi le seuil », a souligné le chef d'état-major de l'armée de terre. Il est donc persuadé « de la nécessité d'intégrer encore plus dans notre réflexion le retour de l'armée de terre sur son milieu naturel, celui du sol national, pour pourvoir y faire face, avec les forces de sécurité, à tous types de menaces dont celles que ces vingt dernières années avaient confinées à l'extérieur ».

Cette problématique est là  « pour rappeler le lien très fort, le continuum, qui existe entre sécurité extérieure et sécurité intérieure. Ces combattants étrangers sont un vrai défi pour notre sécurité, celles des Français et plus généralement celle des Européens », a de son côté expliqué le général Pierre de Villiers. Et selon le chef d'état-major de l'armée de terre,  « il ne faut d'ailleurs pas exclure que cette menace agisse en utilisant des modes d'actions de nature militaire, et se concrétise par des actions armées contre des militaires. Ne perdons pas de vue qu'il s'agissait d'un des objectifs poursuivis par Mohammed Merah. Outre-Atlantique, des attaques isolées ont déjà été perpétrées. Nous avons hélas vécu à deux reprises en France et une fois en Belgique des attaques assez similaires ».

L’armée de terre présente en France

L'armée de Terre peut-elle être en première ligne face à Daech sur le sol national ? Le général Bosser en est convaincu : « il me semble raisonnable de considérer que la nature des opérations et l'envergure des défis sécuritaires inscrivent l'action militaire, hors et désormais à l'intérieur de nos frontières, durablement. Ils confortent ainsi le contrat opérationnel de l'armée de terre qui est réaliste et structurant ».

La situation au Levant met l'accent sur l'indispensable nécessité d'une capacité autonome d'appréciation de situation tactique et stratégique, a affirmé le général Pierre de Villiers. « C'est la vocation de nos capteurs de renseignement, de nos satellites, mais aussi des efforts consentis pour améliorer nos capacités Cyber. Ce constat conforte la priorité mise sur le renseignement dans la loi de programmation militaire ». Auteur : Michel CABIROL

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 08:20

Bd Voltaire

 

 

C’est une histoire peu commune : celle d’un musée que le président issu de la majorité qui l’avait décidé a refusé d’inaugurer et qui l’est, aujourd’hui, par son successeur, sept ans après son ouverture !

Soucieux de récupérer des voix auprès d’une gauche qui se débine de jour en jour, François Hollande est donc allé lundi inaugurer la Cité nationale de l’histoire de l’immigration. Sur le papier, une « institution culturelle, pédagogique et citoyenne destinée à reconnaître et mettre en valeur la place des immigrés dans la construction de la France ». Dans les faits, un machin informe qui n’a jamais trouvé ni sa destination ni son public, sauf celui des élèves de banlieue qu’on y traîne de force et en rangs par deux.

Car à quoi se résume l’histoire de l’immigration dans cette Cité qui lui est prétendument consacrée ? À des clichés éculés. À un bric-à-brac chiné aux puces du tiers monde, sorte de dépotoir dont on ne voudrait pas dans un vide-greniers de quartier. En quoi, en effet, une théière marocaine voisinant dans une vitrine avec une valise en carton font-ils un musée ? En quoi un couscoussier pendu à un fil à côté d’une statue nègre et d’un masque chinois en papier mâché parlent-ils aux immigrés de leur histoire et de leur culture ? Pas plus que ces vidéos de pauvres gens débarquant valise à la main, ces photos de “Pigeots” chargées jusqu’au ciel de matelas et de gazinières, ou les affiches d’Aznavour et d’Enrico Macias…

