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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 08:49

Bd Voltaire

 

Le programme pour la France de Léonora Miano, lauréate camerounaise du prix Femina, se veut limpide. Le temps est venu de payer la facture et de laisser la place aux anciens colonisés comme un juste retour de balancier. Du reste, si les Africains sont malheureux, c’est toujours de notre faute. La preuve ? Ils nous haïssent au point de s’empresser de débarquer chez nous.

Tout va bien, n’ayez pas peur de la mutation, vous ne mourrez pas de la disparition du monde connu, dit la donzelle dont la candeur n’a d’équivalent que la machination de ceux moins francs qui mettent en œuvre l’agenda de la rétro-colonisation.

Jusqu’à quel point peut-on accepter d’être minoritaire en France ? .....

L’islam est la première religion de France par le nombre de pratiquants. Les 15 % de musulmans forment l’avant-garde d’une Reconquista qui ne dit pas son nom, dans les esprits autant que dans les salles de prière, voulue et entretenue par des élites acceptantes et repentantes. Angélisme exterminateur ou félonie, la France est le maillon faible occidental de l’entreprise d’africanisation et de reconquête musulmane.

Qui pourra croire qu’il n’y a pas une cohérence entre les prises d’otages crapuleuses de Français et la déstabilisation visant à former un Sahelistan sous l’égide d’Al-Qaïda et de l’AQMI, entre le climat insurrectionnel des banlieues et la réislamisation des populations d’origine africaine, entre les nocences des petites brutes et des caïds et la djihad en faveur du voile et de la burka, entre la campagne de victimisation islamophobe et la frappe financière déployée par le Qatar, jusqu’au soutien par les pétromonarchies des salafistes et des Frères musulmans ?

Les offensives au Mali, au Tchad, en Centrafrique, au Niger se font dans la zone d’influence française, suite à l’implosion tribale de la Libye provoquée par Sarkozy et son ange noir Lévy, suivi du retour de la charia. Hollande en chef de guerre nous fait songer au Guy Mollet égaré entre tiers-mondisme et jusqu’au-boutisme.

L’avancée du mahométisme en Côte d’Ivoire, au Sénégal, au Nigeria, au Soudan montre la puissance irrésistible de cette poussée. Les États-Unis et nos voisins européens sont imprudents de faire confiance à la France pour l’endiguer. La menace est telle que l’Angola, jaloux de ses succès à l’autre bout du continent, interdit l’islam et qu’Erdoğan va prêcher le multiculturalisme auprès des Turcs d’Allemagne et des Balkans.

Les trois questions que les médias ne poseront pas : peut-on assimiler un islam par essence sectaire et dominateur, si différent des traditions européennes ? Peut-il s’accepter en religion minoritaire alors qu’il n’en a jamais été ainsi ailleurs ? Sachant qu’une société implose à un seuil de 30 % de culture minoritaire et que nos sensibles représentent déjà un quart de la jeunesse française (60 % en Île-de-France) ?

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 08:32

 

Bd Voltaire

François Hollande a encore commis une de ces gaffes dont lui seul a le secret. Après la cérémonie d’hommage à Nelson Mandela, le président de la République s’est tourné vers Nicolas Sarkozy pour lui demander, l’air ahuri, « Il est où, l’avion ? » pendant que son épouse prenait congé sans le moindre geste de politesse.

Encore une de ces perles présidentielles qui ne se comptent plus et provoquent chez le peuple un rire navré ; on rit, on rit, puis on se souvient que cet homme est notre Président, et on ravale son rire avec embarras.

