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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 22:57

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- soit on considère que Mme Trierweiler n'est ni pacsée ni mariée, et à ce moment-là il y a détournement de fonds publics pour son usage personnel (logement, nourriture, entretien, déplacements, six experts à l'Elysée chargés de sa communication...) ;

 

- soit on considère qu'il y a concubinage notoire et à ce moment-là il y a fausse déclaration de patrimoine (largement au-dessus des sommes déclarées et assujetti à l'ISF), ce qui annule l'élection et rend M. Hollande inéligible.

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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 15:15

       OUI nous avons tous ressenti un malaise devant l'attitude, l'apparence vestimentaire, de ces pauvres hommes qui semblaient contreints , animés d'une fureur intérieure. Furieux de devoir être au centre d'un barnum médiatique après 3 ans de souffrance. OUI l'attitude de M.hollande était indécente.


    

Copie du courrier posté ce jour à Madame Vallaud-Belkacem, porte-parole du gouvernement, ministre du droit des Femmes.

Madame,

« Invraisemblable indécence » de Marine Le Pen, dites vous?

Ce que je trouve indécent c’est la présence sur le tarmac de l’aéroport de M. Hollande souriant, bonhomme, sans pudeur aucune, invitant des fantômes à s’exprimer aprés un rapt de 3 ans. Qu’en attendait-il ? Des remerciements pour avoir capitulé en acceptant – lui ou Areva, qu’importe – le versement d’une rançon ? Tout comme la présence de M. Fabius (monsieur responsable mais pas coupable) et de M. Le Drian, tous deux en mal de reconnaissance.

Ce que je trouve indécent c’est la présence d’une multitude de journalistes traquant les pleurs, les cris, l’émotion de retrouvailles familiales.

Oui ! tout comme Marine Le Pen, tout comme mes proches, j’ai ressenti un malaise à la vue de ces barbes et de ces chèches inconvenants. Syndrome de Stockholm ou pas, je m’en fous. Solidarité avec les otages toujours détenus, fadaises!

Je me réjouis qu’ils puissent retrouver leurs familles et qu’ils soient en vie. Néanmoins, ils ne sont pas sans savoir que leur liberté s’est monnayée au prix fort, qu’à ce prix là d’autres rapts suivront. 20/25 millions d’euros c’est une manne pour ces islamistes pour se fournir en armes, munitions, 4/4, matériel de communication, pots de vins pour soudoyer des fonctionnaires et des populations miséreuses, et recruter des complices jusque dans nos banlieux islamisées.

Ils auraient pu demander, exiger que leurs retrouvailles avec leurs proches se fassent loin des caméras et de tout ce barnum. Ou alors, puisque contraints parce que redevables aux « autorités », manifester à tout le moins la rupture d’avec leurs geôliers en s’affranchissant de ces signes de soumission et d’allégeance à une idéologie mortifère.

Digne, par contre la détermination des Britannique qui interdisent le paiement d’aucune rançon que ce soit par leur gouvernement ou les sociétés employeurs des otages.

Digne, infiniment digne l’attitude de la fille de l’otage Serge Lazarevic qui est contre le paiement de rançons et qui somme le gouvernement d’agir fermement.

Indécence de vos propos à l’encontre de Marine Le Pen, vous qui n’êtes pas capable de libérer les jeunes filles otages dans nos territoires perdus, empêchées de vivre libres, retenues par des geôliers gardiens de l’ordre islamique et clanique.

Elles sont des milliers séquestrées, menacées, battues, parfois tuées. Et je ne vous entends pas. Leur vie aurait-elle moins d’importance que celle de ces 4 otages libérés.

Serait-ce que votre allégeance passée à un monarque de droit divin, commandeur des croyants vous empêche ?

Nous sommes en guerre, Madame Vallaud-Belkacem, la rançon versée fera couler le sang ici et là-bas. Les armes circulent ici et là-bas. La folie meurtrière se déchaîne ici et là-bas. Vous faites partie d’un gouvernement qui par sa lâcheté et sa soumission nous apporte le malheur.

A l’occasion de cet événement où l’indécence le dispute à la bassesse, j’ai appris une chose: la vie d’un homme libre, mais vivant après un rapt odieux, vaut 4 millions d’euros.

Je suis heureux de la libération de ces hommes et de la joie de leurs familles.