C’est que, semblable à l’élection de François Hollande, la Cité de l’immigration a été un pis aller. De ce magnifique « palais des Colonies », monument art déco d’Albert Laprade construit pour l’exposition universelle de 1931, d’aucuns avaient rêvé de faire un lieu qui retracerait l’histoire des relations de la France et de l’Europe avec le monde. Insupportable vision qui pouvait laisser entendre que la colonisation n’avait pas été « que » négative… Politiquement irrecevable, cette proposition n’a pas été retenue, Jack Lang rêvant même que l’on détruise ce témoin d’un passé honni. Résultat : un fiasco. En fréquentation, la Cité n’est qu’à la 31e position des sites culturels parisiens. Bien moins visitée pour ses « collections » que pour l’aquarium qui occupe le sous-sol du bâtiment depuis 1934…

La Cité de l’immigration n’est que le dépotoir de nos vieilles repentances, un alibi pour la classe politique, le « “cache-sexe” de la bonne conscience de la droite et de la gauche françaises », comme l’écrit Jeune Afrique. C’est la raison pour laquelle, après avoir nommé cet été l’historien Benjamin Stora à sa tête, François Hollande s’est décidé à l’inaugurer. Pour faire « un geste de gauche ». Pour parler, surtout, de ce sujet qu’en deux ans et demi de mandat il s’est bien gardé d’aborder : l’immigration. Un sujet chaud-bouillant. Mais ça urge, et dans le schéma qui se profile pour les prochains scrutins, il va falloir que le Président mouille la chemise.

Pourtant, rien de nouveau dans le discours, comme si le monde de 2015 était semblable à celui des années 80. Toujours les mêmes loups-garous : « la boue de l’antisémitisme » de l’affaire Dreyfus, le racisme, la collaboration… Le danger qui guette la France est la « récurrence », le « retour » de ces « violences » et de ces « intolérances ». « Il faut rappeler aux Français d’où ils viennent, sur quelles valeurs leur pays s’est bâti et où nous voulons aller ensemble. La France ne conçoit son destin que par l’ouverture », dit Hollande. Sans doute ne sait-il pas, le Président, que le visage de ces maux en « isme » a changé. Que le brassage des populations a importé sur notre sol des conflits du bout du monde et qu’il est des guerres ethniques qui se poursuivent à Marseille comme à Sarcelles. Qu’on ne saurait confondre Léon Bloy et les saucissonneurs de Créteil.

Hollande voudrait bien, pour se refaire une santé dans les urnes, offrir le droit de vote aux étrangers. Il le leur a promis. Mitterrand aussi, en 1981. Puis en 1988. Chirac aussi, et même Sarkozy en 2005 avant de se renier en 2012. On sait ce que valent les promesses… Celle-là n’est qu’une variable d’ajustement électoral parmi d’autres.

Il a la trouille, François Hollande, car les sondages le révèlent : les immigrés « intégrés » se tournent aujourd’hui vers Marine Le Pen !

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 08:10

Bd Voltaire

Gabrielle Cluzel

 

Sur Twitter, la journaliste Sophie de Ravinel s’indignait : lundi, en Australie, toutes les chaînes d’info étaient en permanence sur la prise d’otage, mais pas le lendemain à Peshawar avec les 130 morts.  

Deux morts australiens vaudraient-ils plus que 130 morts pakistanais ?

Inutile de le nier. La vieille Europe — et notamment la France — s’apitoie sur le sort des enfants pakistanais, mais de façon détachée, comme s’il était entendu, n’est-ce pas, que ces régions-là avaient toujours été à feu et à sang. On pouvait pleurer, mais pas s’étonner. Quand elles ont observé avec fascination et horreur la prise d’otage de Sydney parce que celle-ci, pour s’être déroulée à l’autre bout du monde, était aussi la leur.

Les deux otages, pimpantes comme deux Occidentales partant travailler, qu’un photographe a prises au télé-objectif, accrochant maladroitement sur la vitrine du café un drapeau noir avec la chahada (« Il n’y a de Dieu qu’Allah et Mahomet est son prophète ») juste au-dessus de l’inscription « Merry Christmas » (tout un symbole…), étaient australiennes, elles auraient pu être françaises. Le jeune gérant du café, l’avocate mère de trois enfants qui y ont laissé la vie, aussi.