Non, François Hollande n’a pas vu l’immense Falcon dressé devant lui. Tout comme il n’a pas vu que la croissance ne naissait pas dans les roses et l’emploi dans les choux, que la pression fiscale avait conduit 90 % des patrons de PME à limiter leurs embauches à une époque où l’on se débat avec un chômage colossal, que les délocalisations s’enchaînent et que les dépôts de bilan ont connu un pic de 7,5 % cet été. Il n’a pas vu le million de personnes qui manifestaient dans la rue l’an dernier, les 141.500 personnes qui n’ont plus de toit pendant que leurs élus croulent sous les indemnités et les primes, l’épidémie de rentiers dénoncée par Thomas Piketty 1, qui nous renvoie à l’époque de Germinal et de l’héritage plus fort que le travail. Il n’a visiblement pas vu non plus que la finance se riait de ses avertissements assénés avec une fermeté chancelante, qu’Angela Merkel n’allait pas lui donner les clés de l’Europe parce qu’il l’avait demandé poliment et que l’on n’empêchait pas un bateau de couler en improvisant un musette sur le pont pendant le naufrage.

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 08:08

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Bd Voltaire

 

On disait qu’en France, on faisait une pause fiscale. Une pause de 5 minutes, alors. Il aurait été dommage que le Français se refroidisse et perde le rythme. Allez, hop, on repart en petite foulée. Une nouvelle taxe locale, dite « taxe inondation », est examinée cette semaine à l’Assemblée nationale. Elle vise à financer l’entretien des cours d’eau afin de prévenir les inondations. En relevant la taxe d’habitation, la taxe foncière et la contribution foncière des entreprises, les municipalités pourraient ainsi récolter peu ou prou 40 euros par habitant.

Car, nous sommes tous d’accord, entretenir les cours d’eau, c’est important. Aussi important qu’entretenir les routes, les ponts, les hôpitaux et les écoles. Peut-être pourrait-on créer une taxe « prévention des nids-de-poule et des éboulements », un impôt « prévention de l’obsolescence des équipements hospitaliers », une contribution « prévention du délabrement des infrastructures scolaires » ? Sauf que nous, bêtas que nous étions, nous pensions naïvement que nos impôts actuels, ceux sous lesquels nous croulons, qui nous assassinent, pour lesquels nous serrons notre ceinture au dernier cran et revoyons à la baisse le budget cadeaux de Noël de nos petits… servaient déjà à ça.

Ben non, alors ! Quelle drôle d’idée. Il faut bien que les gens vivent, madame. Comment financerait-on, sinon, je vous le demande, les innombrables associations subventionnées, les expositions d’art contemporain flattant un maire qui ne voudrait pas qu’on le prenne pour un bouseux inculte, et les gabegies en tout genre ?

Alors pour les déluges, passe à l’aile au contribuable. Et tant pis si le maire ne lui a pas demandé son avis pour signer, pour quelques raisons obscures et pas forcément toutes honnêtes, un permis de construire dans une zone inondable.

Imaginer des petites taxes pré-affectées est drôlement plus ingénieux que d’augmenter les gros impôts généraux. D’abord parce qu’elles fractionnent le racket, le rendant, par illusion d’optique, moins voyant. Ensuite parce qu’elles paralysent la protestation, bande de salauds que vous êtes ! Le sort de ceux que l’on voit, à la télé, échoués en chemise de nuit sur leur toit en attendant les pompiers vous importerait peu ? Viendront ensuite la taxe « prévention incendie » (vous laisseriez choir, vous, la petite vieille qui ne veut pas quitter son chez-elle quand les flammes en lèchent déjà les murs ?) et la taxe « prévention neige » (si vous aviez déjà passé une nuit coincé dans votre bagnole sur l’autoroute au mois de décembre, vous ne lèveriez pas les yeux au ciel).

Rien que des taxes très nobles. Comme de petites graines que l’on planterait avec une jolie étiquette. Au bout de quelques années, l’étiquette a été égarée, mais la petite graine a poussé comme du chiendent. Les quarante euros sont devenus quatre cents, et ne sont pas plus consacrés aux cours d’eau que la vignette auto ne l’a été aux personnes âgées.