En cette veille de Toussaint où chaque famille célèbre ses morts, je me souviens que la mort d’un enfant de 4 ans tué d’une balle dans la tête un jour de juillet 2003 fut estimée à 30.000 euros aprés le procés des meurtriers.

Cruelle comptabilité!

Mon filleul et petit-neveu eut le malheur de croiser le chemin d’un bande de voyous alcoolisées et sous l’emprise du cannabis, testant leurs armes avant une expédition punitive. Pas de marche blanche, pas de voitures brûlées, les journalistes sommés de respecter notre deuil, le recueillement et le silence d’une famille dévastée mais digne soutenue calmement par des centaines d’anonymes emplis de compassion.

Nous ne sommes pas du même monde, Madame!

Demain nous irons en famille fleurir la tombe d’Alexy (1999-2003). Seuls!

Pas de salutations, aucun respect, infini dégoût.

 

Philippe Le Breton

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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 14:52

  

Le Point.fr - Publié le 02/11/2013 à 11:08 - Modifié le 02/11/2013 à 11:17

 

Plus de six Français sur dix ont constaté une hausse de leur niveau de prélèvements depuis un an, que ce soit pour les impôts locaux (pour 68 % des sondés) ou pour l'impôt sur le revenu (61 %), selon un sondage Ifop pour Sud-Ouest Dimanche.

17 % des personnes interrogées dans le cadre de cette enquête réalisée pour mesure l'ampleur du "ras-le-bol fiscal" prêté aux Français qualifient de "très importante" la hausse de leurs impôts locaux et 24 % celle de leur impôt sur le revenu. Dans le même temps, environ un quart des interviewés font part d'une stabilité de ces deux types de prélèvements : 25 % concernant leurs impôts locaux et 24 % pour leur impôt sur le revenu. 

La hausse de l'impôt sur le revenu est plus particulièrement ressentie par les seniors (75 % chez les plus de 65 ans) et par les sympathisants UMP (71 %) que par ceux de gauche (56 %).

Le sondage a été effectué auprès d'un échantillon représentatif de 1 004 personnes âgées de 18 ans par questionnaire auto-administré en ligne.

 

L'image du PS se dégrade

 

Selon un sondage Ifop pour Dimanche Ouest France, la cote du Parti socialiste est à son plus bas niveau depuis 2005. Ils ne sont plus que 30 % à l'estimer proche de leurs préoccupations, alors qu'ils étaient 55 % au lendemain de l'élection de François Hollande. Seuls 28 % des Français estiment que le PS a un projet pour la France, soit une baisse de 25 points par rapport à août dernier

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 23:26

Dupont Aignan provoque un esclandre sur Canal Plus. La vidéo  très courte est à voir.

Les journalistes en prennent plein les dents et n'osent pas répondre à sa question, qui fait mouche.

 .

 VOIR LA VIDEO SUR :

 

http://www.francetvinfo.fr/dupont-aignan-provoque-un-esclandre-sur-canal_83611.html

 