L’affaire Man Haron Monis, comme l’affaire Merah, est un bâton de dynamite, une déflagration de plus qui ébranle, sans – encore – le faire tomber, le bel édifice « occidental way of life », où l’on s’était persuadé que la guerre avait été éradiquée aussi sûrement que le virus de la variole, et que le bonheur ne s’y mesurait plus qu’au chiffre du PIB, à la libéralité des mœurs, et au degré de précaution en matière sanitaire. La guerre existe de par le monde, bien sûr. Mais chez les autres. Que l’on accueille d’ailleurs bien volontiers. Avec l’orgueil fou de penser que, sitôt passé le seuil doux et ouaté de l’Occident, la magie opérera, qu’ils s’y sentiront si bien qu’ils laisseront sur le paillasson, comme de vieux godillots crottés, leur paradigme, leur référentiel et leurs idées belliqueuses.

Man Haron Monis était un réfugié iranien. En Australie depuis 1996. Accusé d’une cinquantaine d’agressions sexuelles, il était aussi soupçonné d’avoir poignardé sa femme. Il avait aussi été condamné à 300 heures de travaux d’intérêt collectif pour lettres d’insultes et menaces à des familles de soldats australiens tués en Afghanistan. Mais il avait toujours le statut de « réfugié ». Et n’était pas en prison mais en liberté surveillée. Pourquoi ?

De Paris à Sydney, l’Occident est une autruche, et une autruche incrédule. Sur i>Télé, le « spécialiste du terrorisme » Mathieu Guidère, commentant en direct la prise d’otage, ne « [croyait] pas à la piste islamiste ». Selon lui, il devait s’agir d’un individu « souhaitant mettre cet acte sur le dos des musulmans » puisque l’islamophobie est « très forte » en Australie.

Le premier réflexe est donc la dénégation. Vient ensuite la minimisation.

Comme en France dans semblable cas, les autorités australiennes parlent « d’un déséquilibré mental » et d’un « loup isolé ». Bref, un dingue solitaire, pas un réseau terroriste. Ça rassure, hein ? Comme si un islamiste preneur d’otages pouvait être parfois un homme équilibré et pondéré. comme si ces loups isolés ne finissaient pas, à eux tous, par constituer une meute.

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 00:07
                    ANNE CAZAL
>           JOURNALISTE-ECRIVAIN
> BOITE POSTALE 28 – 31620 FRONTON
>        Email : anne.cazal@orange.fr
                                                                                              
>
>
>                                                                                                                       Monsieur François HOLLANDE
>                                                                                                                       Président de la République
>                                                                                                                       Palais de l’Elysée
>                                                                                                                       55 rue du Faubourg Saint Honoré
>                                                                                                                       75008 PARIS
>                              
> LETTRE OUVERTE
>  
> Monsieur le Président de la République,
« La France n’a plus aucun otage . » avez-vous affirmé, la main sur le cœur, lors de l’accueil réservé à Serge LAZAREVIC …
>
> Vous avez poursuivi ainsi : "La France ne compte plus d'otage et elle ne doit plus compter d'otages. Ce qui suppose une grande vigilance, une grande protection de nos intérêts. Et je fais ici appel à toutes les entreprises et les administrations pour éviter ces drames. Que les Français prennent bien conscience que ces questions d'otages sont extrêmement douloureuses…
>
> Oh ! Qu’en termes  sommaires ces choses- là sont dites, Monsieur le Président de la République Française ! Plus aucun otage français… En êtes-vous certain ?
>
> « La France n’a plus d’otage. ». Auriez-vous totalement effacé de votre mémoire la déclaration du Président de la République algérienne en 1971, lequel déclarait : « A Paris on semble ignorer que nous détenons un très grand nombre d’otages français. Quand il le faudra nous en communiquerons la liste à toute la presse et cela provoquera une émotion considérable en France. Alors, pour obtenir la libération de ces otages, il faudra y mettre le prix. » ?
>
> Lorsque vous avez déclaré, aussi légèrement : « La France n’a plus aucun otage », étiez-vous soudain frappé d’amnésie, ou aviez-vous décidé de gommer de l’Histoire de France les 537 jeunes appelés, dits « prisonniers du FLN » et qui n’ont jamais été rendus au premier président-fondateur de la cinquième République, sans que celui-ci ne bronche ?
>
> « La France n’a plus d’otage. » Ne vous est-il jamais venu à l’idée que quelques-uns de ces malheureux jeunes Français, qui avaient 20 ans à l’époque de la capitulation gaulliste, puissent encore survivre, esclaves dans quelques bouges, réduits à l’état de bêtes de somme, condamnés à tourner sans fin quelque noria dans le sud algérien ?...
>
> « La France n’a plus d’otage. » Et ceux que la France gaulliste a si légèrement  nommés « les disparus », dont vos Archives falsifiées ont réduit le nombre à 3018, mais qui furent éminemment plus nombreux, et ces Harkis, soldats français tous otages de cet ennemi vaincu, devant lequel la France a capitulé, qui furent décimés par centaines de milliers ?
>
> Et ces jeunes filles, à peine nubiles, arrachées aux bras de leurs parents sur le quai des ports d’Oran ou d’Alger, pour assurer le repos des guerriers, sont-elles toutes mortes en esclavage ? N’en reste-il pas une seule de vivante « puisque la France n’a plus d’otage » ?…
>
> Non, Monsieur le Président de la République Française, nous ne sommes pas « à un moment important », nous nous noyons en pleine amnésie !
>
>                                                                                                                                               Anne CAZAL
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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 08:17