Hélas, il n’est pas besoin actuellement d’habiter au bord d’une rivière en crue pour avoir l’impression de boire la tasse. On ne compte plus les Français qui ont la tête sous l’eau. Et, voyez-vous, ceux-ci aimeraient bien, parfois, que l’on songe à mutualiser les dépenses budgétaires : le sénateur PS Pierre-Yves Collombat, à l’origine de cette brillante idée, craint de se mouiller les pieds ? Si on le faisait grimper tout en haut d’un portique écotaxe, histoire que l’investissement n’ait pas été tout à fait inutile ?

       

               
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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 21:37

Saint Michel – Paris le 19 octobre 2013

 

Voici le temps de l’homélie… Je vous rappelle et vous redis comme l’an dernier que l’homélie n’est pas parole d’évangile, parole du Seigneur… Mais plus simplement les mots de quelqu’un qui essaye d’être disciple de jésus et qui a prié, médité, travaillé pour vous donner ces quelques lignes. J’ai écouté attentivement le 14 juillet de cette année l’homélie du Père Luc Ravel, évêque des armées ; il reprenait l’interpellation de Jean- Paul II il y a trente ans : « France qu’as-tu fait de ton baptême ? » Puis il a développé avec rigueur et lucidité ce que l’on entend par le mot NATION.

Il me semble, et en continuité avec notre évêque, que l’on peut dire aujourd’hui que la Patrie, notre terre Patrie, la France, est en danger. Dans mes diverses rencontres et déplacements j’aborde parfois la question de notre Patrie ; je perçois alors un certain sourire de la part de mes interlocuteurs et qui en dit long quant à leur perception… Une façon de me dire que je suis en retard d’un métro. Aujourd’hui, pensent-ils nous sommes dans l’ère de la mondialisation, de la globalisation et de la marchandisation universelle…Tout se vend, tout s’achète… même la parole, même l’honneur !

Oui, la Patrie est en danger ! Alors j’ai relu quelques articles de Georges Izard publiés en 1932 dans la revue « Esprit »… J’ai retenu cette phrase : « La Patrie est la plus haute valeur de l’ordre temporel – valeur incarnée, réalité à la fois charnelle et spirituelle- C’est, écrivait Péguy, cette quantité de terre où l’on peut parler une langue, où peuvent régner des mœurs, un esprit, une âme, un culte – c’est une portion de terre où l’âme peut respirer. »

Alors je m’interroge. Quand j’acquiers une nationalité par un choix libre de ma part, j’emporte dans mes valises tout un mode de vie conforme à ma nation d’origine : nourriture, vêtement, habitat, religion, coutumes en quelque sorte tout un art de vivre au quotidien ; en un sens tout ce que j’emporte est licite, naturel… Mais je dirais à une seule condition, je dis bien une seule condition : c’est leur conformité plénière avec l’esprit et les lois du pays qui m’accueille, avec son histoire, sa culture ! Qui peut ignorer la France, sa civilisation chrétienne, ses cathédrales, ses nombreux monastères, ses milliers de clochers, ses calvaires aux croisées des chemins, ses coteaux prestigieux baignés de soleil : Saint Estèphe, Saint Emilion, Saint Joseph, Saint Amour, Saint Julien… Tous ses villages portant fièrement le nom d’un Saint Patron vénéré de génération en génération, son calendrier marqué par ses fêtes religieuses chrétiennes !

Oui, je pense que rien ne peut justifier la moindre dérogation ou remise en cause à ce qui pour nous français est le fondement de notre « vivre ensemble » à savoir notre longue histoire et la « déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen » revisitée par le conseil de la résistance et proclamée en 1948, reconnue aujourd’hui par 144 pays ; merci à René Cassin, Jacques Maritain et autres collaborateurs.

Aucune théocratie, aucune constitution du pays d’origine ne peut s’immiscer dans cette construction si chèrement acquise dans notre longue histoire. Notre Patrie se fonde sur l’honneur et le respect de l’esprit des lois si durement acquis et défendus au cours des siècles. Nos armées d’hier et d’aujourd’hui en connaissent et la valeur et le prix !