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 23:18

by Daniel Hamiche

Une abomination dont le gouvernement français porte une partie de la responsabilité !
« Ce qui a eu lieu à Sadad constitue le plus grave et le plus important massacre de chrétiens ayant eu lieu en Syrie depuis deux ans et demi ». Tels sont les termes péremptoires par lesquels l’archevêque Selwanos Boutros Alnemeh, métropolite syro-orthodoxe d’Homs et Hama, illustre à Fides le bilan tragique concernant la petite ville chrétienne de Sadad, envahie par les milices islamistes voici une semaine puis reprise par l’armée syrienne. « Les civils innocents, martyrisés sans aucun motif, sont au nombre de 45 et parmi eux se trouvent plusieurs femmes et enfants, nombre desquels ont été jetés dans des fosses communes. D’autres civils ont été menacés et terrorisés. Les blessés sont au nombre de 30 alors que les personnes portées disparues sont encore au nombre de 10. Pendant une semaine, 1 500 familles ont été tenues en otage et utilisées comme boucliers humains. Parmi eux se trouvaient des enfants, des personnes âgées, des jeunes, hommes et femmes. Certains d’entre eux se sont enfuis à pieds, parcourant les 8 km qui séparent Sadad d’Al-Hafer pour y trouver refuge. Environ 2 500 familles se sont enfuies de Sadad suite à l’irruption des groupes armés, portant avec elles seulement les vêtements qu’elles portaient. Aujourd’hui, il s’agit d’évacués qui sont dispersés entre Damas, Homs, Fayrouza, Zaydal, Maskane, et Al-Fhayle ». L’archevêque continue, en manifestant toute son amertume : « En ville, l’énergie électrique, l’eau et le téléphone font complètement défaut. Toutes les maisons de Sadad ont été cambriolées et les propriétés saccagées. Les églises sont endommagées et profanées, privées de livres antiques et de mobilier précieux, recouvertes de graffitis hostiles au Christianisme. Les écoles, les édifices gouvernementaux et communaux ont été détruits tout comme le bureau de poste, l’hôpital et la clinique. Les enfants de Sadad se sont vus voler leur avenir. De nombreuses maisons ne pourront pas même être reconstruites ». « Ce qui est arrivé à Sadad, affirme-t-il, constitue le plus grand massacre de chrétiens en Syrie et le deuxième dans tout le Moyen-Orient après celui perpétré dans l’église Notre-Dame du Salut en Irak en 2010 ». L’archevêque Selwanos Boutros Alnemeh conclut : « Nous avons appelé au secours le monde mais personne ne nous a écoutés. Où est la conscience chrétienne ? Où est la conscience humaine ? Où sont mes frères ? Je pense à toutes les personnes souffrantes, qui se trouvent aujourd’hui dans le deuil et dans la gêne : j’ai la gorge nouée et mon cœur saigne pour ce qui est arrivé dans mon archidiocèse. Quel sera notre avenir ? Nous demandons à tous de prier pour nous ». Sadad est une petite ville de 15 000 habitants, en majorité chrétiens syro-orthodoxe, située à 160 km au nord de Damas. Elle compte 14 églises et un monastère comprenant quatre prêtres. La ville était restée jusqu’à présent en dehors du conflit.
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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 09:01

 

Vendredi 25 Octobre 2013 à 20:00 (mis à jour le 29/10/2013 à 11:18)

 

  

 

Valeurs actuelles

Entretien. Écrivain, Jean Raspail décrivait en 1973, dans son roman “le Camp des saints”, la submersion de l’Europe par la multitude des migrants du tiers-monde.

Que vous inspire la situation actuelle ?

Vous savez, je n’ai guère envie de me joindre à la grande ronde des intellectuels qui passent leur temps à débattre de l’immigration… J’ai l’impression que ces colloques ne servent à rien. Le peuple sait déjà toutes ces choses, intuitivement : que la France, telle que nos ancêtres l’ont façonnée depuis des siècles, est en train de disparaître. Et qu’on amuse la galerie en parlant sans cesse de l’immigration sans jamais dire la vérité finale. Une vérité d’ailleurs indicible, constatait mon ami Jean Cau, car celui qui la proclame est immédiatement poursuivi, condamné puis rejeté. Richard Millet s’en est approché, voyez ce qui lui est arrivé !

On dissimule aux Français la gravité du problème ?

Oui. À commencer par les dirigeants politiques ! Publiquement, “tout va très bien, Madame la marquise”. Mais, la porte fermée, ils reconnaissent que “oui, vous avez raison : il y a un vrai problème”. J’ai sur ce sujet des lettres édifiantes de hauts responsables de gauche, de droite aussi, à qui j’avais envoyé le Camp des saints. “Mais vous comprenez : on ne peut pas le dire…” Ces gens-là ont un double langage, une double conscience. Je ne sais pas comment ils font ! Je pense que le désarroi vient de là : le peuple sait qu’on lui cache les choses. Aujourd’hui, des dizaines de millions de gens ne partagent pas le discours officiel sur l’immigration. Ils ne croient aucunement que ce soit une chance pour la France. Parce que le réel s’impose à eux, quotidiennement. Toutes ces idées bouillonnent dans leur crâne et ne sortent pas.

Vous ne croyez pas possible d’assimiler les étrangers accueillis en France ?

Non. Le modèle d’intégration ne fonctionne plus. Même en admettant qu’on reconduise un peu plus de clandestins à la frontière et qu’on réussisse à intégrer un peu plus d’étrangers qu’aujourd’hui, leur nombre ne cessera pas de croître et cela ne changera rien au problème fondamental : l’envahissement progressif de la France et de l’Europe par un tiers-monde innombrable. Je ne suis pas prophète, mais on voit bien la fragilité de ces pays, où s’installe une pauvreté insupportable et sans cesse croissante à côté d’une richesse indécente. Ces gens-là ne se retournent pas vers leurs gouvernements pour protester, ils n’en attendent rien.