Bd Voltaire

 

Il y a quelques années, Coluche faisait rire en déclarant que  » si voter changeait quelque chose, il y a bien longtemps que ce serait interdit ». Ce trait d’humour est devenu, peu à peu, une certitude pour bon nombre de Français qui ne se déplacent même plus pour aller voter, à cause de décennies entières de mensonges politiciens.

Les autres ont récemment poussé sur le devant de la scène le parti de Marine Le Pen. Le Front national est devenu le repère (contesté ou plébiscité) du jeu politique, la question identitaire étant sans conteste la motivation majeure de ses électeurs…

Il ne s’agit pas de « racisme » ou d’« intolérance », mais d’une volonté de préserver ses racines, la récente polémique franco-française des crèches le prouve : les Français se déclarent majoritairement pour leur maintien ou leur installation dans les lieux publics alors que les catholiques les plus fervents n’auraient même pas eu l’idée de s’offusquer de leur absence il y a encore quelques années…

Alors, qu’ils soient persuadés ou non de l’utilité du vote, la majorité des Français refusent désormais le droit de vote des étrangers, pourtant promis par le candidat Hollande.

En seulement trois ans, les chiffres se sont inversés.

Selon le sondage Odoxa mené pour l’émission d’i>Télé « CQFD » et Le Parisien-Aujourd’hui en France, 60 % des Français sont désormais opposés à l’extension du droit de vote aux élections municipales aux étrangers non membres de l’Union européenne, alors qu’ils étaient 61 % à y être favorables en novembre 2011.

Le processus de destruction de la France est engagé depuis longtemps, la gauche a la bêtise (salvatrice ?) de le faire ouvertement et la volonté d’accélérer les choses par sa xénolâtrie peu discrète.

Le sondage est sans appel : 72 % des Français jugent que « l’intégration des étrangers dans la société française » fonctionne mal. Leur présence menace donc, pour eux, notre identité. Leur participation aux élections précipiterait donc naturellement sa disparition.