Malheureusement les gouvernements qui se succèdent démontrent parfois leur incompétence à gérer ces nouveaux défis portés par des communautarismes religieux incompatibles avec notre Patrie la France !

Aujourd’hui, dans notre grande fraternité parachutiste il me semble que nous nous devons d’être des veilleurs, des sentinelles aux frontières de notre Patrie, être comme on dit « des lanceurs d’alerte » surtout quand les fondements de notre « vivre ensemble » sont remis en cause par toute une mouvance musulmane aux nombreuses facettes, financée par quelques dictatures religieuses bien connues, qui malheureusement tentent de se manifester comme majoritaires et s’infiltrent dans les fissures de notre Patrie ! Merci à Jacques Ellul, Claude Lévi-Strauss, Castoriadis, Claude Sicard, le Père Henri Boulad… Leurs écrits nous mettent en garde contre l’Islamisme qui s’incruste dans notre quotidien national.

La Patrie n’est pas à vendre… Mais pour combien de temps ?

« Quand Jésus s’approcha de Jérusalem et qu’il l’aperçut il pleura sur elle… »

Puissent les prochaines générations de n’avoir pas à pleurer sur les murs de nos cathédrales transformées en mosquées !

 

Sources :

  • Claude Lévi-Strauss – « Triste tropique » pages 475 – 490.

  • Jacques Ellul- juriste, historien, théologien, sociologue – « Non à l’intronisation de l’Islam en France » article paru en 1989 dans la revue « Réforme ».

  • Père Luc Ravel – Evêque des armées – Homélie du 14 juillet 2013.

  • Georges Izard – « la Patrie et la mort »- octobre, novembre, décembre 1932. janvier, février 1933.

  • Père Henri Boulad – Directeur du Centre Culturel Jésuite d’Alexandrie.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Nos trois couleurs http://fr.wikipedia.org/wiki/Drapeau_de_la_France

     

    File:Flag of France.svg Le drapeau de la France, drapeau tricolore bleu, blanc, rouge, également appelé «  drapeau ou pavillon tricolore », est l’emblème national de la République française. Il est mentionné dans l’article 2 de la Constitution française de 1958. Ce drapeau de proportions « 2:3 » est composé de trois bandes verticales de largeur égale.

    Il date de 1794 — dessiné par Jacques Louis David (1748-1825) à la demande de la Convention — mais ses origines sont plus anciennes et remontent aux trois couleurs de la liberté (14 juillet 1789), identiques aux trois couleurs utilisées par les différents pavillons français d'Ancien Régime. Le drapeau tricolore est le pavillon officiel de la France depuis 1794, et le drapeau officiel des armées depuis 1812, à l’exception des périodes de Restauration 1814-1815 et 1815-1830.

     

    Naissance du drapeau – Association des trois couleurs

    De nombreux manuscrits comportent des miniatures avec un encadrement tricolore, caractéristique des productions de l'Île-de-France du XIVe siècle. Les trois couleurs associées sont par ailleurs les couleurs du roi de France depuis le Moyen Âge.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 21:13

   LeParisien    

Publié le 11.12.2013, 07h13 | Mise à jour : 08h26                                   

 

 

                                
46% des Français préféreraient Sarkozy comme président,
27% Hollande

Les Français préféreraient avoir Nicolas Sarkozy (46%) plutôt que François Hollande (27%) à l'Elysée selon un sondage Ifop pour le Figaro Magazine publié mercredi. | Eric Feferberg
                

 

 

 

                     A la question «des deux personnalités suivantes, laquelle préféreriez-vous comme de la République ?»,
46% des sondés répondent Nicolas Sarkozy,
tandis que 27% ne se prononcent pas.

Dans le détail, 59% des électeurs de François Hollande au second tour de la présidentielle 2012 maintiennent leur choix, 11% choisissent Nicolas Sarkozy tandis que 30% ne se prononcent pas.

Parmi les électeurs de Nicolas Sarkozy au second tour de la présidentielle 2012, 92% des sondés maintiennent leur choix.