Ils se tournent vers nous et arrivent en Europe par bateaux, toujours plus nombreux, aujourd’hui à Lampedusa, ailleurs demain. Rien ne les en décourage. Et par le jeu de la démographie, dans les années 2050, il y aura autant de jeunes Français de souche que de jeunes étrangers en France.

Beaucoup seront naturalisés.

Ce qui ne signifie pas qu’ils seront devenus français. Je ne dis pas que ce sont de mauvaises gens, mais les “naturalisations de papier” ne sont pas des naturalisations de coeur. Je ne peux pas les considérer comme mes compatriotes. Il faudra durcir drastiquement la loi, en urgence.

Comment l’Europe peut-elle faire face à ces migrations ?

Il n’y a que deux solutions. Soit on essaie de s’en accommoder et la France — sa culture, sa civilisation — s’effacera sans même qu’on lui fasse des funérailles. C’est à mon avis ce qui va se passer. Soit on ne s’en accommode pas du tout — c’est-à-dire que l’on cesse de sacraliser l’Autre et que l’on redécouvre que le prochain, c’est d’abord celui qui est à côté de soi. Ce qui suppose que l’on s’assoit quelque temps sur ces « idées chrétiennes devenues folles », comme disait Chesterton, sur ces droits de l’homme dévoyés, et que l’on prenne les mesures d’éloignement collectif et sans appel indispensables pour éviter la dissolution du pays dans un métissage général. Je ne vois pas d’autre solution. J’ai beaucoup voyagé dans ma jeunesse. Tous les peuples sont passionnants mais, quand on les mélange trop, c’est bien davantage l’animosité qui se développe que la sympathie. Le métissage n’est jamais pacifique, c’est une utopie dangereuse. Voyez l’Afrique du Sud !

Au point où nous en sommes, les mesures que nous devrions prendre seraient forcément très coercitives. Je n’y crois pas et je ne vois personne qui ait le courage de les prendre. Il faudrait mettre son âme en balance, mais qui est prêt à ça ? Cela dit, je ne crois pas un instant que les partisans de l’immigration soient plus charitables que moi : il n’y en a probablement pas un seul qui ait l’intention de recevoir chez lui l’un de ces malheureux… Tout cela, c’est de la frime émotionnelle, un maelström irresponsable qui nous engloutira

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 08:40
  Il faudrait être aveugle et sourd,
pour ne pas voir, ne pas entendre !
Le grand remplacement est effectif
nous le constatons tous chaque jour

 

 

Joris
Karl
Journaliste.

Ça faisait longtemps que je voulais découvrir le Gévaudan. Parce que l’histoire de la fameuse « Bête » qui y avait sévi au XVIIIe siècle me passionnait. Nous revenions de Montpellier avec des amis et, sur la route de Paris, avions décidé de passer la journée dans cette région peu connue. Histoire de se plonger un peu dans la France de jadis.

Preuve que le monstre avait marqué l’histoire régionale, des statues de la Bête surgissaient ici et là, au gré de notre ballade. Nous pûmes visiter un musée fort bien conçu, relatant l’horrible affaire semée de tant de cadavres. Les petites routes traversaient un paysage presque inchangé depuis l’époque des rois, transformant cette virée en retour aux sources.

Et puis, nous nous arrêtâmes dans la petite localité de Marvejols. 5.000 âmes, un passé à la fois médiéval et industriel. C’est là que, par hasard, deux chambres s’étaient trouvées disponibles pour la nuit.

Nous étions au cœur de la France profonde, prêts à respirer l’air pur s’engloutissant dans des ruelles abandonnées : en effet, la ville paraissait léthargique, comme après une catastrophe. Elle ressemblait en cela à toutes nos bourgades de France un dimanche après midi. Volets fermés, pas un chat dans la rue. Et là, ce fut le choc.

Nous ne nous attendions pas à cela. Toute – je dis bien toute – la population que nous croisions en marchant n’était visiblement pas française. Je dis visiblement mais j’aurais pu dire auditivement ! Outre de vieilles femmes voilées de la tête au pied qui conversaient et riaient en bas des maisons du XIXe siècle, on entendait moult dialectes arabisants. Des grappes de gamins, vaguement turcs, traînassaient non loin d’un kebab. C’était l’Orient, c’était le Constantinois à portée de chez vous. Le sentiment incroyable d’être au milieu d’un pays étranger sans avoir pris de billet d’avion… alors que nous étions dans l’univers le plus français qui soit ! Ce n’était pas le fait de rencontrer des étrangers sur notre chemin qui était stupéfiant, c’était d’en trouver autant à cet endroit ! Mais que faisaient-ils donc là ?