Car le problème majeur réside dans le nombre : si les étrangers, majoritaires dans certains quartiers, arrondissements ou même villes (avec les « Français » de papiers qui sont d’abord des membres de leurs communautés étrangères), ont le droit de vote, ce sont ces quartiers, ces arrondissements ou ces villes qui tomberont entre des mains étrangères, au moins dans leurs revendications.
Parler de « vivre ensemble » n’y changera rien, on ne constitue pas un peuple avec des gens qui n’ont rien en commun. L’argument fallacieux selon lequel ces étrangers devraient pouvoir voter parce qu’ils payent des impôts ne fonctionne plus : leurs taxes ont largement leur contrepartie dans les diverses prestations dont ils bénéficient en France : école, sécurité, santé, justice…

La gauche ne lâchera pas. À l’heure où Jean-Christophe Cambadélis annonce que le Parti socialiste pourrait baisser le prix de ses cotisations pour retrouver des adhérents, les conclusions de la fondation Terra Nova, publiées en juin 2012, reviennent à l’esprit : « La France de la diversité est presque intégralement à gauche. L’auto-positionnement des individus révèle un alignement des Français d’origine immigrée à gauche – de l’ordre de 80-20. On retrouve des scores de cette ampleur dans les bureaux de vote des quartiers populaires. »

La gauche veut remplacer l’électorat qu’elle a perdu à force de mensonges… Mauvaise nouvelle pour elle : les Français tiennent encore à leur pays !

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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 07:52

Allons nous attendre sans bouger !


Le régime de retraite complémentaire des cadres, l'Agirc, en possible cessation de paiement d'ici fin 2017, c'est-à-dire demain. Celui des non-cadres, l'Arcco, lui aussi menacé à brève échéance... Voilà deux des constats chocs que la Cour des comptes s'apprête à dresser, jeudi, dans un rapport public thématique, qu'elle a pour la première fois décidé de consacrer à l'avenir des retraites complémentaires des salariés du privé*.

Les enjeux sont colossaux.

Après dix années de bonne santé financière, les déficits s'accumulent tant depuis 2009 qu'à court terme, quel que soit le scénario retenu, « l'épuisement des réserves à échéance rapprochée » semble inéluctable. Pour les 18 millions de salariés concernés (Arcco) et, surtout, 4 millions de cadres, cette prédiction est d'autant plus inquiétante que la part complémentaire de leur pension avoisine souvent 30 %, 50 %, voire davantage de leur retraite globale... Non seulement, estime la Cour dans ce rapport confidentiel que « le Parisien » - « Aujourd'hui en France » s'est procuré, il faut prendre des mesures d'urgence (notamment en demandant un nouvel effort aux cadres et en réformant la gestion des caisses), mais cela n'y suffira pas. Les magistrats de la rue Cambon font aussi allègrement sauter le verrou symbolique d'un nouveau recul de l'âge du départ à la retraite. C'est écrit noir sur blanc : la Cour envisage comme solution un recul de l'âge moyen de départ à la retraite de deux années, obtenu -- comme cela est précisé en note de bas -- « par un recul d'autant des âges légaux de départ à la retraite ». Autrement dit, celui-ci étant fixé actuellement à 62 ans, il faudrait alors travailler jusqu'à 64 ans pour pouvoir déclencher sa retraite complémentaire.


 Une piste de réflexion qui réjouira le Medef, mais irritera fortement les syndicats. D'autant plus que ceux-ci (pas naïfs !) pourraient y voir un  cheval de Troie annonciateur d'une pareille tentative de réforme concernant le régime de base...

Un nouveau directeur à la tête de l'Agirc-Arrco


Ces dernières semaines, patronat et syndicats ont entamé de nouvelles discussions paritaires, en vue de parvenir à un accord sur l'Agirc-Arrco avant juin 2015. Quand on voit les piétinements actuels sur un autre chantier, celui du dialogue social, d'aucuns s'interrogent sur la capacité des partenaires sociaux à mener -- vite -- une négociation aussi essentielle. Jeudi, le conseil d'administration de l'Agirc-Arrco a en tout cas nommé un nouveau directeur, François-Xavier Selleret, qui sera à pied d'oeuvre fin janvier.

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RESISTANCE !

Capture-d-ecran--316-.png 

J'ai plus envie de me croire à Kaboul dans ma ville,

J'ai plus envie de l'incivisme, plus envie de la médiocrité comme religion, plus envie du manque d'ambition comme profession de foi.

J'ai plus envie de relativiser. >>>>