UMP : Sarkozy préféré en 2017

Autre enseignement de l'étude, 27% des sondés préfèrent que Nicolas Sarkozy soit candidat de l'UMP à la présidentielle 2017, contre 17% pour Alain Juppé et 10% pour François Fillon. 8% choisissent «une autre personnalité» tandis que 38% n'en choisissent aucune, selon ce sondage.

Parmi les sympathisants de l'UMP, 71% choisiraient Nicolas Sarkozy, 15% Alain Juppé, 7% François Fillon, 3% une autre personnalité et 4% aucune de ces personnalités.


 

Le sondage a été réalisé du 4 au 6 décembre 2013 auprès d'"un échantillon de 1.018 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus", selon la méthode des quotas.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 19:03


           Si vous voulez croire que "tout va bien dans l'école" ou que vous croyez encore au Père Noël,

ne regardez pas cette vidéo qui circule sur Internet : ne cliquez pas sur ce lien !

Si vous l'avez vue, transmettez le lien à ceux qui retroussent leurs manches.

Et après, passez de bonnes fêtes de fin d'année !


Antoine Blondel
Responsable des relations Parents-Professeurs
SOS Éducation

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 17:55

Chacun appréciera ...


 

 

 

http://www.wat.tv/video/obama-son-selfie-qui-ne-passe-6k1sv_2exyh_.html

 

 

 

Edité par F.A. le 11 décembre 2013 à 17h10 , mis à jour le 11 décembre 2013 à 17h19.

L'auto-portrait réalisé par le président américain avec David Cameron et la Première ministre danoise lors de la cérémonie d'hommage à Nelson Mandela est perçu par beaucoup comme un manque de respect. Mardi, les réseaux sociaux ont tout d'abord ironisé sur la réaction, supposée jalouse, de Michelle Obama alors que son mari se prenait en photo avec Helle Thorning-Schmidt, la Première ministre danoise, ainsi qu'avec David Cameron, pendant la cérémonie d'hommage à Nelson Mandela. Ce mercredi, ce "selfie" est devenue une affaire politique au Royaume-Uni, au Danemark et aux Etats-Unis. Les trois dirigeants sont en effet très critiqués pour ce que beaucoup considèrent comme un manque de respect pour la mémoire de l'ancien président sud-africain. "Evénement festif" Afin de désamorcer la polémique, David Cameron a été contraint de s'expliquer devant les députés. "N'oubliez pas que les caméras de télévision sont toujours braquées sur nous. Pour ma défense, je dirais que Nelson Mandela a joué un rôle extraordinaire de son vivant comme après sa mort pour réunir les gens", a-t-il expliqué. Il a ajouté qu'il avait simplement jugé "poli" de répondre à l'invitation de Helle Thorning-Schmidt à se joindre à la photo dans la mesure où son mari est le fils de l'ancien chef du parti travailliste britannique Neil Kinnock. Egalement interrogée sur l'affaire, Helle Thorning-Schmidt a souligné que cette cérémonie, malgré la "tristesse", était avant tout un "événement festif". "Elle s'est déroulée dans un grand stade, les gens chantaient et dansaient dans les tribunes. L'atmosphère était très positive et nous avons simplement voulu prendre un selfie drôle", s'est-elle défendue. "Ce n'était en rien inapproprié. Cela montre aussi que nous, chefs d'Etat, sommes juste des êtres humains qui pouvont prendre du bon temps", a-t-elle conclu. Avant de préciser qu'elle ne publierait pas cet auto-portrait, pris avec son appareil. La Maison-Blanche pourrait quant à elle s'exprimer sur le sujet mercredi soir au nom de Barack Obama.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 07:54

avis-arret-de-travail
Le 10 décembre 2013
Pourquoi faire machine arrière alors que la loi était votée, l’impopularité de la chose endossée par un autre gouvernement, la pilule avalée ?
       