Depuis ce jour, j’ai compris que le Grand Remplacement n’était plus forcément « en cours » mais, dans nombre de localités, déjà quasiment effectif.

Au temps lointain où Jean Raspail écrivait son terrible roman, en 1973, l’invasion migratoire n’était qu’une prophétie. La France était encore bercée par les Lundis au soleil, par une prospérité jamais vue dans toute son histoire. De Gaulle avait stabilisé la République et donné son indépendance à la France. Pompidou avait géré en bon père de famille. En 1973, imaginer qu’un jour Marvejols deviendrait ce Marvejols n’était pas pensable. Oui, il y avait bien le père Le Pen et son bandeau de pirate pour essayer de nous faire peur. Mais personne ne croyait vraiment à ce groupuscule qu’on appelait FN.

40 ans après, en passant par Marvejols, nous avons vécu la fin de l’Empire romain. En direct et sans bruit…

  Commentaires : 

Alexis de Forstrem ·  

Un constat effrayant mais que j'ai pu personnellement vérifier dans mon petit village de Côte d'Or qui il y a dix ans quand j'étais encore collégien et venais passer mes vacances en famille -nombreuse - dans notre demeure ancestrale, n'abritait presqu'aucun étranger non communautaire. Aujourd'hui la situation a radicalement changé : deux HLM abritant une cinquantaine de turcs,des logements sociaux subventionnés hébergeant eux, cinq familles maghrébines, trois familles maliennes dont une notoirement polygame expédiée de Dijon, une fratrie rom, la grande majorité de ces nouveaux arrivants ne travaillant pas pour "diverses " raisons ... le tout dans ce petit village de 1467 âmes mais qui a eu l'infortune de voter socialiste .. bref la diversitude au quotidien accompagnée d'une hausse spectaculaire des cambriolages, des incivilités, tags orduriers, et .. d'une demande d'ouverture de "salle de prière" - à cela s'ajoutent des vols de ciboires et une chapelle fermée récemment saccagée, etc.. Marvejols post-française n'est donc pas loin
Jean Pierre Duchemin ·  
@ Patrick de Moselle. J'habite aussi Paris rive gauche et je partage largement votre point de vue. Dans le quartier où je vis la population blanche est remplacée à vitesse grand V par des hordes de noirs et d'arabes dont les femmes se promènent avec 3, 4 gosses et bien souvent un autre dans le bide.
Le matin je les vois grasses comme des loches le pas traînant, la peau luisante, habillées en boubou ou en djellaba (véridique) presque toujours avec un voile islamique sur la tête aller porter leurs rejetons à l'école maternelle et primaire. Je peux vous assurer que depuis 2 ou 3, on voit de moins en mois de blancs qui par ailleurs sont fortement représentés par des personnes âgées. Plusieurs boucheries halal et taxiphones se sont ouverts et fait nouveau les boulangeries sont reprises par des arabes qui stockent leurs bouteilles de soda devant la vitrine où traînent quelques pâtisseries peu appétissantes. Bien souvent, les servantes parlent en arabe avec leurs clients et vous vous attendez comme un con qu'on vous serve. D'ailleurs, je n'y vais plus cela me dégoûte.
L'évolution de la situation me révolte totalement au plus haut point.
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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 07:33

30/10/13 - Mis à jour le 30/10/13 - 19 H 30

 

                                                                                                                                                                                                              
L'ancien otage Thierry Dol à son arrivée à l'aéroport de Villacoublay, le 30 octobre 2013

AFP

L'ancien otage Thierry Dol à son arrivée à l'aéroport de Villacoublay, le 30 octobre 2013

AFP

 

On en parle tout le temps mais on ne la voit jamais : l'éventuelle rançon payée pour la libération des quatre otages français d'Arlit pose le problème des moyens que les Etats sont prêts à engager pour obtenir la libération de leurs otages, estiment les spécialistes.

Selon une source proche des négociateurs nigériens, citée par l'AFP, 20 à 25 millions d'euros ont été versés en échange de la libération mardi des quatre otages pour payer les ravisseurs et les intermédiaires qui, sur le terrain, ont joué un rôle important pour obtenir ces libérations.