         

C’est le site Internet des Échos qui vient de le révéler : en 2012, l’absentéisme a diminué de 43,2 % dans les collectivités territoriales et de 40,6 % dans les établissements de santé. Pour la première fois depuis 6 ans, le nombre d’arrêts-maladie a diminué, une baisse liée, de toute évidence, à l’instauration, début 2012, par le gouvernement Fillon, du jour de carence dans la fonction publique. Une tendance qui devrait être confirmée en 2013… avant de s’inverser en 2014, puisqu’à partir du 1er janvier, ce premier jour d’arrêt-maladie non rémunéré ne sera plus qu’un souvenir. Le gouvernement a en effet décidé, il y a quelques mois, de le supprimer.

Pour justifier cette abrogation, le ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, avait parlé d’une mesure « injuste, inutile, et inefficace ». « Inutile et inefficace »… Oui, tout de suite, on voit, c’est vraiment très clair, ça vous saute à la figure. Quant au caractère injuste de ce jour non rémunéré, nul n’en disconvient : la moindre des équités aurait été d’imposer non pas un, mais trois jours de carence, comme dans le secteur privé.

Interrogée sur le sujet, Marylise Lebranchu fait la moue, mettant en doute la véracité de ces chiffres, puis les écartant d’un revers de la main : « Je fais confiance aux fonctionnaires. » C’est drôlement gentil, et c’est très beau. Rien de mieux qu’une relation fondée sur la confiance quand on s’aime d’amour tendre. Mais le fait est qu’en 2012, certains fonctionnaires, quoiqu’un peu flagada ou barbouillés au saut du lit, ont préféré finalement aller prendre leur douche, leur métro, et leur poste plutôt que de se voir privés d’un jour de salaire, preuve qu’ils n’étaient sans doute pas tout à fait à l’agonie et qu’il n’y a pas meilleur reconstituant que la perspective de perdre des sous.

On pourrait trouver scandaleuse, lamentable, honteuse la logique de ce gouvernement, mais la comprendre. Comme on a pu comprendre, tout en la détestant, la logique matoise et éminemment « politique » d’un autre François à la même fonction, qui jouait sa partition… Parce que lui, au moins, en avait une, animée d’une certaine cohérence. Pourquoi donc faire machine arrière alors que la loi était votée, le jour de carence institué, l’impopularité de la chose endossée par un autre gouvernement, la pilule avalée et la gronde passée ? Comme l’a fait en son temps la droite avec l’ISF — qu’elle s’est bien gardée de supprimer après l’avoir tant fustigé —, le gouvernement n’avait qu’à… oublier. Oublier prudemment ce jour de carence dont le rétablissement coûtera, disent les directeurs d’hôpitaux, entre 60 et 75 millions d’euros par an !

C’est que les syndicats, eux, n’avaient pas oublié. Et qu’à dire vrai, les fonctionnaires ne comptent pas tant que les syndicats eux-mêmes, la preuve en étant que lorsque les fonctionnaires ne sont pas syndiqués, comme dans l’armée, on leur fait aussi « confiance », comme dit Marylise Lebranchu, mais surtout pour fermer leur gueule chaque fois qu’on leur fait les poches.

Vous ne savez pas, vous, ce que sont la disgrâce, les rats qui quittent le navire, les petites sauteries antiracistes au public clairsemé malgré le battage, bref cette affolante déroute qui vous ferait donner votre chemise aux derniers amis qu’il vous reste pour qu’ils ne se barrent pas à leur tour. Même si, soyons lucides, chez eux, comme chez vous, cela pue la fin de règne.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 07:31
Bd Voltaire

La contestation s’étend ? La solidarité aussi !

    
Le 11 décembre 2013
Les simples citoyens qui expriment publiquement et démocratiquement leur droit à la contestation ont besoin d’être fermement soutenus.
      
        

« Étendre la contestation » : l’expression est très à la mode ces derniers temps. La fronde gagne les différentes provinces et de nombreux secteurs d’activité français : Bretagne, bonnets rouges et de toutes les couleurs, pigeons, printemps français, manif pour tous, routiers victimes de l’écotaxe, salariés de l’automobile ou de l’agroalimentaire, centres équestres… Cette liste à la Prévert ne cesse malheureusement de s’étendre. Les folles chimères qui ont conduit à imposer la loi Taubira au pays réel semblent inspirer également les autres politiques du gouvernement. La « coagulation » crainte par les sbires du pouvoir n’est pas loin.

Jusqu’à présent, l’association Solidarité pour Tous, fondée au printemps 2013 lors de la contestation du prétendu mariage pour tous, a surtout aidé les victimes de la répression policière qui s’est exercée dans ce cadre. Depuis, la politisation de la justice et de la police n’ont cessé de croître. Les mesures discrétionnaires qui se multiplient sont le signe évident que le gouvernement n’a pas fini d’instrumentaliser tous les agents qui devraient être les garants de la sécurité des Français. Aujourd’hui, ces agents sont transformés en matons de la République socialiste.

Forte de ce constat, l’équipe de Solidarité pour Tous a décidé d’étendre son combat.

Aucun Français ne mérite d’arrestation arbitraire, de garde à vue abusive, de procès politique, ni de détention scélérate. Quelle que soit la raison pour laquelle il conteste le gouvernement socialiste. Plus que jamais, les étudiants, les mères de famille ou les simples citoyens qui expriment publiquement et démocratiquement leur droit à la contestation ont besoin d’être fermement soutenus.

Solidarité pour Tous a déjà redistribué des dizaines de milliers d’euros issus de la générosité de centaines de Français anonymes. Cet argent a contribué à restaurer la justice là où elle avait été bafouée. Nous proposons aujourd’hui à nos donateurs d’étendre cette aide à tous ceux qui sont scandaleusement réprimés, au mépris du droit et de la démocratie. C’est en ce sens que nous avons décidé de soutenir le Jour de colère du 26 janvier prochain. Pouvoir clamer haut et fort sa réprobation face à un gouvernement qui fait montre de graves dérives policières, c’est un droit que nous devons protéger.

Qu’il s’agisse de la protection des enfants et de la préservation du mariage, qu’il s’agisse de la ruine des travailleurs les plus modestes, qu’il s’agisse d’impôts confiscatoires, nous ne lâcherons rien !

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10 décembre 2013 2 10 /12 /décembre /2013 18:32
Moi contribuable, je ne veux pas payer la dette du journal l’humanité
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Notre pétition a recueillie 98014 signatures. Merci ! Continuons notre mobilisation !

C’est vendredi 6 décembre 2013 que les députés socialistes se sont prononcés favorablement pour l’annulation de la dette du journal l’humanité, comme le demandait l’amendement n°410 présenté par le Gouvernement.

Le texte voté en première lecture à l’assemblée nationale a ajouté l’article 44 au PLFR, rédigé comme tel :
Article 44 (nouveau)
Les créances détenues sur la Société nouvelle du journal L’Humanité au titre du prêt accordé le 28 mars 2002, réaménagé en 2009 et imputé sur le compte de prêts du Trésor n° 903-05, sont abandonnées à hauteur de 4 086 710,31 € en capital. Les intérêts contractuels courus et échus sont également abandonnés.
Il nous faut interpeller dès maintenant les sénateurs ; le texte sera voté samedi 14 décembre

En effet, nous devons tout faire pour inciter les sénateurs à voter pour la suppression de l'article 44. C’est pourquoi, nous vous demandons d’interpeller votre sénateur afin qu’il vote l’amendement de suppression de l’article 44. 

Nous comptons sur vous.

J'interpelle mon sénateur
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RESISTANCE !

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J'ai plus envie de me croire à Kaboul dans ma ville,

J'ai plus envie de l'incivisme, plus envie de la médiocrité comme religion, plus envie du manque d'ambition comme profession de foi.

J'ai plus envie de relativiser. >>>>