Citant une "source française", Le Monde croit savoir que "l’argent a été prélevé sur les fonds secrets alloués aux services de renseignement".

Dès mardi soir, Pascal Lupart, président du comité de soutien de Serge Lazarevic, enlevé en novembre 2011 au Mali par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), avait mis en cause des "propos irresponsables" de François Hollande qui a assuré à plusieurs reprises que la France ne paierait pas de rançon pour les otages du Mali.

"On se doute bien que c'est Areva qui a payé pour la libération des otages d'Arlit de la même façon que c'est GDF Suez qui a payé pour celle de la famille Fournier en avril 2013 au Nigeria", avait dit à l'AFP Pascal Lupart. "Ceux qui restent aujourd'hui détenus au Mali, selon lui, sont des indépendants, des sans-grade qui n'ont pas derrière eux d'entreprise capable de disposer d'une manne financière pour les faire libérer".

En réponse à ces affirmations, l'entourage de François Hollande a réaffirmé mercredi en tout début d'après-midi: "La France ne verse pas de rançon. C'est ce qui est rappelé à chaque fois. C'est ce qui a été rappelé par Jean-Yves Le Drian, il a été très clair. Pas besoin de revenir sur le sujet".

Une position qui reprend celle de l'ex-président Nicolas Sarkozy, qui déclarait en mai 2011, en évoquant la libération des trois otages d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) deux mois plus tôt : "L'Etat français ne paie pas de rançon et ne cède pas aux chantages. C'est une question de principe. Mais il y a un autre principe auquel je suis attaché : toute vie est sacrée". M. Sarkozy confirmait ainsi en pointillés qu'une rançon avait pu être versée, cette fois par Areva.

"Tout le monde paye, même les Britanniques"

"La rançon, a dit mercredi à l'AFP l'ancien patron d'un service de renseignements français, c'est un peu comme l'Arlésienne de Bizet. On en parle tout le temps mais on ne la voit jamais, alors que les Etats ou les entreprises payent dans la quasi totalité des cas". Ce spécialiste ajoute qu'il "y a toujours une rançon ou une contrepartie payée sous une forme ou une autre: argent, libération de prisonniers, livraisons d'armes..."

Un bon connaisseur d'Aqmi, qui demande à rester anonyme, ajoute: "Contrepartie ou pas: officiellement non, mais il y a toujours moyen de faire payer quelqu'un sans que cela soit officiel et c'est sans doute ce qui s'est passé".

Avis partagés par Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R). "Tout le monde paye, même les Britanniques", assure ce spécialiste. "Rançon, contrepartie (libération de prisonniers), ou opération de vive force: il n'y a pas d'autre manière de libérer des otages".

En avril 2008, deux millions de dollars avaient été versés par l'armateur du voilier Le Ponant pour la libération des 30 membres de l'équipage, dont 22 Français, retenus au large de la Somalie.

Ce qui avait permis au général Jean-Louis Georgelin, alors chef d'état-major des armées, d'affirmer que "strictement aucun argent public n'a été versé". La morale était sauve d'autant plus qu'une partie de la rançon avait été récupérée lors d'un raid de l'armée française.

L'enlèvement de journalistes français au Liban de 1985 à 1988 s'était déroulé sur fond d'un lourd contentieux franco-iranien, celui d'un gros investissement du Shah dans le nucléaire français dont le nouveau pouvoir iranien des mollahs voulait le remboursement. Les otages avaient été libérés après le règlement discret de ce dossier.

 

AFP   

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 19:39

29/10/2013

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 13:37
 
 

 

Excellente remarque d’Alain Finkielkraut, samedi dernier sur France 2, signalée par l’hebdomadaire Minute et reprise par le Salon Beige

« En 1983, il y avait 900 lieux de culte musulman en France. Aujourd’hui, il y en a 2300. En Seine-Saint-Denis, il y a aujourd’hui 145 lieux de culte musulman contre 117 lieux de culte catholique. Pour un pays islamophobe, la performance est intéressante. Pendant ce temps-là, dans tous les pays de l’arc arabo-musulman, les chrétiens sont contraints à fuir et les églises sont attaquées ou détruites ! »

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J'ai plus envie de me croire à Kaboul dans ma ville,

J'ai plus envie de l'incivisme, plus envie de la médiocrité comme religion, plus envie du manque d'ambition comme profession de foi.

J'ai plus envie de relativiser. >>>>